Apeiba tibourbou is a tree native to Caatinga and Cerrado vegetation in Brazil, and Costa Rica. It is used as an alternative fiber crop to make paper. It is found in Mexico, Central America, and the northern part of South America.[2]
This fast-growing tree typically reaches 15 meters tall, though it can reach 25 meters in some habitats.[3] The star-shaped yellow flowers give way to dry capsules covered with soft green spines.[4] The leaves are pointed at the tip and rounded at the base, 10-30 centimeters long and 6-12 centimeters wide, borne on petioles 1-3 centimeters long.[5] The leaf margins are lightly serrated, and the veins are lightly hairy.[6]
The wood is light and floats easily, so it is used to make buoys and small boats.[7]
Apeiba tibourbou is a tree native to Caatinga and Cerrado vegetation in Brazil, and Costa Rica. It is used as an alternative fiber crop to make paper. It is found in Mexico, Central America, and the northern part of South America.
The tree that grows Apeiba tibourbou.This fast-growing tree typically reaches 15 meters tall, though it can reach 25 meters in some habitats. The star-shaped yellow flowers give way to dry capsules covered with soft green spines. The leaves are pointed at the tip and rounded at the base, 10-30 centimeters long and 6-12 centimeters wide, borne on petioles 1-3 centimeters long. The leaf margins are lightly serrated, and the veins are lightly hairy.
The wood is light and floats easily, so it is used to make buoys and small boats.
El erizo de Caracas[1] (Apeiba tibourbou) es una especie de árbol perteneciente a la familia de las Tiliáceas. Es originario de la Caatinga y Cerrado en Brasil, y Costa Rica. Se utiliza como una alternativa de fibra vegetal para hacer papel.
El erizo de Caracas (Apeiba tibourbou) es una especie de árbol perteneciente a la familia de las Tiliáceas. Es originario de la Caatinga y Cerrado en Brasil, y Costa Rica. Se utiliza como una alternativa de fibra vegetal para hacer papel.
Apeiba tibourbou est une espèce d'arbre de la famille des Malvaceae, (ou anciennement des Tiliaceae selon la (classification de Cronquist).
Apeiba tibourbou Aubl. est l'espèce type du genre Apeiba Aubl.[3].
En Guyane, on appelle cet arbre bois bouchon, peigne macaque (créole), ape'ɨ (Wayãpi), imaβui, yit itaibi (Palikur), pente-de-macaco (Portugais)[4]. Au Brésil, on l'appelle aussi pente-de-macaco, pau-jangada, cortiça, jangadeira, escova de macaco et embira-branca [5],[6].
Apeiba tibourbou est présent du Mexique à la Bolivie et au Brésil. Il est présent dans les biomes : forêt atlantique, le cerrado, les caatinga et en Amazonie dans les types d'habitats naturels : savanes, ripisylves, forêt galerie, et forêt tropicale humide.
Cet arbre semi-caducifolié peut atteindre 20 mètres de hauteur, avec un tronc droit et cylindrique d'un diamètre moyen de 50 centimètres et un grand houppier. Les jeunes branches et les pétioles des feuilles sont couvertes de poils roussâtres. Les feuilles sont simples, alternes, stipulées, rugueuses, finement dentées, d'une taille moyenne de 28 centimètres sur 15 centimètres de largeur. Les inflorescences paniculées mesurent 9 centimètres en moyenne.
Les fleurs, pollinisées par les abeilles, sont jaunes, parfumées, bisexuées, ouvertes, actinomorphes, pluricarpelées, pluriloculées à placentation axillaire supralatérale, à verticilles de type diclamideo. Le calice est dialissépale, la corolle dialipétale. Les anthères sont à déhiscence longitudinale[6],[7],[8].
Le pollen est organisé en monade, suboblé sphéroïde, avec une symétrie radiale, avec une polarité isopolaires, subcirculaire portée, avec une ouverture de type colporé, avec un long colpus, un pore allongé, tricolporé. L'exine est ornementée micro-reticulée[9].
Les Wayãpi utilisent le mucilage polyosidique extrait de l'écorce malaxée dans l'eau pour empoisser les méliponnes dans leur nid, permettant d'en extraire le miel sans être attaqué. Les Palikur, confectionent à partir des feuilles un remède contre les traumatismes du thorax à la suite des coups violents (« blesse »). En Bolivie, les Tacana se parfument et huilent leurs cheveux avec les fruits coupées en deux. La plante contient de l'acide rosmarinique[4].
Son bois poreux, léger et facile à travailler présente une faible densité et peu durable naturellement. Il sert à fabriquer des poteaux, de la pâte à papier et des radeaux en raison de sa flottabilité. L'écorce fibreuse sert à fabriquer des cordes[10],[6].
