Trichopoda pennipes is a species of feather-legged fly in the dipteran family Tachinidae.
This species is native to North America (United States, Mexico),[1] Hawaiian Islands and South America[2] and has been introduced into southern Europe (France, Italy and Spain).[3][4]
This species inhabits grasslands, hedge rows and crops where its key hosts are present.[5]
Trichopoda pennipes can reach a length of 10.5 millimetres (0.41 in),[6] about the size of a large housefly. These medium-sized flies have a velvety, black head. The black or brown thorax shows a few yellow stripes. Eyes are large, brown with yellow between. The color of the slender abdomen varies from bright orange to completely black. Females usually have a dark-tipped abdomen, while males have a dark orange apex. Wings are transparent, smoky with prominent veins. In the females they are evenly dusky, with the posterior margin sub-hyaline. Male flies have a ferrugineous marking on the wings. This fly has huge halteres. Legs are black, with yellow feet. The hind legs bear a prominent feather-like fringe of flattened hairs.[2][5]
Trichopoda pennipes first appears in the late spring or early summer and feeds on nectar sucked from flowers such as Queen Anne's lace and meadowsweet. It may be seen hovering over other plants in search of suitable bugs on which to lay its eggs, most commonly squash bugs and southern green stinkbugs. The female fly lays several small, pale-coloured, oval eggs on a large nymph or an adult bug. In fact the larvae are parasitoids of several true bugs, particularly squash bugs and leaf-footed bugs in the family Coreidae (including the large-sized Leptoglossus occidentalis), stinkbugs in the family Pentatomidae and other pentatomorph bugs (Largidae and Scutelleridae species).[4]
When the eggs hatch, the larvae burrow into the bug. If there are several larvae in one host, only one survives. After feeding on the bug's tissues, the cream-coloured larva emerges and falls to the ground where it pupates in a reddish-brown puparium formed from the last larval skin. The bug meanwhile dies. After about two weeks, an adult fly emerges from the pupa. After mating, a female fly may lay several hundred eggs in total. There are up to three generations of the fly each year and the parasitoid overwinters as a second instar larva within the body of the overwintering host.[2][7]
Trichopoda pennipes is used as a biological control agent for agricultural pests. One of the principal host species for T. pennipes is the southern green stinkbug, Nezara viridula. This is a crop pest that originated in Ethiopia but now has a worldwide distribution and is named for the foul-smelling defensive secretion it exudes from a gland on its thorax. This exudate appears to be fairly effective in preventing predation by birds but is well tolerated by T. pennipes[8] which seems to be highly attracted by an aggregation pheromone produced by the male bugs. This results in a higher proportion of males being parasitised than females.[2]
There seem to be different biotypes across the United States, preying on different hosts in different regions. In northern California, a population of the fly parasitised the bordered plant bug, Largus succinctus, but did not attack the squash bug, Anasa tristis. In an experiment, T. pennipes was collected from squash fields in New York State and released near squash fields in California. The insects targeted the squash bugs and established permanent populations. Their eggs are now found deposited on nearly 50% of the squash bugs in the area but it is unclear how effective this is in controlling the crop pests.[8] On the southern green stink bug, the rate of parasitism can be as high as 93% and up to 80% on the squash bug. However, T. pennipes does not prevent all crop damage as the bugs continue to feed and reproduce after being parasitised, though the reproductive organs begin to atrophy when the parasitoid reaches the second instar stage. Control of the pest is more effective when nymphs are parasitised since half of these die before becoming adults and any that overwinter will die before laying eggs.[2]
Trichopoda pennipes is a species of feather-legged fly in the dipteran family Tachinidae.
Trichopoda pennipes es una mosca de la familia Tachinidae. Es un parasitoide, principalmente de insectos pentatomorfos.
