Handroanthus serratifolius, o pau d'Arcu, guayacán, guayacán polvillo, curaire o palu d'Arcu, ye natural de les zones tropicales de Centroamérica y Suramérica. En Venezuela recibe los nomes de curarí, Flor mariella o curarire.
Ye un árbol de 8-10 m d'altor. Les fueyes de 10-15 cm de llargu, palmado-compuestes con foliolos elípticos. Les flores, grandes y marielles de 8 cm de diámetru. El frutu qu'algama los 25 cm de llongura tien granes alaes de color blancu. La carauterística que define la especie ye la de les sos fueyes serruchaes (d'ende'l nome de serratifolia).
Trátase d'una madera apreciada nel mercáu que destaca pola so estrema durez y resistencia al fueu y a les plagues. Dacuando comercialízase como un "palu de fierro ", o a cencielles como" ipê "(tol xéneru Tabebuia ), o como'l lapacho (correchamente Tabebuia serratifolia )
La corteza de Tabebuia serratifolia contién más de 20 compuestos activos incluyendo lapachol, quercetina y otros flavonoides. La so corteza interna utilízase como un té de yerbes, pal tratamientu d'infecciones fúngicas.
Handroanthus serratifolius foi descritu por (Vahl) S.O.Grose y espublizóse en Systematic Botany 32: 666. 2007.[1]
Handroanthus serratifolius, o pau d'Arcu, guayacán, guayacán polvillo, curaire o palu d'Arcu, ye natural de les zones tropicales de Centroamérica y Suramérica. En Venezuela recibe los nomes de curarí, Flor mariella o curarire.
Handroanthus serratifolius is a species of tree, commonly known as yellow lapacho, pau d'arco, yellow poui, yellow ipe, pau d'arco amarelo, or ipê-amarelo.[1][2]
It is a tree native to forests throughout Central and South America. This plant grows in the cerrado vegetation of Brazil, reaching up to French Guiana, Bolivia, Paraguay and Northern Argentina.
It is one of the largest and strongest of tropical forest trees, growing up to 150 feet (46 m) tall while the base can be 4–7 feet (1.2–2.1 m) in diameter.
It is a commercially farmed hardwood notable for its extreme hardness and resistance to fire and pests. It is sometimes traded as an "ironwood", or just as "ipê" (the entire genus Tabebuia), or as lapacho (properly Handroanthus serratifolius)
The bark of Handroanthus serratifolius contains chemical compounds including lapachol, quercetin, and other flavonoids.
The national flower of Brazil is the ipe-amarelo. The ipe-amarelo is actually a flowering tree that blooms in bright yellow flowers during the months of September and October. Blooms only last about a week. [3]
Handroanthus serratifolius is a species of tree, commonly known as yellow lapacho, pau d'arco, yellow poui, yellow ipe, pau d'arco amarelo, or ipê-amarelo.
Handroanthus serratifolius, o poni de las Antillas,[1] pau d'Arco, guayacán, guayacán polvillo, curaire o palo de Arco, es natural de las zonas tropicales de Centroamérica y Suramérica. En Venezuela recibe los nombres de curarí, Flor amarilla o curarire.
Es un árbol de 8-10 m de altura. Las hojas de 10-15 cm de largo, palmado-compuestas con foliolos elípticos. Las flores, grandes y amarillas de 8 cm de diámetro. El fruto que alcanza los 25 cm de largo tiene semillas aladas de color blanco. La característica que define la especie es la de sus hojas aserradas (de ahí el nombre de serratifolia).
Se trata de una madera apreciada en el mercado que destaca por su extrema dureza y resistencia al fuego y a las plagas. A veces se comercializa como un "palo de hierro ", o simplemente como" ipê "(todo el género Tabebuia ), o como el lapacho (correctamente Tabebuia serratifolia )
La corteza de Tabebuia serratifolia contiene más de 20 compuestos activos incluyendo lapachol, quercetina y otros flavonoides. Su corteza interna se utiliza como un té de hierbas, para el tratamiento de infecciones fúngicas.
Handroanthus serratifolius fue descrito por (Vahl) S.O.Grose y publicado en Systematic Botany 32: 666. 2007.[2]
Handroanthus serratifolius, o poni de las Antillas, pau d'Arco, guayacán, guayacán polvillo, curaire o palo de Arco, es natural de las zonas tropicales de Centroamérica y Suramérica. En Venezuela recibe los nombres de curarí, Flor amarilla o curarire.
