The giant Atlas barbel (Labeobarbus reinii) was a ray-finned fish species in the family Cyprinidae. It is now thought to be extinct.[1]
It does seem to be fairly close to the core group around the typical barbels (Barbus, Luciobarbus and Messinobarbus). But it is closer still to Carasobarbus and the yellowfish (Labeobarbus), and either is a lineage of the former, or part of a distinct genus, or included in the latter (maybe together with the former).[3] Initially classified in the genus Barbus, it was transferred to the genus Labeobarbus in 2010.[4] The specific name honours the geographer, author and traveler Johannes Justus Rein (1835-1918), who, with Karl von Fritsch, collected the type[5] from the Tensift River in Morocco.[6]
It was endemic to Morocco, where its natural habitats were the Kasab and Tensift Rivers.[4] The species was once plentiful, water pollution (particularly with domestic waste) and unsustainable water extraction (particularly for irrigation agriculture) have caused it to suffer declines, and was last seen in 2001. It was reclassified as extinct by the IUCN in 2022.[1]
The giant Atlas barbel (Labeobarbus reinii) was a ray-finned fish species in the family Cyprinidae. It is now thought to be extinct.
It does seem to be fairly close to the core group around the typical barbels (Barbus, Luciobarbus and Messinobarbus). But it is closer still to Carasobarbus and the yellowfish (Labeobarbus), and either is a lineage of the former, or part of a distinct genus, or included in the latter (maybe together with the former). Initially classified in the genus Barbus, it was transferred to the genus Labeobarbus in 2010. The specific name honours the geographer, author and traveler Johannes Justus Rein (1835-1918), who, with Karl von Fritsch, collected the type from the Tensift River in Morocco.
It was endemic to Morocco, where its natural habitats were the Kasab and Tensift Rivers. The species was once plentiful, water pollution (particularly with domestic waste) and unsustainable water extraction (particularly for irrigation agriculture) have caused it to suffer declines, and was last seen in 2001. It was reclassified as extinct by the IUCN in 2022.
Barbus reinii es una especie de peces de la familia de los Cyprinidae en el orden de los Cypriniformes.
Los machos pueden llegar alcanzar los 55 cm de longitud total.[2]
Es un pez de agua dulce.
Se encuentra en el Marruecos.
Barbus reinii es una especie de peces de la familia de los Cyprinidae en el orden de los Cypriniformes.
Barbus reinii Barbus generoko animalia da. Arrainen barruko Actinopterygii klasean sailkatzen da, Cyprinidae familian.
Barbus reinii Barbus generoko animalia da. Arrainen barruko Actinopterygii klasean sailkatzen da, Cyprinidae familian.
Labeobarbus reinii est une espèce de poissons d'eau douce de la famille des Cyprinidae et du genre Labeobarbus.
Cette espèce est endémique du Maroc, où son habitat naturel est les rivières Kassab et Tensift, bien que ce soient des cours d'eau importants et que les espèces soient encore très abondantes, la pollution de l'eau (en particulier avec les déchets ménagers) et l'extraction non durable de l'eau (en particulier pour l'agriculture irriguée) font diminuer leur nombre. Elle est donc classée vulnérable par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)[1],[2].
C'est un poisson vivant dans les rivières, d'une longueur maximale de 55 cm[3].
L'espèce a été initialement classée dans le genre Barbus sous le protonyme Barbus reinii, par le zoologiste germano-britannique Albert Günther, en 1874[4]. Elle est déplacée dans le genre Labeobarbus à la suite d'un étude phylogénétique de 2010[5].
Labeobarbus reinii a pour synonymes[4] :
Labeobarbus reinii est une espèce de poissons d'eau douce de la famille des Cyprinidae et du genre Labeobarbus.
Cette espèce est endémique du Maroc, où son habitat naturel est les rivières Kassab et Tensift, bien que ce soient des cours d'eau importants et que les espèces soient encore très abondantes, la pollution de l'eau (en particulier avec les déchets ménagers) et l'extraction non durable de l'eau (en particulier pour l'agriculture irriguée) font diminuer leur nombre. Elle est donc classée vulnérable par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN),.