Los adultos de Trichopoda pennipes miden de 7 a 13 mm,[1] casi tan grandes como las moscas domésticas. Tienen cabezas aterciopeladas, negras. El tórax, también aterciopelado es negro o marrón oscuro con franjas amarillentass. Los ojos son grandes y castaños con un espacio amarillo entre ellos. Generalmente las hembras tienen un abdomen naranja con su extremo de color negro. Los machos tienen un abdomen de color uniforme.[2][3]
Esta especie es nativa de Norte América (Estados Unidos y México).[4] Ha sido introducida a Hawái y Sudamérica,[2] y también al sur de Europa (Francia, Italia y España). [5][6]
Praderas y los bordes de terrenos de cultivos donde se suelen encontrar las especies huéspedes.[3]
Trichopoda pennipes aparecen al final de la primavera o principios del verano. Los adultos se alimentan del néctar de las flores, por ejemplo Daucus carota y Spiraea. Se las suele ver revoloteando sobre las plantas en busca de huéspedes donde depositar los huevos. Los húéspedes más comunes son el bicho de los zapallos y otros bichos hediondos. La hembra generalmente deposita varios huevos ovalados, blanquecinos en las ninfas de estos insectos o en adultos. Las larvas son parasitoides de Hemiptera, especialmente de las familias Coreidae, como Leptoglossus occidentalis, de Pentatomidae, Largidae y Scutelleridae.[6] Si hay varios huevos en un huésped, generalmente uno solo sobrevive. Hay hasta tres generaciones por año.[2][7]
Se usa Trichopoda pennipes como control biológico de algunas plagas de la agricultura, por ejemplo de Nezara viridula, plaga de las legumbres, que se originó en Etiopía pero que ahora ha alcanzado una distribución mundial.[8] También ayuda a controlar a Anasa tristis, una plaga de las calabazas y otras cucurbitáceas.[9]
Trichopoda pennipes es una mosca de la familia Tachinidae. Es un parasitoide, principalmente de insectos pentatomorfos.
Trichopoda pictipennis est une espèce de mouches brachycères de la famille des Tachinidae, du genre Trichopoda, qui parasite les punaises, notamment Nezara viridula. Cette espèce est confondue avec Trichopoda pennipes. Les deux espèces sont originaires d'Amérique du Sud, mais c'est T. pectipennis qui est introduite sur le continent australien par l'industrie agroalimentaire comme moyen de lutte biologique contre la punaise invasive Nezara viridula et qui est présente en Europe.
Cette espèce est décrite par l'entomologiste français Jacques Marie Frangile Bigot en 1876. Elle appartient au sous-genre Trichopoda (Galactomyia)[1]. Étymologiquement, le nom de genre est construit à partir du grec ancien Trichopoda signifiant « à pattes poilues ».
Elle est confondue avec Trichopoda pennipes (Fabricius, 1781) des années 80 jusqu'en 2021 où une étude démontre l'erreur d'attribution et corrige l'identification. Cette dernière est également une espèce originaire d'Amérique latine[2]
De taille moyenne (7-13 mm), elle a une grosse tête, des ailes oranges et noires chez les mâles, brune et hyalines chez les femelles, le thorax jaune rayé de noir, l'abdomen orange, dont l'apex de l'abdomen est orange foncé chez les mâles, et noir chez les femelles, avec toutefois une grande variabilité de coloration. allant du très clair au très foncé. Les pattes sont noires, aux derniers tarses clairs, et la troisième paire de pattes porte un peigne de poils noirs, caractéristique propre à toutes les espèces du genre Trichopoda.
Elle est présente dans la zone néotropicale et néarctique. Elle a été introduite comme moyen de lutte biologique en Australie et en Nouvelle-Zélande[3],[2].
En Europe, elle a été introduite accidentellement à la fin des années 80 en Italie, découverte près de l'aéroport international de Rome et d'une base militaire, qu'on suppose être son point d'entrée[3], puis en Espagne et au Portugal, et en France[4], dont elle a gagné le Nord[5], et s'étend: en 2011, elle s'est déjà rencontrée au Portugal, aux Pays-Bas, en Slovénie[6]. Elle est également retrouvée en Suisse, en Albanie, en Croatie à Chypre, en Grèce, à Malte, en Russie européenne et même en Asie occidentale, en Israël, en Turquie et en Afrique du Nord en Égypte. On ignore encore si l'espèce a été introduite plusieurs fois ou si tous les spécimens proviennent d'une seule introduction avec une propagation postérieure de la population[2].
