Aristolochia littoralis (lat. Aristolochia littoralis) — zəravəndkimilər fəsiləsinin zəravənd cinsinə aid bitki növü.
Aristolochia littoralis (lat. Aristolochia littoralis) — zəravəndkimilər fəsiləsinin zəravənd cinsinə aid bitki növü.
Aristolochia littoralis, the calico flower or مورپنکھ بیل or elegant Dutchman's pipe, is a species of evergreen vine belonging to the family Aristolochiaceae.
The scientific name Aristolochia was developed from Ancient Greek aristos (άριστος) "best" + locheia (λοχεία), "childbirth" or "childbed", as in ancient times the plant was thought to be effective against infections caused by childbirth. The species Latin name littoralis means “coastal”.
Aristolochia littoralis is a climbing vine that can reach about 3–4.5 metres (9.8–14.8 ft) in length. The slender stems are woody and the leaves are bright green, cordate, amplexicaul, 7–9 centimetres (2.8–3.5 in) long and 5–10 centimetres (2.0–3.9 in) wide, forming a dense attractive foliage. Flowers are heart-shaped, greenish yellow with intricate purplish-brown markings. These unusual flowers are about 7–8 centimetres (2.8–3.1 in) long, grow solitary in the leaf axils and resemble Sherlock Holmes's pipe (hence the common name of "Dutchman's pipe"). The inner surface of the flared mouth is completely purplish-brown. The flowering period extends through all summer. These plants are pollinated by flies which are attracted by the unpleasant carrion-like odor produced by the flowers. The numerous winged seeds are borne in dry dehiscent capsules that split like small parachutes. As the seeds are winged they are easily dispersed by wind. Plants in the related genus Pararistolochia differ by having fleshy moist fruit that do not split. This plant contains aristolochic acid, a toxic alkaloid.
The vining plant is native to southern and western South America. It is found in:
It is an invasive species in Australia and in the southern United States. In Australia it is fatal to the caterpillars of two butterflies, the Cairns birdwing (Ornithoptera euphorion) and of the threatened Richmond birdwing (O. richmondia), and threatens to displace their proper host plant, A. tagala.
Aristolochia littoralis prefers acid-neutral soils (pH 5.5 – 7.0) and average moisture, in part sun to shade, at an elevation of about 0–1,150 metres (0–3,773 ft)
This subtropical plant requires a minimum temperature of 7 °C, and in temperate regions is grown under glass. It has gained the Royal Horticultural Society's Award of Garden Merit.[4]
The dehiscent capsules
Aristolochia littoralis, the calico flower or مورپنکھ بیل or elegant Dutchman's pipe, is a species of evergreen vine belonging to the family Aristolochiaceae.
La flor de calicó (Aristolochia littoralis) es una especie botánica, (sin. A. elegans) es una planta nativa de Brasil que ha invadido Estados Unidos y Australia donde son conocidas porque matan por envenenamiento a las mariposa birdwing birdwing.
Es una liana glabra. Las hojas de 7-9 cm de largo y 6-10 cm de ancho, anchamente ovadas; ápice obtuso o redondeado; base anchamente cordado-lobada, con seno profundo; margen plano; hojas glabras. Pecíolo 4.5-7 cm de largo, glabro. Pseudoestípulas circulares a anchamente ovadas, hasta 1.7-2 cm de largo y 1.7-2 cm de ancho. Pedúnculos de 7-12 cm de largo. Perigonio geniculado; utrículo elipsoide a oblongo, 2-4 cm de largo, 1-1.6 cm de diámetro; tubo curvado, 1.5-3 cm de largo, 3-7 mm de diámetro; limbo unilobulado, anchamente ovado, 4-7 cm de largo, 3.5-7.5 cm de ancho, de ápice obtuso o redondeado y base cordada, de color púrpura oscura con el centro amarillo en material fresco. Ginostemo 6-lobulado, 6-8 mm de largo, 3-6 mm de diámetro, con 6 anteras; anteras oblongas, alrededor de 4 mm de largo. Cápsula cilíndrica, 5-6 cm de largo, 2-3 cm de diámetro; rostro de 6-9 mm de largo, con un disco subapical. Semillas ovoides, 3.5-5 mm de largo, 3-5 mm de ancho, con ala alrededor de 1 mm de largo, verrugosas en la cara abaxial; la rafe linear promínula.[1]
Se utiliza bastante como planta ornamental en jardinería. Su nombre común en castellano es "aristoloquia" o "candiles".