En 1775, le botaniste Aublet propose la diagnose suivante[3] :
« APEIBA (Tibourbou). (Tabula 213.) foliis cordatis, ovato-oblongis, acutis, ſerrulatis, ſubtùs hirſutis, rufeſcentibus ; fructu magno, rotundo, compreſſo, hiſpido. Apeiba. Marcgr. Braſ. p. 123. t. 123. Apeiba amplo folio, rugoſo, fructu globoſo, hiſpido. Bar. Fr. Equin. pag. 13. Sloanea (dentata). Lœfl. pag. 400. n° 312. Sloanea (dentata) foliis cordato-ovatis, denticulatis, ſtipulis ſerratis. Lœfl. It. 34. Lin. Spec. 730.
Arbor mediocris, trunco octopedali ad ſummitatem ramoſo ; ramis latè diſperſis, rectis, & declinatis ; ramusculis villoſis. Folia alterna, brevi petiolata, ovato-oblonga, baſi cordata, ſerrulata, ſupernè viridia, rugoſa, infernè piloſa ; pilis rufeſcentibus. Stipulæ binæ, oppofitæ, oblongæ, acutæ, non deciduæ. Florum racemi oppoſiti ſunt foliis ; conſtant ramulis alternis, ex quorum ſummitate tres vel quatuor flores pedunculati prodeunt. Bracteæ ſingulo ramulo latérali, binæ oppofitæ ; bracteæ ad pedunculos, quatuor vel tres majores, patentes, ovatæ, acutæ. Racemus & pedunculi florum pilis rufeſcentibus obtecti ſunt. Florebat fructumque ferebat Auguſto, Septembri & Octobri. Habitat Caïennæ & Guianæ in campis, ſupra colles & adripas livulorum. Nomen Caribæum TIBOURBOU. »
« L'APEIBA Tibourbou. (PLANCHE 213.)
L'Apeiba eſt un arbre de moyenne grandeur. Son tronc s'élève de ſept à huit pieds. Il a environ un pied de diamètre. Son écorce eſt inégale, gerſée, molle, épaiſſe, fibreuſe & propre a faire des cordes. Son bois eſt blanc & léger. Les branches qui terminent le tronc, ſe répandent en tous ſens, & ſont inclinées. Elles ſe partagent en pluſieurs rameaux velus, alternes. Les feuilles ſont alternes, rangées horiſontalement ſur le même plan à droite & à gauche, & peu éloignées les unes des autres. Elles ſont ovales, douces au toucher, longues de neuf pouces, larges de quatre, chagrinées, & vertes en deſſus, chargées en deſſous d'un poil ras, rouſſâtre, dentelées à leurs bords, terminées en pointe arrondie, & taillées comme un cœur à leur naiſſance. Elles ſont traverſées par une côte ſaillante en deſſous, d’où partent pluſieurs autres nervures latérales, tantôt oppoſées, & tantôt alternes. Leur pédicule eſt d'environ un pouce de longueur. Dès ſon milieu il commence à groſſir de plus en plus, juſqu'à la baſe de la feuille. Il eſt chargé de poils rouſſâtres, & porte deux stipules longues, minces, aiguës, verdâtres, qui ſubſiſtent.
Les fleurs naiſſent diſpoſées en grappes, ſur une tige qui eſt oppoſée à une feuille. Cette tige eſt chargée de poils rouſſâtres, & porte à ſa baſe deux ſtipules ſemblables à celles des feuilles. A quelques pouces de ſa hauteur, elle ſe partage en différents rameaux qui ſortent d'entre quatre ou cinq écailles. Chaque rameau eſt terminé par quatre écailles, d'entre leſquelles s'élèvent deux, trois ou quatre fleurs, portées chacune ſur un pédoncule de deux ou trois lignes de longueur, qui, à ſa naiſſance, porte deux ou trois petites écailles.
Le calice eſt d'une ſeule pièce, diviſé profondément en cinq parties longues, étroites, aiguës, charnues, concaves, plus épaiſſes à leur ſommet, velues en dehors, liſſes & jaunes en dedans.
La corolle eſt à cinq pétales égaux, qui prennent naiſſance au deſſous des étamines ; ils ſont de moitié plus petits que les diviſions du calice, larges & arrondis par le haut, ondés ſur leur bord, & plus étroits vers le bas, où ils ſe terminent par un petit onglet. Leur couleur eſt un jaune doré.
Les étamines ſont attachées au deſſous de l'ovaire autour d'un petit pivot qui le ſupporte. Leur nombre varie ; j'en ai compté juſqu'à quatre-vingt-cinq & plus. Leur filet eſt court, charnu. L'anthère eſt longue, jaune, étroite, terminée par un petit feuillet pointu. Elle eſt à deux loges qui font corps avec le filet, & s'ouvre longitudinalement en deux valves.
Le piſtil eſt un ovaire velu, arrondi, comprimé par le haut, ſurmonté d'un style cylindrique, cannelé, qui ſurpaſſe les étamines. Il eſt terminé par un stigmate évaſé, concave, vert, & a dix dentelures.