Elle parasite les punaises, de la famille des Coreidae, des Pentatomidae, des Largidae, des Scutelleridae[7], Pyrrhocoridae et Alydidae[3]. Elle a également été repérée sur une Mantidae, Tenodera australasiae[7]. Elle est considérée comme ayant coévolué avec Anasa tristis, mais son hôte le plus commun est aujourd'hui Nezara viridula, dans une association nouvelle étant donné que cette punaise est arrivée accidentellement vers 1700 dans le Nouveau monde[3]. En Australie, elle est introduite dans le but de contrôler Nezara viridula, mais elle peut parasiter et se développer chez certaines espèces indigènes[2].
Elle est attirée par les phéromones des mâles, surtout lors des pullulations sur des cultures. Elle pond un ou plusieurs œufs sur la punaise, en général sous le thorax ou l'abdomen, mais ailleurs également. La larve pénètre à l'intérieur de l'hôte et se nourrit des fluides internes. Une seule larve peut survivre dans un hôte. Après environ deux semaines de croissance, la larve sort au troisième stade, entre les segments abdominaux. L'hôte meurt peu après, de l'effet mécanique de la sortie et non pas de la nourriture du parasite. La nymphose a lieu dans le sol, dans un cocon brun-rouge foncé, d'où l'adulte sort environ deux semaines plus tard. Il peut y avoir jusqu'à trois générations par années. La larve peut hiverner, au second stade, dans son hôte hivernant. Ainsi, malgré ce parasitisme, l'hôte continue à se nourrir, et garde la possibilité de se reproduire, même si peu à peu, ses organes sexuels sont atrophiés par le développement de la larve ayant atteint son stade 2. L'adulte émerge à la fin du printemps ou au début de l'été. A ce moment, il s'en prend à des adultes ayant hiverné, les seuls assez grands pour héberger les larves. Les générations suivantes vont parasiter aussi bien des larves aux derniers stades que des adultes de l'année 50% des larves parasitées vont mourir avant de devenir adultes, et les autres meurent avant de pondre. Le taux est moindre chez les punaises parasitées adultes, dont le cycle de vie n'est pas synchronisé avec celui du parasite[8]. Dans une étude menée en Californie, chez les Coreidae, le taux de parasitisme peut atteindre 80%[9].
L'adulte se nourrit de nectar sur les fleurs (notamment Daucus carota), où il se tient souvent avec les ailes étalées.
Les hôtes parasités répertoriés appartiennent aux genres suivants[1]:
Une étude menée en Italie en 1998, dix après son arrivée accidentelle, montre qu'entre 20 et 25% des adultes de Nezara viridula sont parasités, par un œuf (dans plus de 50% des cas) à jusqu'à 15 œufs, placés surtout sur le thorax. Aucune autre espèce de Pentatomidae récoltée dans les mêmes régions n'étaient parasités[3].
Trichopoda pictipennis est une espèce de mouches brachycères de la famille des Tachinidae, du genre Trichopoda, qui parasite les punaises, notamment Nezara viridula. Cette espèce est confondue avec Trichopoda pennipes. Les deux espèces sont originaires d'Amérique du Sud, mais c'est T. pectipennis qui est introduite sur le continent australien par l'industrie agroalimentaire comme moyen de lutte biologique contre la punaise invasive Nezara viridula et qui est présente en Europe.
Trichopoda pennipes adolah langau dari famili Tachinidae. Langau iko juo marupokan bagian dari ordo Diptera, kelas Insecta, filum Arthropoda, dan kingdom Animalia.
Langau iko marupokan parasit Protelean.
Trichopoda pennipes adolah langau dari famili Tachinidae. Langau iko juo marupokan bagian dari ordo Diptera, kelas Insecta, filum Arthropoda, dan kingdom Animalia.
Trichopoda pennipes is een vliegensoort uit de familie van de sluipvliegen (Tachinidae).[1] De wetenschappelijke naam van de soort is voor het eerst geldig gepubliceerd in 1781 door Fabricius.