Es tolerante al encharcamiento. Necesita de un terreno húmedo y sus necesidades de riego son medias-altas. Requiere de un suelo ácido - neutro (pH 5,5 - 7,5).
Aristolochia littoralis fue descrita por Domingo Parodi y publicado en Anales de la Sociedad Científica Argentina 5: 155. 1878.[1]
Aristolochia: nombre genérico que deriva de las palabras griegas aristos ( άριστος ) = "que es útil" y locheia ( λοχεία ) = "nacimiento", por su antiguo uso como ayuda en los partos.[2][3] Sin embargo, según Cicerón, la planta lleva el nombre de un tal "Aristolochos", que a partir de un sueño, había aprendido a utilizarla como un antídoto para las mordeduras de serpiente.[4]
La aristoloquia se llamó ansí por parecer que a las mujeres socorría en el parto........La redonda tiene virtud contra todas las otras ponzoñas; mas la luenga resiste el daño de las serpientes y de cualquier veneno mortífero si se bebe una dracma della con vino y se aplica también por de fuera. Bebida con pimienta y con mirra expele el menstruo, las pares y la criatura del vientre; y lo mismo hace metida en la natura de la mujer. Pedacio Dioscórides Anazarbeo, acerca de la Materia Medicinal y de los venenos mortíferos. Andrés Laguna. 1566, Salamanca.
littoralis:, epíteto latino que significa "litoral, al lado del mar".
Cicerone, De divinatione 1.10.16Quid scammoneae radix ad purgandum quid aristolochia ad morsus serpentium possit quae nomen ex inventore repperit rem ipsam inventor ex somnio - posse video quod satis est; cur possit nescio.
La flor de calicó (Aristolochia littoralis) es una especie botánica, (sin. A. elegans) es una planta nativa de Brasil que ha invadido Estados Unidos y Australia donde son conocidas porque matan por envenenamiento a las mariposa birdwing birdwing.
L'Aristoloche élégante (Aristolochia elegans, syn. A. littoralis) est une plante de la famille des aristolochiacées, présentant un caractère invasif dans de nombreuses régions tropicales, et causant le déclin d’une espèce de papillon à Queensland (Australie). Néanmoins, dans certains pays, elle reste très appréciée par la médecine traditionnelle.
Elle peut être trouvée sous le nom d’Aristolochia elegans Mast. (1885) et Aristolochia littoralis Parodi. (1878). Ces deux noms sont des synonymes, mais ont parfois été traités comme des espèces différentes, considérant A. littoralis comme l’espèce endémique d’Argentine et A. elegans comme l’espèce trouvée ailleurs[2],[3].
Les bases de données de classification les traitent comme des synonymes mais utilisent préférentiellement A. elegans[2].
La couleur de sa fleur (tachée de mauve) lui a conféré le surnom de « Fleur de Calico », tandis que sa morphologie en forme de pipe est responsable de ses deux autres surnoms : « Pipe du hollandais »[4] et « Aristoloche siphon »[5].
C’est une plante grimpante (liane) dont le port peut s’élever de 3 à 7 m. Ses tiges volubiles s’enroulent autour d’un support solide et possèdent de nombreuses fleurs solitaires dont le pédoncule est inséré à l’aisselle des feuilles[2],[4],[7].
Les tiges sont cylindriques et glabres. Elles sont minces et verdâtres lorsqu’elles sont jeunes, mais se rigidifient et brunissent avec le temps[2],[4],[7].
Les feuilles sont également glabres, à face supérieure d’un vert vif et à face inférieure plus pâle. Leur nervation est palmée et leur forme s’apparente à un cœur : elles sont larges (3-12 cm x 3-10 cm), entières, cordiformes ou réniformes, à base cordée et apex obtus[2]. Ce sont des feuilles simples, portées par un pétiole mesurant de 15 à 50 mm de long, à la base duquel on peut retrouver un pseudostipule, le pétiole est auriculé. Leur disposition sur la tige est alterne[2],[4],[7].