L'ovaire devient une capsule fermé, coriace, de la largeur de la paume de la main, arrondi, comprimé & hériſſé de pointes molles, verdâtres, un peu velues 5 celles de la circonférence ſont les plus longues : cette capſule s'ouvre par l'endroit ou elle tenoit a ſon pédoncule ; c'eſt par cette ouverture que ſortent les ſemences. Quand on coupe cette capſule avant ſa parfaite maturité, on la trouvé partagée par des cloiſons membraneuſes en dix loges, qui contiennent chacune un grand nombre de semences menues, attachées a un placenta charnu.
Cet arbre croît dans l'Iſle de Caïenne & à la terre ferme. Il vient également dans les lieux montagneux, dans les ſavanes & ſur le bord des rivières.
Je l'ai trouvé en fleur & en fruit dans les mois d'Août, de Septembre & d'Octobre.
Cet arbre eſt nommé TIBOURBOU par les Galibis. »
feuille d'Apeiba tibourbou
fruit sec d'Apeiba tibourbou
fruit sec d'Apeiba tibourbou
fruit frais d'Apeiba tibourbou
inflorescence d'Apeiba tibourbou
houppier d'Apeiba tibourbou
graines d'Apeiba tibourbou
fruit ouvert d'Apeiba tibourbou
bourgeon d'Apeiba tibourbou
écorce d'Apeiba tibourbou
Apeiba tibourbou est une espèce d'arbre de la famille des Malvaceae, (ou anciennement des Tiliaceae selon la (classification de Cronquist).
Apeiba tibourbou Aubl. est l'espèce type du genre Apeiba Aubl..
En Guyane, on appelle cet arbre bois bouchon, peigne macaque (créole), ape'ɨ (Wayãpi), imaβui, yit itaibi (Palikur), pente-de-macaco (Portugais). Au Brésil, on l'appelle aussi pente-de-macaco, pau-jangada, cortiça, jangadeira, escova de macaco et embira-branca ,.
Apeiba tibourbou[2][3][4][5][6][7][8][9][10][11][12][13][14][15][16][17][18][19][20][21][22] é uma árvore nativa não endêmica do Brasil[23] conhecida pelos nomes populares pau-jangada, pente de macaco, cortiça, jangadeira, escova de macaco e embira-branca.[24][25]
Atinge cerca de vinte metros de altura, com tronco reto e cilíndrico de diâmetro médio de cinquenta centímetros; seus ramos jovens e pecíolos foliares são revestidos por tomento ferruginoso; possui copa ampla; suas folhas são simples, alternas, estipuladas, asperas, finamente dentadas, com tamanho médio de 28 por 15 centímetros; inflorescências paniculadas, com tamanho médio de nove centímetros; flores, amarelas, odoríferas, bissexuadas, abertas, atinomorfas, pluricarpelares, pluriloculares, de placentação axilar, possui estilete, estigma áfido, verticilos do tipo diclamídeo, cálice dialissépalo, corola dialipétala, ovário súpero, antera com deiscência longitudinal.[25][26] Pólen mônade, suboblato esferoidal, com simetria radial, com polaridade isopolar, de âmbito subcircular, com abertura do tipo colporo, de colpo longo, com poro alongado, tricolporado, exina com com ornamentação microrreticulada.[27]
Fruto de A. tibourbou - MHNT
Árvore semidecídua.[8] Seu período de floração é no mês de maio e ela é polinizada por abelhas.[27] Frutos observados de janeiro a outubro.[26]
Distribui-se do México à Bolívia.[23][26] No Brasil ela ocorre nos biomas: Mata Atlântica, Cerrado, Caatinga e Amazônia nos tipos de vegetação: Cerrado (lato sensu), Floresta Ciliar ou Galeria, Floresta Ombrófila.[24]
Sua madeira apresenta baixa densidade e baixa durabilidade natural, é porosa e fácil de trabalhar.[25]
Sua madeira empregada para confecção de postes, produção de pasta celulósica e na construção de balsas por conta de sua flutuabilidade; a casca é usada para confecção de cordas.[8][25][28]
Apeiba tibourbou é uma árvore nativa não endêmica do Brasil conhecida pelos nomes populares pau-jangada, pente de macaco, cortiça, jangadeira, escova de macaco e embira-branca.
Apeiba tibourbou là một loài thực vật có hoa trong họ Cẩm quỳ. Loài này được Aubl. mô tả khoa học đầu tiên năm 1775.[1] Đây là loài bản địa Caatinga và thảm thực vật Cerrado ở Brazil, và Costa Rica. Loài này được sử dụng như một loại cây trồng thay thế sợi để làm giấy.
Apeiba tibourbou là một loài thực vật có hoa trong họ Cẩm quỳ. Loài này được Aubl. mô tả khoa học đầu tiên năm 1775. Đây là loài bản địa Caatinga và thảm thực vật Cerrado ở Brazil, và Costa Rica. Loài này được sử dụng như một loại cây trồng thay thế sợi để làm giấy.