FollajeÉbène verte, Ipé
Handroanthus serratifolius, est une espèce d'arbre appartenant à la famille du Calebassier (Bignoniaceae), communément appelée ébénier de Guyane en français[3], Ipé sur les marchés internationaux, ou plus souvent ébène verte, ébène soufré en créole guyanais, Guinaati, Guinaati kiabici, Betha-bara (nenge tongo), tayɨ (Wayãpi), kwik (Palikur), arawone (Kali'na) en Guyane, Groenhart en hollandais du Suriname, Hakia, Iron wood au Guyana, Ipê, ipê-amarelo, Pau d'arco au Brésil[4],[5], Greenheart en anglais[6], ou ailleurs Yellow lapacho, Lapacho negro, Guayacan, Canaguate, Polvillo, Acapro, Tahuari negro, Puy, Yellow poui, Yellow ipe ou Pau d'arco amarelo[7]. Comme plusieurs espèces du genre Handroanthus, son bois est apprécié.
L'ébène verte n'a aucun lien taxonomique avec les ébènes africaines qui appartiennent à la famille de Ebenaceae.
Cet arbre originaire des forêts d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud pousse dans la végétation cerrado du Brésil, jusqu'à la Guyane, et de la Bolivie, et du Paraguay au nord de l'Argentine[8].
C'est un arbres forestiers tropical parmi les plus grands et les plus solides. Il atteint jusqu'à 45 mètres de hauteur tandis que la base peut mesurer de 1-2 mètres de diamètre. On le reconnaît notamment à sa spectaculaire floraison massive : ses fleurs en trompette jaune soufre s'épanouissent après la chute de son feuillage (souvent vers septembre en Guyane, en début de saison sèche).
C'est un bois dur cultivé commercialement, remarquable pour son extrême dureté et sa résistance au feu et aux ravageurs. Il est parfois commercialisé sous le nom de " bois de fer ", ou tout simplement comme " ipê " (tout le genre Tabebuia), ou comme lapacho (proprement Handroanthus serratifolius). Les propriétés technologiques, la composition chimique, la préservation, le séchage et le sciage de ce bois tropical ont été étudiées[4],[5],[9]. Le parvis de la bilbiothèque François Mitterrand à Paris est construit en ébène verte[10].
Ses fleurs sont également employées dans la pharmacopée traditionnelle pour confectionner un sirop antitussif[3].
L'écorce de Handroanthus serratifolius contient des composés chimiques dont le lapachol, la quercétine et d'autres flavonoïdes[réf. nécessaire]. Son bois contient des alcaloïdes, des saponines et des anthraquinones[3].
Son bois contient des substances colorantes[11].
En 1741, Barrère écrit sur cette plante ainsi :
« BIGNONIA arbor, Hexaphylla, flore maximo, luteo, ebenus vulgo vocata. GUIRAPARIBA MARCG. Ebene Verte. BIGNONIA arbor, Hexaphylla, ligno Citrino. Ebene jaune. C'eſt une varieté de la précédente ; ces deux eſpeces de Bignonia croiſſent dans la grande terre, ſur des montagnes peu élevées, & forment par la beauté & la multiplicité de leurs fleurs une eſpece de décoration très-agréable pour les Voyageurs. »[12]
En 1775, le botaniste Aublet rapporte ceci :
« 12. BIGNONIA (leucoxylon) foliis digitatis ; foliolis integerrimis, ovatis, acuminatis. Lin. Spec. 870. Bignonia leucoxylon, fruticoſa, floribus luteis. LOEFL.Amer.p.361. n.186. Leucoxylon arbor ſiliquoſa, quinis foliis, floribus nerii, alato ſemine. Pluk.Alm.215. t.200. f.4. QUIRAPAIBA vel URUPARIBA, Braſilienſibus ; PAO D'ARCO Luſitanis. Marcgr.Braſ. pag.118. cap.11. BOIS D'EBENE VERT DES HABITANS DE Caïenne. Cet arbre fleurit deux & même trois fois pendant l'année ; ce ſont ſes fleurs qui annoncent les pluies. Il perd ſes feuilles, on le distingue de loin dans les forêts par la beauté de ſes fleurs. »[13]
En 1897, le Dr Heckel en dit cela dans son ouvrage :
« Ebène verte [Greenheart des Anglais.] - Bignonia leucoxylon D. C. ; Tecoma leucoxylum Mart. (Bignoniacées). (Urupariba au Brésil). Alexitère renommé. L'écorce est regardée comme l'antidote du serpent et du mancenillier. Les habitants recueillent soigneusement les fleurs qu'ils conservent pour en faire des infusions pectorales. Le bois, à aubier blanc entourant un cœur jaune verdâtre, donne, par décoction, un puissant sudorifique (à étudier). »[6]
