Die Stekelseester (Marthasterias glacialis) is 'n seester wat voorkom aan die suidkus van Suid-Afrika en word tot 20 cm breed. Die oranje kleurige liggaam is oortrek met blougrys knoppiesagtige stekels. Die seester leef in tussengetypoele en vreet mossels deur die skulp oop te forseer met die voete. Dan word die pens uitgestulp om die vleis te verteer. Hulle vreet ook klipmossels, tolskulpe en eendmossels.
Die Stekelseester (Marthasterias glacialis) is 'n seester wat voorkom aan die suidkus van Suid-Afrika en word tot 20 cm breed. Die oranje kleurige liggaam is oortrek met blougrys knoppiesagtige stekels. Die seester leef in tussengetypoele en vreet mossels deur die skulp oop te forseer met die voete. Dan word die pens uitgestulp om die vleis te verteer. Hulle vreet ook klipmossels, tolskulpe en eendmossels.
Der Eisseestern oder Eisstern (Marthasterias glacialis) ist eine Art der Seesterne aus der Ordnung der Zangensterne (Forcipulatida), der im östlichen Atlantik und im Mittelmeer zu finden ist. Mit bis zu einem Meter Spannweite gehört er zu den größten Seesternen der Welt.
Marthasterias glacialis wird meist etwa 30 cm groß, doch kann er einen Durchmesser von bis zu 80 cm und bisweilen bis 1 m erreichen. Er hat einen vergleichsweise kleine Mittelscheibe und 5 lange, schlanke Arme.
Jeder Arm hat drei Längsreihen konischer, weißlicher Stacheln, meist mit rosafarbenen Spitzen, die jeder von einem Kranz von etwa 400 Pedicellarien umgeben sind. Sein Name bezieht sich auf die manchmal weißliche Färbung, die jedoch sehr variiert zwischen bräunlich oder grünlich-grau mit gelb oder rot, manchmal violett an den Armspitzen.[1]
Marthasterias glacialis ist im östlichen Atlantik von Island, Norwegen, Irland und der Westküste Großbritanniens über die Azoren bis zu den Kapverden verbreitet und darüber hinaus auch im Mittelmeer und Südafrika anzutreffen.[2] Er lebt sowohl auf geschützten schlammigen als auch felsigen Untergründen bis in Tiefen von etwa 200 m.[1]
Über den Fortpflanzungszyklus ist bisher vergleichsweise wenig bekannt. Vor der Küste Irlands sammeln sich im Juli und August Weibchen ab etwa 9 cm und Männchen ab etwa 2,5 cm im seichten Wasser und geben wenige Tage später Eizellen und Sperma ins Meerwasser ab. Es findet eine äußere Befruchtung und eine weitere Entwicklung über Larvenstadien statt.[2]
Marthasterias glacialis ernährt sich von Muscheln, Schnecken, Seeigeln, Seescheiden, Rankenfußkrebsen und Zehnfußkrebsen.
Wie andere Seesterne der Familie Asteriidae öffnet er Muscheln durch die Kraft seiner Saugfüßchen und stülpt zur extraintestinalen Verdauung der Beute seinen Magen aus. Er vermag mit seiner Kraft das Außenskelett des Steinseeigels (Paracentrotus lividus), eines seiner Hauptbeutetiere im Mittelmeer, zu zerbrechen.[3]
Ein weiteres häufiges Beutetier im Mittelmeer ist die Venusmuschel Venus verrucosa, doch kann der Eisstern im Gegensatz zum Großen Kammstern (Astropecten aranciacus) tiefer vergrabene Muscheln schwer erreichen.[4] Marthasterias glacialis frisst unter anderem auch den Seestern Asterina gibbosa, den Seeigel Psammechinus miliaris und kleine Zehnfußkrebse der Gattungen Porcellana (Porzellankrebse) und Portunus.[5]
In Südafrika macht die Miesmuschel Choromytilus meridionalis einen Großteil seiner Nahrung aus, doch steht er hier in starker Nahrungskonkurrenz zum Felsenhummer Jasus lalandii und der Mondschnecke Natica tecta.[6]
Die Wellhornschnecke (Buccinum undatum) zeigt auf Saponine des Eisseesterns heftige Fluchtreaktionen und weicht bei geringeren Konzentrationen gezielt aus.[7] Der Seeigel Strongylocentrotus droebachiensis ergreift vor Marthasterias glacialis ebenfalls die Flucht, während sich Psammechinus miliaris mit seinen giftigen Pedicellarien verteidigt.[8]
Marthasterias glacialis ist die einzige Art der monotypischen Gattung Marthasterias in der Familie Asteriidae. Er wurde 1758 von Carl von Linné als Asterias glacialis beschrieben und 1878 von Jules Jullien in den Stand der Gattung Marthasterias erhoben.
