The purple lady nudibranch, Paraflabellina funeka, is a species of aeolid nudibranch, and is a very colourful sea slug. It is a marine gastropod mollusc in the family Flabellinidae.[3]
This species is endemic to the South African coast and is found only from Cape Point to Port Elizabeth[4] in 5–30 m of water.[5]
The purple lady is a slender purple-bodied aeolid with red cerata having white tips. It is usually smaller than 45 mm. It has annulate purple rhinophores with pale tips. It has a pair of pale-tipped oral tentacles which are shorter than the rhinophores.[2] It may also be seen in a white-bodied form, but the red cerata and annulate rhinophores are distinctive.[6]
This aeolid feeds on hydroids of the genus Eudendrium.[4] In common with other aeolid nudibranchs, the cerata of the purple lady aid in respiration but also contain extensions of the digestive system. The purple lady eats the hydroid and passes its nematocysts unharmed through its digestive system to the tips of its cerata. Here the nematocysts mature and are then used by the nudibranch for its own defence. It is probable that the bright colours of the purple lady serve to advertise to predators that it is toxic.
Despite their common name, purple ladies are hermaphrodites. Their egg mass is highly convoluted and white.
The purple lady nudibranch, Paraflabellina funeka, is a species of aeolid nudibranch, and is a very colourful sea slug. It is a marine gastropod mollusc in the family Flabellinidae.
Paraflabellina funeka est une espèce de nudibranches de la famille des Flabellinidés.
Paraflabellina funeka a été décrite en 1981 par Terrence M. Gosliner (d) et Roberta J. Griffiths sous le protonyme de Flabellina funeka, avant d’être classée en 2017 sous le genre Paraflabellina par Tatiana Korshunova (d) et son équipe[2]
Paraflabellina funeka est endémique de la côte sud-africaine et se rencontre seulement de Cape Point à Port Elizabeth[3],[4], à des profondeurs comprises entre 5 et 30 m[5].
Ce nudibranche éolidien possède un corps mince de couleur violette ; les cérates sont rouges avec des extrémités blanches, ils sont regroupés[4]. Il mesure rarement plus de 45 mm Les rhinophores annelés se terminent en pointe, ils sont violets mais pâles à leur extrémité. Les deux pâles tentacules oraux sont plus petits que les rhinophores. Les individus de cette espèce présentent parfois un corps blanc mais les cérates rouges et les rhinophores annelés sont distinctifs[6].
Cette espèce semble se nourrir principalement d'hydraires du genre Eudendrium[4],[3]. Comme chez d'autres espèces de nudibranches, les cérates de Paraflabellina funeka participent à la respiration mais contiennent aussi un prolongement du système digestif. Lorsque le nudibranche se nourrit de l'hydraire, les nématocystes de ce dernier traversent le système digestif sans être abimés et sont envoyés aux extrémités des cérates. Ils sont ensuite utilisés pour la défense du nudibranche. La coloration vive de Paraflabellina funeka pourrait viser à avertir les prédateurs de la toxicité de l'animal.
Comme les autres nudibranches, Paraflabellina funeka est hermaphrodite. La ponte, blanche, décrit une structure complexe.
Paraflabellina funeka est une espèce de nudibranches de la famille des Flabellinidés.