Die Bruinmossel (Perna perna) kom voor aan die Suid-Afrikaanse suid- en ooskus. Die mossel se skulp is glad en geelbruin en die seediertjie kom voor in die tussengetysone in rotsagtige gebiede. Die mossel groei in digte kolonies en anker hulself aan rotse met sterk drade wat deur 'n klier in die voet gevorm word. Die mossel word tot 12.5 cm lank. Die mossel word deur seekat, vis en kreef gevreet en is 'n gewilde seekos.
Die Bruinmossel (Perna perna) kom voor aan die Suid-Afrikaanse suid- en ooskus. Die mossel se skulp is glad en geelbruin en die seediertjie kom voor in die tussengetysone in rotsagtige gebiede. Die mossel groei in digte kolonies en anker hulself aan rotse met sterk drade wat deur 'n klier in die voet gevorm word. Die mossel word tot 12.5 cm lank. Die mossel word deur seekat, vis en kreef gevreet en is 'n gewilde seekos.
Perna perna, the brown mussel, is an economically important mussel, a bivalve mollusc belonging to the family Mytilidae. It is harvested as a food source but is also known to harbor toxins and cause damage to marine structures. It is native to the waters of Africa, Europe, and South America and was introduced in the waters of North America.[1]
Perna perna is usually 90 mm long although it can reach sizes of up to 120 mm. The mussel is easily recognized by its brown color but its identifying characteristic is the "divided posterior retractor mussel scar". Its pitted resillal ridge also differentiates the mussel from other bivalves.
Similar species include the European mussel, Mytilus galloprovincialis, and the black mussel, Choromytilus meridionalis. The European mussel is similar in shape and color to the brown mussel and shares its native habitat on the south-western coast of Africa.[2] The European mussel is also more resistant to human disturbance such as use for baits and consumption.[3] It is out-competing the brown mussel as it is more resistant to certain parasites. The black mussel has similar shape and size although it lacks the distinguishable pitted resillal ridge. [2]
The brown mussel can also be mistaken for the more famous greenish-brown species Perna viridis, as their color and shell shape can change depending on environmental conditions.[4]
The brown mussel is native to the tropical and sub-tropical regions of the Atlantic Ocean and Western Indian Ocean . It is found in waters off the west coast of Africa and the coast of South America up to the Caribbean, as well in the East Coast of Africa and Madagascar. It is accidentally introduced as an invasive species to the coast of Texas via the boat hulls and water ballasts of ships from Venezuela.[2] Its distribution include: Chile, Peru, South Africa.
The brown mussel naturally colonizes rocky shores but can also attach to submerged man-made objects such as navigation buoys, petroleum platforms and shipwrecks.[1] The adult brown mussel can tolerate a temperature range of 10 to 30 °C and a salinity range of about 15 to 50 ppt.[2] Its colonization of the hard strata improves that surface's marine ecology. The colonization increases surface area, encouraging other marine organisms such as limpets, polychaetes, barnacles, snails and algae to settle there as well.[1]
The mussel utilizes external fertilization during the spawning season between May and October although this is also reported to occur in December. The two sexes release eggs and sperm to the water during spawning to produce veliger larvae. Fifteen hours after fertilization the larvae have well-developed hinge teeth. Ten to twelve days after fertilization the larvae undergo metamorphosis where byssal threads are secreted. The larvae then settle on rocky surfaces.
The brown mussel is a filter feeder and feeds on phytoplankton, zooplankton and suspended organic materials. It is plagued by the parasite Proctoeces maculatus and an unidentified bucephalid sporocyst which castrates both sexes. On the African coastline it is preyed upon by the whelk Nucella cingulata, lobsters, octopuses, gulls and the African black oystercatcher. On the South American coastline, it provides food for Callinectes danae, Cymatium parthenopeum, Chicoreus brevifrons, Thais haemastoma, and Menippe nodifrons.[2]
Perna perna is harvested as a food source in Africa and South America. The bivalve is considered for cultivation as it can grow quickly to the commercial size of 60 to 80 mm in just 6 or 7 months. It is also well-suited to tropical and subtropical regions. However, the mussel can harbor saxitoxin from consumed dinoflagellates. Its consumption has caused outbreaks of paralytic shellfish poisoning in Venezuela.[2]
The brown mussel is known to aggregate in such large amounts that it is able to sink navigational buoys. It also coexists with the Asian green mussel in fouling water pipes and marine equipment. It is less resistant to chlorination than Perna viridis and thus easier to control. However, it is recommended that the concentration of chlorine used for chlorination be above the tolerance level of Perna viridis, the tougher of the two biofouling mussels.[1]
Perna perna, the brown mussel, is an economically important mussel, a bivalve mollusc belonging to the family Mytilidae. It is harvested as a food source but is also known to harbor toxins and cause damage to marine structures. It is native to the waters of Africa, Europe, and South America and was introduced in the waters of North America.
Moule de roche sudaméricaine, Moule brune
Perna perna, la Moule de roche sudaméricaine[1] ou Moule brune[2], est une espèce de mollusques bivalves de la famille des Mytilidae. C'est une espèce économiquement importante car récoltée comme source de nourriture mais elle est également connue pour abriter ou concentrer certaines toxines et causer des dommages aux structures marines.
Originaire d'Afrique où elle est maintenant confrontée à l'espèce localement invasive Mytilus galloprovincialis, d'Europe et d'Amérique du Sud, elle a été introduite dans les eaux d'Amérique du Nord[3].
Perna perna mesure généralement 90 mm de long, bien que pouvant atteindre jusqu'à 120 mm. Elle est facilement reconnaissable à sa couleur brune, mais sa caractéristique d'identification est morphologique.