Der Eisseestern oder Eisstern (Marthasterias glacialis) ist eine Art der Seesterne aus der Ordnung der Zangensterne (Forcipulatida), der im östlichen Atlantik und im Mittelmeer zu finden ist. Mit bis zu einem Meter Spannweite gehört er zu den größten Seesternen der Welt.
La estrella espinosa común (Marthasterias glacialis) es la única especie del género Marthasterias[1] de equinodermo asteroideo de la familia Asteriidae.[2] Habita en el este del Océano Atlántico.[3]
Fue descrita científicamente en 1758 por Carlos Linneo en la 10.ª edición de su obra Systema naturæ, donde fue incluida dentro del género Asterias.[2] En 1878 Jullien describió el nuevo género Marthasterias, al cual designó como especie tipo la nueva especie Marthasterias foliacea Jullien, 1878.[1] Esta especie es considera actualmente un sinónimo de M. glacialis.[4]
Comprende dos formas:[2]
La estrella espinosa común (Marthasterias glacialis) es la única especie del género Marthasterias de equinodermo asteroideo de la familia Asteriidae. Habita en el este del Océano Atlántico.
L'Étoile de mer glaciaire (Marthasterias glacialis) est une espèce d'étoile de mer du genre Marthasterias, de la famille des Asteriidae.
Cette animal est une grosse étoile de mer, mesurant généralement entre 30 et 40 cm mais qui peut atteindre jusqu'à 80 cm de diamètre. Les couleurs de sa robe sont extrêmement variables, en fonction de son habitat et de son âge. Les jeunes sont souvent ternes (bruns, gris, verdâtres, bleuâtre) et les individus matures ou vivant plus profond sont plus colorés (orange, jaune, rouge bleu... unies ou chamarrées). C'est donc moins à ses couleurs qu'à sa forme que l'on reconnaît cette étoile. Le disque central, légèrement bombé, est plutôt réduit et souvent légèrement plus sombre que les bras ; sur la face dorsale il porte l'anus en position dorsale, et une plaque madréporitique. Autour de ce disque rayonnent les 5 bras (exceptionnellement 4 ou 6, voire 7), assez rigides, bien séparés, de section ronde et au bout arrondi (à la pointe de chacun se trouve une tache rose qui est un ocelle). Ces bras sont hérissés de points calcaires très caractéristiques, épaisses, dures et coniques, plus ou moins émoussées, et disposées en trois lignes longitudinales. Chacune de ces pointes est entourée d'une épaisse touffe de pédicellaires de couleur bleuâtre. Entre ces amas, on peut voir les papules respiratoires, régulièrement protégés par d'autres pédicellaires, plus gros et en forme de pince. Sur la face orale, des sillons ambulacraires parcourent longitudinalement les bras pour rejoindre la bouche, portant 4 rangées de podia et des piquants et pédicellaires espacés régulièrement[1].
Étoile de mer glaciaire à la Réserve naturelle nationale de Cerbère-Banyuls.
Gros plan sur le bout du bras. On voit les podia, les piquants et les touffes de pédicellaires.
Marthasterias glacialis dans le parc naturel de l'Arrábida, Portugal. Juillet 2020.
Elle peut être confondue avec l'étoile bleue Coscinasterias tenuispina qui porte un système de piquants et de pédicellaires similaire, mais cette étoile est bien plus petite[1].