Ébène verte, Ipé
Handroanthus serratifolius au Brésil Gousses mâtures éclatées. floraison massive de "Pau-d'arcos amarelos" vue depuis Pico Alto, point culminant de la Serra de Baturité (Guaramiranga, Ceará, Brésil)Handroanthus serratifolius, est une espèce d'arbre appartenant à la famille du Calebassier (Bignoniaceae), communément appelée ébénier de Guyane en français, Ipé sur les marchés internationaux, ou plus souvent ébène verte, ébène soufré en créole guyanais, Guinaati, Guinaati kiabici, Betha-bara (nenge tongo), tayɨ (Wayãpi), kwik (Palikur), arawone (Kali'na) en Guyane, Groenhart en hollandais du Suriname, Hakia, Iron wood au Guyana, Ipê, ipê-amarelo, Pau d'arco au Brésil,, Greenheart en anglais, ou ailleurs Yellow lapacho, Lapacho negro, Guayacan, Canaguate, Polvillo, Acapro, Tahuari negro, Puy, Yellow poui, Yellow ipe ou Pau d'arco amarelo. Comme plusieurs espèces du genre Handroanthus, son bois est apprécié.
L'ébène verte n'a aucun lien taxonomique avec les ébènes africaines qui appartiennent à la famille de Ebenaceae.
Ipê-amarelo-flor-de-algodão (Handroanthus serratifolius) é uma espécie de árvore do gênero Handroanthus.[1][2] No Brasil também é conhecida como somente ipê-amarelo, ou então: ipê-amarelo-da-mata, ipê-ovo-de-macuco, ipê-pardo, ipê-tabaco, pau-d’arco-amarelo, piúva-amarela, tamurá-tuíra.[3]
É uma árvore com porte que varia de médio a grande e pode atingir de 15 a 30 metros de altura. Possui o tronco fissurado formando finas placas que se soltam em pequenas quantidades. Suas flores são de cor amarelo-dourado e se formam em cachos. As vagens são bipartidas com comprimento entorno de 35 cm, com coloração marrom-escura, rugosa e sem pelos, que se abrem soltando sementes. As folhas possuem de cinco a quatro folíolos e bordas suavemente serrilhadas. Possui sementes retangulares aladas e germinação simples.[4][5]
Possuem flores hermafroditas livres ou em tríades levemente perpendicular, unidas em conjuntos em formato de umbela no final dos ramos. O cálice e a corola tem forma tubular com cinco lóbulos. Por causa de sua beleza, atraem insetos e vertebrados como abelhas e pássaros, especialmente beija-flores que tem papel fundamental na polinização. As sementes são espalhadas pelo vento.[6]
A floração ocorre após a queda das folhas, o que acontece no período mais seco, geralmente de junho a agosto, no inverno, podendo variar nas zonas mais próximas ao litoral.[5]
São vagens septicidas, coriáceas, glabras, lineares, que têm entorno de 20–65 cm de comprimento e 2,5-3,5 cm de espessura.[6]
Ficam maduros cerca de três a quatro meses após a floração.[5]
Pertencente à família Bignoniaceae, o gênero Tabebuia constitui um importante grupo de plantas neotropicais, distribuídas desde o sudoeste dos Estados Unidos até o norte da Argentina e Chile. Trata-se do maior gênero da família, totalizando cerca de 100 espécies, muitas delas amplamente reconhecidas pelo valor ornamental e qualidade das madeiras que produzem.[7]
Complexo, do ponto de vista taxonômico, o gênero sofreu inúmeras alterações ao longo de sua história. Originalmente, todas as espécies conhecidas como ipês eram incluídas no gênero Tabebuia para abrigar as Bignoniáceas arbóreas de folhas simples. A descrição de novas espécies na família e a grande variabilidade morfológica com que se apresentavam, no entanto, acabaram levando a uma expansão nos limites genéricos iniciais. Assim, à medida que surgiam novos estudos, o conceito tradicional se modificava, de modo que a circunscrição original não se manteve ao longo do tempo. As modificações ocorridas incluíram a sinonimização, segregação e reincorporação de inúmeras espécies, inclusive de outros gêneros, como Tecoma, provocando uma grande confusão no grupo taxonômico em questão.[7]