Les fleurs sont hermaphrodites et portées par un pédoncule pendant. Elles ne possèdent pas de pétales mais des sépales ayant fusionné sur presque toute leur longueur[8], formant ainsi un long tube ouvert à l’extrémité et présentant une courbure abaxiale à presque 360°.
La couleur de ce calice passe de vert pâle (sur la longueur où les sépales sont soudés) à crème et brun-violet (à partir du début de l’ouverture)[2],[4],[7].
L’extrémité ouverte fait penser à un cœur à l’envers, d’une dizaine de centimètres de diamètre, avec en son centre une gorge munie de trichomes internes dirigés vers le bas[5],[9].
Une fleur possède un carpelle 6-loculaire, autour duquel ont fusionné 6 étamines pour former un tube de 6 x 5 mm[10].
Les fleurs sont mellifères[11].
Les fruits sont des capsules cylindriques à 6 poches internes parallèles et fermées[12]. Ils sont longs de 4 à 6 cm et larges de 2 à 3 cm, avec une fine projection d’1 cm de longueur à leur extrémité[4],[7].
Au moment de la déhiscence, le fruit s’ouvre par son extrémité attachée et libère environ 350 graines de forme triangulaire à bords arrondis, de 6 mm de long et 4 mm de large[12]. Ces graines ont un ventre lisse avec une ligne médiane protubérante, et un dos plat granuleux. Elles sont très légères et se dispersent donc facilement par le vent et par l’eau[13].
A. elegans est originaire d’Amérique du Sud, on la trouve notamment au Brésil, en Bolivie, Colombie, Équateur, Paraguay et Argentine[4].
L'espèce est également envahissante dans de nombreuses régions tropicales[2],[4]. Elle a été introduite pour des raisons ornementales ainsi que pour créer des zones d’ombre[14],[15], mais s’est répandue beaucoup plus vite que prévu et est en train de prendre le dessus sur les plantes indigène de ces régions[2],[4],[7].
Dans le Queensland, à l’Est de l’Australie, elle est responsable du rapide déclin d’une espèce de papillon[3]. Des mesures ont donc été prises pour ôter au plus vite cette espèce des sols australiens, mais le cycle de vie rapide et la coriacité de l’aristoloche rend cette tâche très compliquée[2]. Les deux méthodes utilisées actuellement pour en arriver à terme sont de la retirer manuellement, ou de la pulvériser d’herbicide[3].
En 2016, Aristolochia elegans était sur la liste des espèces interdites en Australie occidentale et ne pouvait donc pas entrer dans l’État[4]. Actuellement (2019), le site du gouvernement d’Australie occidentale la classe comme un organisme autorisé, pouvant être importé avec un permis[16].
Dans le Queensland, en revanche, elle fait toujours partie de la catégorie 3 des plantes invasives. Cette catégorie signifie qu’elle est déjà présente dans le Queensland et qu’il faut limiter sa dispersion, en protégeant les régions de l’État qui n’ont pas encore été colonisées. Il est donc interdit de relâcher ces plantes dans l’environnement, et de donner ou vendre la plante ainsi que ses graines[4],[17].
Il est tout de même possible d’avoir un permis pour son utilisation à Queensland, mais son acquisition doit être justifiable. En effet, ce permis ne peut être délivré que pour une utilisation commerciale sous conditions très strictes, un contrôle biologique ou de la recherche scientifique[17].
En Nouvelle-Calédonie, où elle aurait été introduite en 1925, elle présente un risque modéré[18]. Le Code de l'environnement de la Province Sud interdit l’introduction dans la nature de cette espèce ainsi que sa production, son transport, son utilisation, son colportage, sa cession, sa mise en vente, sa vente ou son achat[19].
C’est une plante pouvant s’adapter à de nombreux types de milieux (forêts tropicales, bords de route, cours d’eau,…)[2],[4]. On la retrouve également à de nombreuses altitudes : entre 2m (île de St John)[20] et 2000m (Pérou et Équateur)[2].
Elle tolère l’ombre et les sols sableux, mais possède tout de même une préférence pour les climats tropicaux et sols bien drainés et fertiles, de pH acide à neutre[2],[20].
Aristolochia elegans est une espèce pérenne[2],[21] à feuilles persistantes[4],[8], produisant des fleurs et fruits chaque année, sauf la première[12].