L'aire de répartition de cette étoile couvre l'océan Atlantique nord depuis la Norvège jusqu'en Méditerranée, mais rare dans la mer Manche et en mer du Nord[1]. Dans l'Atlantique sud, elle est remplacée par son espèce-sœur Marthasterias africana.
On trouve cette étoile de la surface à 200 m de profondeur, sur les fonds rocheux où elle apprécie les crevasses où elle se tient à l'abri des prédateurs. Plus en profondeur, elle accepte plus facilement les substrats plus fins[1].
Cette étoile est un prédateur carnivore. Elle consomme principalement des mollusques (huîtres, moules, autres bivalves) mais aussi des oursins, des crustacés, d'autres invertébrés et des charognes. La digestion est externe : l'étoile dévagine son estomac sur sa proie préalablement immobilisée et enlacée. Ses puissants podia lui permettent d'ouvrir les coquilles des bivalves[1].
Les sexes sont séparés. La reproduction est gonochorique, et mâles et femelles relâchent leurs gamètes en même temps grâce à un signal phéromonal, en pleine eau, où œufs puis larves vont évoluer parmi le plancton pendant quelques semaines avant de se fixer[1].
Comme beaucoup d'étoiles de mer, l'étoile glaciaire a des capacités de régénération impressionnantes : elle peut perdre la majorité de ses bras et les reconstituer en quelques mois, voire se reconstituer à partir d'un bras isolé s'il contient une fraction suffisante du disque central[1].
En raison de son appétit pour les bivalves, cette étoile est redoutée des conchyliculteurs, mytiliculteurs et ostréiculteurs[1].
Elle s'acclimate relativement bien en aquarium, où elle est réputée pour ses couleurs et son aspect original[1].
En 1995, alors qu'il travaille au CNRS de la station biologique de Roscoff sur des protéines (des kinases) extraites d'œufs de cette étoile de mer, Laurent Meijer découvre la roscovitine, kinase dépendante des cyclines (CDK), devenue un des inhibiteurs de CDK à visée antitumorale le plus couramment utilisé en recherche fondamentale et appliquée[2].
Selon World Register of Marine Species (25 janvier 2014)[3] :
L'Étoile de mer glaciaire (Marthasterias glacialis) est une espèce d'étoile de mer du genre Marthasterias, de la famille des Asteriidae.
La martasteria o stella marina spinosa (Marthasterias glacialis Linnaeus, 1758) è un echinoderma della famiglia degli Asteriidae, comune nel Mar Mediterraneo.
Forma regolare con cinque braccia. Il corpo è caratterizzato da spine, di colore variabile bianco, grigio, marrone, rosso, azzurro. Risulta essere[1] la specie più grande nel Mediterraneo, raggiungendo anche gli 85 centimetri di diametro.
Mar Mediterraneo occidentale, su fondali rocciosi o nelle praterie di Posidonia oceanica, fino a circa 200 metri di profondità.
Si può confondere con Coscinasterias tenuispina, da cui però si distingue per il numero di braccia.
La martasteria o stella marina spinosa (Marthasterias glacialis Linnaeus, 1758) è un echinoderma della famiglia degli Asteriidae, comune nel Mar Mediterraneo.
Marthasterias glacialis is een zeester uit de familie Asteriidae.
De wetenschappelijke naam van de soort werd in 1758 gepubliceerd door Carl Linnaeus.[1]
Bronnen, noten en/of referentiesIshavssjöstjärna, ishavsstjärna eller taggig sjöstjärna (Marthasterias glacialis) är en art i familjen Asteriidae i klassen sjöstjärnor. Som andra sjöstjärnor har den fem sugfotsförsedda armar som sticker ut från en central platt kropp. Ishavssjöstjärnan har tre rader med taggkrönta vita knölar på varje arm.
Ishavssjöstjärna, ishavsstjärna eller taggig sjöstjärna (Marthasterias glacialis) är en art i familjen Asteriidae i klassen sjöstjärnor. Som andra sjöstjärnor har den fem sugfotsförsedda armar som sticker ut från en central platt kropp. Ishavssjöstjärnan har tre rader med taggkrönta vita knölar på varje arm.