Echinometra is a genus of sea urchins in the family Echinometridae.
The following species are listed in the World Echinoidea Database:[1]
Echinometra is a genus of sea urchins in the family Echinometridae.
Echinometra est un genre d'oursins tropicaux de la famille des Echinometridae, très répandu dans toutes les mers chaudes du globe.
Ce sont des oursins réguliers de forme canonique : test (coquille) plus ou moins globulaire, radioles (piquants) fines, pointues et de longueur moyenne, symétrie pentaradiaire reliant la bouche située au centre de la face orale (inférieure) à l'anus situé à l'apex aboral (pôle supérieur).
D'un point de vue squelettique, les représentants de ce genres sont caractérisés par un test légèrement ovale (de même que le péristome et le périprocte), un disque apical hémicyclique, des plaques ambulacraires polygéminées avec 5 à 7 paires de pores disposés en arcs séparés par des tubercules secondaires, des plaques ambulacraires et interambulacraires portant chacune un tubercule primaire, et des radioles coniques et pointues, ne dépassant pas le diamètre du test en longueur[2].
On les appelle souvent « oursins perforants » car ils ont la particularité de se creuser des logettes dans les roches tendres à l'aide de leurs radioles et de leurs dents, pour y passer la journée à l'abri des prédateurs (ce sont donc des espèces ingénieures, qui modifient leur environnement physique). Cependant, les Echinometra ne sont pas les seuls à adopter ce comportement, qui se retrouve aussi chez Strongylocentrotus purpuratus (de la famille des Strongylocentrotidae) et Paracentrotus lividus (famille des Echinidae).
Ce genre semble être apparu au début du Miocène[2].
Le genre a été décrit par le zoologiste britannique John Edward Gray en 1855. Il est synonyme de Ellipsechinus Lütken, 1864 et Mortensenia Döderlein, 1906.
Le nom du genre est emprunté à Pline l'Ancien, qui l'utilise au livre IX de son Histoire naturelle pour désigner probablement des cidaridés ou l'oursin diadème de Méditerranée : « On appelle « échinomètres » ceux dont les piquants sont le plus longs et le corps le plus petit »[3].
Du fait de sa large répartition et des possibilités d'hybridation, le découpage en espèces bien délimitée est sujet à controverses dans le milieu scientifique, qui reconnaît généralement entre 5 et 8 espèces ; le statut d’Echinometra oblonga (Blainville, 1825) est encore débattu, considéré alternativement comme une sous-espèce d'E. mathaei ou comme une espèce à part, les possibilités d'hybridation complexifiant encore la donne[4]. E. mathaei semble quant à lui divisible en au moins 5 espèces distinctes génétiquement, avec des variations morphologiques encore peu claires[5].
Selon World Register of Marine Species[1] :
Selon NCBI (27 septembre 2013)[6] : ...
Selon ITIS (27 septembre 2013)[7] :
Echinometra est un genre d'oursins tropicaux de la famille des Echinometridae, très répandu dans toutes les mers chaudes du globe.
Echinometra Gray, 1825 è un genere di ricci di mare appartenenti alla famiglia Echinometridae.
In questo genere sono riconosciute 5 specie[1]:
Echinometra Gray, 1825 è un genere di ricci di mare appartenenti alla famiglia Echinometridae.
Echinometra is een geslacht van zee-egels uit de familie Echinometridae.
Echinometra is een geslacht van zee-egels uit de familie Echinometridae.
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