Elle peut se reproduire de façon végétative (par les tiges ou les racines)[2],[7], et de façon sexuée.
L’autofécondation est possible[22] mais très rare car l’espèce est protogyne, c’est-à-dire que le stigmate de son carpelle est mature avant la les anthères des étamines, ce qui a donc pour but d’éviter l’autopollinisation[12].
Lors du développement de la fleur, le primordium médian des sépales va rapidement fusionner avec les deux autres pour former le tube, et les lobes latéraux resteront séparés pour former l’ouverture[23].
Les fleurs sont pollinisées principalement par des diptères attirés par l’odeur de charogne que dégage la fleur[7],[12],[24], et par des lépidoptères[2],[3],[4].
Ces insectes, chargés de pollen d’une autre plante, entrent par le tube de la fleur et sont bloqués dans leur chemin du retour par les poils dirigés vers le bas dans le tube. Ils ne pourront s’en échapper que lors de la déhiscence des anthères, car les poils vont simultanément faner, et ils emporteront alors dans leur sortie le pollen de l’aristoloche[9],[24]. Ce processus permet donc une fécondation croisée efficace.
Le papillon Ornithoptera richmondia est une espèce de lépidoptère endémique d’Australie. Habituellement, les femelles pondent leurs œufs dans les fleurs de Pararistolochia praevenosa, et les chenilles se nourrissent alors des feuilles de cette espèce jusqu’à leur nymphose[2],[4]. Lors de l’introduction d’Aristolochia elegans à Queensland (Est de l’Australie), il a été observé que ces papillons déposaient préférentiellement leurs œufs dans les fleurs d’aristoloche, plutôt que dans celles de P. praevenosa. Les feuilles d’A. elegans, contenant de l’acide aristolochique, sont cependant toxiques pour les chenilles, et induisent donc leur mort[3].
Comme autres pollinisateurs, nous pouvons citer les Phoridae et les Drosophiladae (diptères)[7],[12],[24], ainsi que Cressida cressida et Pachliopta polydorus (lépidoptères)[2],[3],[4].
Il peut également y avoir symbiose avec entre la plante et champignon Piriformospora indica. Cette mycorhize va augmenter la croissance de la plante et sa production d’acide aristolochique[25].
Enfin, A. elegans peut être infectée par des pucerons ou des champignons comme Cercospora, Botrytis cinera, Sclerotium rolfsii ou encore Pythium.
L’aristoloche fait partie du groupe des « Guaco », qui sont des plantes grimpantes réputées pour avoir des vertus curatives[26]. En effet, autant ses racines que ses feuilles et ses fruits ont été utilisés dans plusieurs pays pour la médecine traditionnelle[2],[27] car ils contiennent de nombreuses molécules utiles comme des alcaloïdes, des terpénoïdes ou encore des lignanes[28].
Dans la médicine traditionnelle, l’aristoloche élégante est principalement utilisée en Afrique, pour traiter la malaria[21],[25], et au Mexique où elle servirait d’agent détoxiquant contre les morsures de serpent et les piqûres de scorpion[26],[29].
Lors d’une expérience[21] en 2011, Yilkal Belay a même montré que la majorité de ses sujets atteints de malaria en Ouganda préféraient et trouvaient plus efficace de se soigner grâce à des graines d’aristoloche que par de la médecine conventionnelle. De plus, à part quelques exceptions de nausées et vomissements, aucun effet secondaire récurrent n’a été observé tant que les bons dosages étaient respectés. Par contre, des préparations chinoises contenant trop d’acide aristolochique auraient tout de même causé des cas de néphrotoxicité[21].
Une autre utilisation possible de l’espèce est de s’en servir comme fongicide, bien que ça ne soit pas la plus efficace des plantes dans ce domaine[30]. Il a par ailleurs été démontré qu’elle possédait une faible activité antimycobactérienne mais une bonne activité antiprotozoaire[27].
Outre ces propriétés curatives majeures, on peut retrouver de nombreuses autres utilisations de cette espèce en médecine traditionnelle, dont voici quelques exemples : antitussif, antiasmathique, analgésique, insecticide, antitumoral, laxatif, contracteur de l’utérus, antiparasite chez les bovins[21],…
Cependant, ce type de médecine peut parfois être erroné. En effet, l’aristoloche est utilisée contre les tumeurs dans certains pays, mais il a été démontré que l’acide aristolochique qu’elle contient peut avoir des effets néphrotoxiques et cancérigènes chez l’humain[25],[31], et notamment causer un cancer des voies urinaires[2].