Ciente da heterogeneidade existente no grupo e procurando resolver este problema Mattos J.R. em 1970, dividiu as espécies de ipês em dois gêneros, Tabebuia e Handroanthus, este último criado, especialmente, para os representantes brasileiros. Tal interpretação foi fortemente criticada por Gentry , que tornou a posicionar todas as espécies de ipês no grupo original. Mais recentemente, Grose e Olmstead em 2007 propuseram, com base em estudos filogenéticos, a divisão de Tabebuia em três gêneros, Tabebuia, Handroanthus e Roseodendron, confirmando, em definitivo, a segregação proposta por Mattos e a existência de linhagens diferentes dentro do grupo.[7]
Árvore típica do bioma da Mata Atlântica, ocorrendo no interior da mata, sendo difícil de ser encontrada em estado nativo atualmente, por conta da sua madeira ser altamente requisitada e ter desenvolvimento lento. Não é muito utilizada em paisagismo urbano, justamente pelo lento crescimento e por ser de médio a grande porte.[4]
A madeira é utilizada para construções civis e navais, alem de pontes, postes, tábua de assoalho, tacos de bilhar e bengalas, possuindo longa durabilidade. Árvore ornamental, extremamente majestosa quando está florida, é ótima para o paisagismo. Usa-se também em restaurações florestais. A entrecasca é utilizada na medicina caseira, embora seja menos procurada que a do ipê-roxo.[5]
Planta secundaria tardia, heliófita, encontrada na floresta ombrófila, semidecídua e mata de cipó, em formações primárias e secundárias, capoeiras e áreas de cabruca. Tem a preferência de solos bastante drenados localizados em encostas.[5]
Os frutos podem ser adquiridos diretamente da árvore ao iniciar a abertura espontânea, e deixar secar para abertura e liberação das sementes. Um quilo contém cerca de 25.000 sementes.[5]
É de extrema importância a produção de sementes com níveis alto de qualidades pra formar de mudas pro reflorestamento, gerar madeiras e varias outras atividades. É bastante usado em paisagismo e arborização urbana por suas flores amarelas bem chamativas, entretanto, não é recomendado plantar próximo a casas ou em calçadas, pois suas raízes podem causar problemas no calçamento e na rede de esgoto.[6]
As sementes devem ser dispostas para germinação logo após sua retirada, por conta do seu poder germinativo diminuir muito rápido. Semear em canteiros ou sacos separados composto de solo organo-argiloso. Ela começa emergir em torno de 8 a 12 dias e a porcentagem de germinação normalmente é elevado. O crescimento das mudas é discreto.[5]
As sementes não adormecem e a germinação é epígea. Submetidas a climas com temperaturas de 25 °C a 30°C, leva cerca de 6 dias, quando já é possível visualizar o alongamento da raiz primária; aos 11-13 dias, a planta comumente começa apresentar o hipocótilo e as primeiras folhas simples, opostas, com margem cortada. A taxa de germinação é elevada, podendo atingir até 100%.[6]
Outras espécies de ipê-amarelo ocorrem também na região, como Handroanthus chrysotrichus e Handroanthus umbellatus.[5]
Em 27 de setembro de 1961, foi apresentada a proposta do Projeto de Lei 3380/1961 que declara o pau-brasil (Caesalpinia echinata) e o ipê-amarelo (Tecoma araliacea), respectivamente, árvore e flor nacionais. No entanto, após vários pareceres a PL foi arquivada.[8] Em 7 de dezembro de 1978, somente o pau-brasil foi declarado árvore nacional por meio da Lei nº 6607.[9] Houve outras tentativas de estabelecer o ipê-amarelo como a flor nacional com os projetos de lei PL-2293/1974 e PL-882/1975, mas as duas PL foram arquivadas na Câmara dos Deputados.[10][11]
Ipê-amarelo-flor-de-algodão (Handroanthus serratifolius) é uma espécie de árvore do gênero Handroanthus. No Brasil também é conhecida como somente ipê-amarelo, ou então: ipê-amarelo-da-mata, ipê-ovo-de-macuco, ipê-pardo, ipê-tabaco, pau-d’arco-amarelo, piúva-amarela, tamurá-tuíra.
Handroanthus serratifolius là một loài thực vật có hoa trong họ Chùm ớt. Loài này được (Vahl) S.O.Grose mô tả khoa học đầu tiên năm 2007.[1]
Handroanthus serratifolius là một loài thực vật có hoa trong họ Chùm ớt. Loài này được (Vahl) S.O.Grose mô tả khoa học đầu tiên năm 2007.