Beaupreopsis is a genus of plant in family Proteaceae, with just one species in the genus, Beaupreopsis paniculata.[1] It is native to New Caledonia on the south of Grand Terre.[2] Its habitat is from open maquis, to mountain area as low scrub, on a substrate of eroded ultramafic rocks.
The plants are shrubs, rarely exceeding 1.50 m in height, with thick branches, scattered and few. They have pseudo-whorled leaves (5-10 x 0, 20-0, 60 cm), more or less toothed or lobed at the apex, cuneate at the base, leathery, venation slightly prominent, petiole short and robust.
Flowers are small, white or pinkish in terminal panicles from 20 to 50 cm. The fruits are small and hairy, containing a single seed.
The soils of ultramafic rocks, which are mining terrains, have been a refuge for many native plant species of New Caledonia because they are toxic and their mineral content is poorly suited to most foreign species of plants.[3] On New Caledonia examples of such soils commonly have an excess of magnesium, plus unusually high concentrations of phytotoxic compounds of heavy metals such as nickel.
Often thick, magnesite-calcrete caprock, laterite and duricrust forms over ultramafic rocks in tropical and subtropical environments. The floral assemblages associated with highly nickeliferous ultramafic rocks are indicative tools for mineral exploration. [4] [5]
The genus Beaupreopsis is most closely related to the genera Cenarrhenes (Tasmania) and Dilobeia (Madagascar).[6]
Beaupreopsis is a genus of plant in family Proteaceae, with just one species in the genus, Beaupreopsis paniculata. It is native to New Caledonia on the south of Grand Terre. Its habitat is from open maquis, to mountain area as low scrub, on a substrate of eroded ultramafic rocks.
Beaupreopsis paniculata
Beaupreopsis est un genre de plantes à fleurs de la famille des Proteaceae, ne comprenant qu'une seule espèce, Beaupreopsis paniculata, endémique de Nouvelle-Calédonie.
L'espèce est décrite en premier par les botanistes français Adolphe Brongniart et Jean Antoine Arthur Gris en 1865, qui la classent dans le genre Cenarrhenes sous le basionyme Cenarrhenes paniculata. Elle est ensuite renommée par Robert Virot en 1968, sous le nom correct Beaupreopsis paniculata, qui la place dans le nouveau genre Beaupreopsis[1],[2],[3].
C'est un arbrisseau dépassant rarement 1,50 m de hauteur, avec des rameaux épais, diffus et peu nombreux. Les feuilles sont pseudo-verticillées (5-10 x 0,20-0,60 cm), plus ou moins dentées ou lobées au sommet, en coin à la base, coriaces ; les nervations sont peu saillantes ; le pétiole est court et robuste[4].
Les fleurs sont petites, blanches ou rosées, sur des inflorescences terminales de 20 à 50 cm, paniculées. Les fruits sont petits et velus, contenant une seule graine. Depuis la révision de Robert Virot, les fruits de cette espèce ont été récoltés à plusieurs reprises, mais ils n'ont jamais fait l'objet d'une description officielle. C'est une espèce à vocation horticole[4].
Cette espèce est commune dans le Sud de la Grande Terre (Nouvelle-Calédonie) en dessous d'une ligne Thio Bouloupari. Elle pousse dans les formations altimontaines basses ou dans le maquis ouvert, sur sol plus ou moins érodé, sur substrat ultramafique[4].
Beaupreopsis paniculata
Beaupreopsis est un genre de plantes à fleurs de la famille des Proteaceae, ne comprenant qu'une seule espèce, Beaupreopsis paniculata, endémique de Nouvelle-Calédonie.