Bronnen, noten en/of referentiesTrichopoda pennipes je zajedavska muha iz družine muh goseničark (Tachinidae), ki je razširjena tudi v Sloveniji.
Ličinke teh muh so parazitoidi nekaterih vrst polkrilcev, med katerimi so usnjate in ščitaste stenice. Zaradi tega ponekod to vrsto muh načrtno gojijo za biološki nadzor škodljivcev. Vrsta izvira iz Severne in Južne Amerike,[1] od koder so jo zanesli v Evropo.[2]
T. pennipes je velika kot hišna muha in ima črno glavo z velikimi rjavimi sestavljenimi očmi. Oprsje je črne barve, zadek pa svetlo oranžen. Krila so siva in imajo dobro vidne žile, noge so črne, na spodnjem delu pa rumene. Na zadnjih nogah ima ta vrsta značilno »ščetko«, sestavljeno iz črnih dlačic. Samci imajo na krilih temno pego, samice pa temno konico zadka.[1][3]
Trichopoda pennipes se pojavi pozno spomladi ali na začetku poletja in se hrani na cvetlicah z nektarjem. Med preletavanjem travnikov išče tudi gostitelje, na katere kasneje odloži majhna, bledo obarvana ovalna jajčeca. Larve se po izvalitvi zavrtajo v trup gostitelja, v vsakem pa preživi le ena. Larva se do zadnje faze hrani z notranjimi organi gostitelja, nato pa se izkoplje iz njegovega trupla in se zabubi v zemlji. Po dveh tednih se iz bube razvije odrasla muha, ki se tako začne pariti. Vsako sezono se muhe pojavljajo v treh generacijah, zimo pa preživijo v drugem stadiju v telesu prezimujočih gostiteljev.[1][4]
Trichopoda pennipes najpogosteje zajeda stenice zelene smrdljivke, ki velja za škodljivca stročnic in drugih kulturnih rastlin. Ta je poznana predvsem zaradi izločka neprijetnega vonja, ki ga žival izloči v obrambi pred napadom plenilca, vendar pa ne moti muh vrste T. pennipes.[5] Feromon, ki ga izločajo samci stenic, naj bi celo privabljal zajedavske muhe, saj je delež okuženih samcev zelene smrdljivke večji od deleža okuženih samic.[1]
Ugotavljajo tudi, da je po ZDA očitno razširjenih več biotipov ali kriptičnih (še neprepoznanih) vrst, ki zajedajo različne gostitelje.[6] V severni Kaliforniji je razširjen biotip, ki zajeda stenice vrste Largus succinctus, ne zajeda pa stenic vrste Anasa tristis. V poizkusu so znanstveniki zbrali muhe vrste T. pennipes po njivah države New York in jih izpustili na njive v Kaliforniji. Izpuščene muhe so takoj poiskale stenice in jih zajedle ter vzpostavile stalno populacijo. Kasneje so jajčeca našli na 50 % stenic v naravi. Še vedno sicer ni znano, kako učinkovit je ta biološki nadzor škodljivca.[5] Na južni populaciji zelenih smrdljivk je odstotek okuženosti med 80 % in 93 %, pa vendar učinkovitost zajedavskih muh ni visoka, saj se okužene živali še naprej razmnožujejo. Znanstveniki so ugotovili, da je veliko bolj učinkovit nadzor nad stenicami, če je okužena nimfa stenice, saj le-ta pogine preden doseže spolno zrelost.[1]
Trichopoda pennipes je zajedavska muha iz družine muh goseničark (Tachinidae), ki je razširjena tudi v Sloveniji.
Ličinke teh muh so parazitoidi nekaterih vrst polkrilcev, med katerimi so usnjate in ščitaste stenice. Zaradi tega ponekod to vrsto muh načrtno gojijo za biološki nadzor škodljivcev. Vrsta izvira iz Severne in Južne Amerike, od koder so jo zanesli v Evropo.
Trichopoda pennipes là một loài ruồi trong họ Tachinidae.[1][2]
Trichopoda pennipes là một loài ruồi trong họ Tachinidae.