Son byssus est plus résistant[4],[5] que celui de M. galloprovincialis et il est plus résistant chez les moules solitaires que chez celles venant des moulières naturelles, probablement en raison de fils de byssus plus nombreux et plus épais[4].
Des espèces similaires sont :
La Moule brune est originaire des régions tropicales et subtropicales de l'océan Atlantique et de l'océan Indien occidental. On la trouve sur la côte ouest de l'Afrique et la côte de l'Amérique du Sud jusqu'aux Caraïbes, ainsi que sur la côte est de l'Afrique et à Madagascar. Elle est présente en Afrique du Sud. En Amérique, on la trouve au Chili et au Pérou, mais elle a été accidentellement introduite (devenant envahissante) sur la côte du Texas, probablement via les coques de bateaux et les ballasts des navires en provenance du Venezuela[6].
La Moule brune colonise naturellement les côtes rocheuses mais peut également se fixer sur des objets artificiels submergés tels que des bouées de navigation, des plates-formes pétrolières et des épaves. Adulte, elle tolère une large plage de température (de 10 à 30 °C), et une plage importante de salinité (de 15 à 50 ppt environ)[6].
Sa colonisation des strates complexifie et enrichit l'écologie marine de cette surface. La colonisation augmente grandement la surface offerte à d'autres organismes (ex. : patelles, polychètes, balanes, escargots, algues et biofilms bactériens qui trouvent là un habitat supplémentaire[3]. En outre, la moule filtre l'eau et produit des pseudofeces utiles à d'autres espèces.
Dans le haut de la colonne d'eau, en Afrique du Sud, Mytilus galloprovincialis domine dans la zone supérieure de la zone balanoïde inférieure, alors que Perna perna domine dans la zone inférieure. Dans la zone médiane, les deux espèces coexistent[4].
La moule se reproduit grâce à une fécondation externe lors de la saison de frai (mai-octobre), mais des reproductions ont aussi lieu en décembre. Les deux sexes libèrent respectivement des œufs et du sperme dans l'eau pendant le frai, pour produire des larves véligères. Quinze heures après la fécondation, les larves ont des dents articulées bien développées. Dix à douze jours après la fécondation, les larves subissent une métamorphose où des fils de byssus sont sécrétés. Elles peuvent alors se fixer sur des surfaces rocheuses ou dures (coques, épaves, certains déchets marins…).
La maturation de ses gamètes est positivement corrélée à la température de surface de la mer (ce qui n'est pas le cas pour M. galloprovincialis qui, en outre, ne se reproduit pas au même moment). La force de fixation du byssus diminue quand la température de surface de la mer monte, mais elle est renforcée sous l'effet mécanique des vagues, avec des fils alors plus nombreux et plus épais[5]. La moule est la mieux attachée au moment où elle produit le moins de gamète, ce qui laisse penser que la moule dépense beaucoup d'énergie dans ces deux processus et, selon G.I. Zardi, C.D McQuaid, et K.R Nicastro que, « bien qu'une production élevée de gamètes améliore la capacité de M. galloprovincialis à coloniser l'espace libre, elle peut limiter énergétiquement sa capacité à envahir les rives exposées aux vagues »[5].
Ce filtreur se nourrit de phytoplancton, de zooplancton et de matières organiques en suspension.
Cette moule est fréquemment infesté par le parasite Proctoeces maculatus et un sporocyste de bucéphale non identifié qui castre les deux sexes. Sur les côtes africaines, elle est la proie du buccin Nucella cingulata, des langoustes, des poulpes, des goélands et de l'huîtrier noir d'Afrique. Sur la côte sud-américaine, elle est mangée par Callinectes danae, Cymatium parthenopeum, Chicoreus brevifrons, Thais haemastoma et Menippe nodifrons[6].
Perna perna est récoltée comme source de nourriture en Afrique et en Amérique du Sud. Sa culture est envisagée car cette espèce peut atteindre rapidement la taille commerciale de 60 à 80 mm en seulement 6 ou 7 mois, et elle est également bien adaptée aux régions tropicales et subtropicales. Cependant, elle peut bioaccumuler des toxines (voir ci-dessous).
Cette moule peut abriter de la saxitoxine provenant de dinoflagellés qu'elle a filtré et consommé. Elle a par exemple provoqué des épidémies d'intoxication paralytique par les mollusques et crustacés au Venezuela[6].
La Moule brune est connue pour s'agréger en si grandes quantités qu'elle est capable de couler des bouées de navigation. Elle coexiste également avec la Moule verte asiatique dans l'encrassement des conduites d'eau et des équipements marins. Moins résistante aux vagues et à la chloration que Perna viridis, elle est donc plus facile à contrôler (dans une piscine d'eau de mer ou dans des conduites d'eau de refroidissement de centrales nucléaires par exemple) mais il est recommandé que la concentration de chlore utilisée pour la chloration soit alors supérieure au niveau de tolérance de Perna viridis, la plus résistante des deux moules biosalissantes[3].
Moule de roche sudaméricaine, Moule brune
Perna perna, la Moule de roche sudaméricaine ou Moule brune, est une espèce de mollusques bivalves de la famille des Mytilidae. C'est une espèce économiquement importante car récoltée comme source de nourriture mais elle est également connue pour abriter ou concentrer certaines toxines et causer des dommages aux structures marines.
Originaire d'Afrique où elle est maintenant confrontée à l'espèce localement invasive Mytilus galloprovincialis, d'Europe et d'Amérique du Sud, elle a été introduite dans les eaux d'Amérique du Nord.
Perna perna is een tweekleppigensoort uit de familie van de Mytilidae.[1] De wetenschappelijke naam van de soort is voor het eerst geldig gepubliceerd in 1758 door Linnaeus.
Bronnen, noten en/of referenties