In Panama this species has been collected in the Caribbean from Galeta Island (USNM E 36761, USNM E 36759, USNM E 26603 & USNM 1114969; Centroid Latitude: 9.4033, Centroid Longitude: -79.8600, depth < 2 m) and Margarita Island, Limon Bay (USNM E 4880).
Mortensen, T. (1951): A Monograph of the Echinoidea. V, 2. Spatangoida II. Amphisternata II. Spatangidæ, Loveniidæ, Pericosmidæ, Schizasteridæ, Brissidæ. - 593 pp., Copenhagen (C. A. Reitzel); pages: 509-514.
LSID urn:lsid:marinespecies.org:taxname:124380Brissus brissus Tortonese, 1933 (subjective junior synonym)
Brissus columbaris (Lamarck, 1816) (subjective junior synonym)
Brissus cylindricus L. Agassiz & Desor, 1847 (subjective junior synonym)
Brissus dimidiatus L. Agassiz & Desor, 1847 (subjective junior synonym)
Brissus imperati Lambert & Thiery, 1924 (subjective junior synonym)
Brissus scillae L. Agassiz, 1836 (subjective junior synonym)
Spatangus (Brissus) placenta Philippi, 1845 (subjective junior synonym)
Spatangus (Brissus) unicolor Leske, 1778 (transferred to Brissus)
Spatangus brissus unicolor Leske, 1778 (unaccepted combination)
Spatangus columbaris Lamarck, 1816 (subjective junior synonym)
Spatangus scillae (L. Agassiz, 1836) (subjective junior synonym)
Brissus unicolor is a species of sea urchins of the family Brissidae. Their armour is covered with spines. Brissus unicolor was first scientifically described in 1778 by Nathanael Gottfried Leske.[1]
The urchin buries itself in the coarse sand at depths of 6 to 250 meters (which is why it is rarely observed alive). In the Mediterranean Sea they can be sometimes found living buried in the sediment near the tapeweed, Posidonia oceanica.
When alive, the urchin's whole body is covered in brown spines. After the urchin dies, its shell (also called a "test") has a distinctive pattern that consists of many grey spots. These spots are present on the urchin's test temporarily, disappearing after some time, leaving the urchin a white or a pale brown color.
The urchin's test becomes thicker as the urchin matures. The test can reach a length of about 14 cm.
This species lives in the Mediterranean Sea and some parts of the Atlantic Ocean. [2]
Brissus unicolor is a species of sea urchins of the family Brissidae. Their armour is covered with spines. Brissus unicolor was first scientifically described in 1778 by Nathanael Gottfried Leske.
L'oursin de sable gris (Brissus unicolor) est une espèce d'oursin irrégulier de la famille des Brissidae (ordre des Spatangoida), que l'on trouve notamment en Méditerranée.
Ce sont des oursins irréguliers dont la bouche et l'anus se sont déplacés de leurs pôles pour former un « avant » et un « arrière ». La bouche se situe donc dans le premier quart de la face orale, et l'anus se trouve à l'opposé, tourné vers l'arrière. La coquille (appelée « test ») s'est également allongée dans ce sens antéro-postérieur, pour devenir ovoïde (légèrement plus pointu du côté postérieur). La taille maximale est de 14 cm de long. Cet oursin n'a pas de dépression centrale antérieure, contrairement à beaucoup d'autres oursins irréguliers[2].
Quand l'animal est vivant, tout le corps est couvert d'un duvet et mobile de piquants fins et courts, dessinant plus ou moins des motifs géométriques. La couleur générale est uniforme, gris ou brun clair[2].
Cette espèce ne doit pas être confondue avec ses cousins Spatangus purpureus (en forme de cœur), Brissopsis lyrifera (avec un dessin en forme de lyre), Plagiobrissus costai (plus coloré), Brissopsis atlantica (vivant plus profond), ou encore Schizaster canaliferus (forme plus anguleuse)[2]. Il est la seule espèce de son genre en Méditerranée.
Cet oursin habite toute la Méditerranée et l'est de l'Atlantique tempéré et tropical. Il vit enfoui dans le sédiment (raison pour laquelle il est rarement observé vivant), entre 8 et 250 m de profondeur[2].
L'oursin de sable gris (Brissus unicolor) est une espèce d'oursin irrégulier de la famille des Brissidae (ordre des Spatangoida), que l'on trouve notamment en Méditerranée.
Brissus unicolor is een zee-egel uit de familie Brissidae.
De wetenschappelijke naam van de soort werd in 1778 gepubliceerd door Nathanael Gottfried Leske.[1]
Bronnen, noten en/of referenties