L'Aristoloche élégante (Aristolochia elegans, syn. A. littoralis) est une plante de la famille des aristolochiacées, présentant un caractère invasif dans de nombreuses régions tropicales, et causant le déclin d’une espèce de papillon à Queensland (Australie). Néanmoins, dans certains pays, elle reste très appréciée par la médecine traditionnelle.
Aristolochia littoralis (synoniem: Aristolochia elegans Mast.) is een klimplant met hartvormige bladeren met een grijsgroene onderkant. Bij kneuzing verspreiden de bladeren een onaangename geur.
De bloemen staan solitair in de bladoksels op lange stelen. Ze zijn opgebouwd uit een kromme, groengele, circa 3,5 cm lange bloembuis die uitloopt in een circa 10 cm lange, paarsbruine, onregelmatig bruin- en witgevlekte zoom.
Aritsolochia littoralis komt van nature voor in Brazilië.
Aristolochia littoralis (synoniem: Aristolochia elegans Mast.) is een klimplant met hartvormige bladeren met een grijsgroene onderkant. Bij kneuzing verspreiden de bladeren een onaangename geur.
De bloemen staan solitair in de bladoksels op lange stelen. Ze zijn opgebouwd uit een kromme, groengele, circa 3,5 cm lange bloembuis die uitloopt in een circa 10 cm lange, paarsbruine, onregelmatig bruin- en witgevlekte zoom.
Aritsolochia littoralis komt van nature voor in Brazilië.
Aristolochia elegans, também conhecida como cipó-mil-homens, é uma planta ornamental brasileira da família das aristoloquiáceas. Também é conhecida pelos nomes de caçaú, jarrinha-pintada, mil-homens-de-babado e patito.
Aristolochia elegans, também conhecida como cipó-mil-homens, é uma planta ornamental brasileira da família das aristoloquiáceas. Também é conhecida pelos nomes de caçaú, jarrinha-pintada, mil-homens-de-babado e patito.
A. littoralis
和名 パイプカズラ 英名 guaco、duck flower、elephant footなど[1]パイプカズラ Aristlochia elegans M. T. Mast. はウマノスズクサ科の植物の1つ。日本のオオバウマノスズクサの花を極端に大きくしたような花をつけ、観賞用に栽培される。
常緑性のつる性低木[2]。全株に毛がない。葉には長い葉柄があり、葉身は心臓型で先端は次第に細くなって尖り、長さ2.5-6cm。花は葉腋から出て長い花柄の先に単独で生じる。花筒は黄緑色でUの字に曲がり、その先の広がった舷部は膨らんで先が開き、正面からは長楕円形に見える。この部分は長さ7-8cmあり、内側は黄色で広がった部分全体は黒紫色でビロード状となっており、そこに白い斑紋がある[3]。
学名の種小名は『優美な』の意であり、和名としてはサラサバナも用いられる[4]。
原産地はブラジルで、温室栽培が各地で行われる[5]。
同属のアリストロキア・ギガンテア(英語版)(A. gigantea)は形が似ているが花の大きさが長さ23cm、幅19cmにもなる。またやはり同属のペリカンバナ(英語版)(A. grandiflora)もやや似ていて、舷部の下が尾状に伸び、オオパイプカズラの和名で呼ばれることがある[6]。
温室で観賞用に栽培される[7]。 発見者は D. Parodi で、1883年にブラジルのパラナ河で発見され、イギリスにはその年に標本が送られ、1885年には生品がイギリスに送られた。日本への渡来は昭和20年である[8]。
なお、メキシコの伝統医療では本種は抗菌作用、抗腫瘍作用、下痢止め、解熱、蛇の咬傷やサソリ毒に対する効果があるとされてきた[9]。その成分や薬効に関する研究も行われている。
パイプカズラ Aristlochia elegans M. T. Mast. はウマノスズクサ科の植物の1つ。日本のオオバウマノスズクサの花を極端に大きくしたような花をつけ、観賞用に栽培される。