Diplolepis is a genus of approximately fifty species in the gall wasp family Cynipidae.[1][2] The larvae induce galls on wild roses (Rosa), and rarely on domestic roses.[1][2][3]
Adults are small (3–6 mm, 0.12–0.24 in) with a strongly arched mesosoma giving them a hunched appearance.[4] Coloration ranges from entirely orange to reddish-brown or black.[4] Larvae are legless and cream-colored with a weakly defined head.[4]
Galls formed by a given species can usually be distinguished from those of other species by the shape, size, placement, and ornamentation (smooth or spiny) of the gall, together with the identity of the host plant.[1][4] However, gall morphology can be modified by the presence of inquilines and parasitoids.[1][4] Some species induce galls on leaves, while others induce galls on stems or adventitious shoots.[1][4] Depending on the species of wasp, galls may be single-chambered or multi-chambered, and detachable or integral.[1][4]
Diplolepis species occur throughout the holarctic region.[1][2] While most described species are in the nearctic, it is likely many species remain to be discovered and described, particularly in the eastern palearctic.[1][3]
All Diplolepis species lay eggs and induce galls only on rose (Rosa) species, and are thus dependent on roses to complete their life cycle.[1][4] There is only one generation per year.[1] Adult emergence from galls coincides with the availability of suitable host plant tissue required for oviposition and gall formation; this can be in spring or later in summer depending on the species.[4] The adult life span is 5–12 days, during which they mate and the females lay their eggs.[4] Eggs are attached to 1-2 plant cells and gall formation begins before the eggs hatch.[4] Larvae are entirely surrounded by their galls shortly after they begin feeding.[4] Larvae remain in their galls during the summer while feeding on gall tissue, and mature by late summer.[4] They overwinter in their galls as pre-pupae; they complete pupation in spring and the adults chew their way out of the galls.[4]
The galls of nearly all Diplolepis species are known to host inquilines - species that invade and occupy a gall but do not feed on the larva of the inducing species, though the inducing larva often dies as a result of the activity of the inquiline.[1][4] Species of the gall wasp genus Periclistus are the most common inquiline species found in Diplolepis galls and may occupy over half the Diplolepis galls produced in a given year.[4]
The larvae of both the gall-inducing Diplolepis species and the inquilines (if present) are used as hosts by a number of parasitoid wasps, including wasps from the families Eulophidae, Eurytomidae, Chalcididae, Pteromalidae, Torymidae, and Ichneumonidae.[4][5][6]
The name 'Diplolepis' was first used for this group by Etienne-Louis Geoffroy in 1762.[7] The genus is monophyletic and, with Liebelia, constitutes the tribe Diplolepidini within the subfamily Cyinipinae.[1][2] There are currently about 50 described species in the genus, including:[1][3][8][9][10]
Diplolepis is a genus of approximately fifty species in the gall wasp family Cynipidae. The larvae induce galls on wild roses (Rosa), and rarely on domestic roses.
Diplolepis est un genre d'insectes hyménoptères cynipidés qui provoquent la formation de galles sur les rosiers sauvages dont les églantiers sur l'ensemble de l'écozone holarctique. Diplolepis rosae est l'espèce type de ce genre.
Comme l'ensemble de la famille des Cynipidae, les espèces de Diplolepis sont exclusivement phytophages. Comme la tribu Diplolepidini, elles induisent des galles exclusivement sur le genre Rosa et sont distribuées dans la région holarctique. La tribu Diplolepidini que forment Diplolepis et Liebelia est un groupe monophylétique caractérisé par une morphologie unique au sein des Cynipidae : la présence d'un sillon longitudinal sur la partie latérale du thorax nommée mésopleuron du mésosoma. Diplolepis et Liebelia se distinguent sur la base des caractères morphologiques suivants : chez Diplolepis, les antennes des femelles et des mâles sont de 12 à 15 segments et la cellule radiale de l'aile antérieure est fermée le long du bord ; tandis que chez Liebelia, les antennes sont de 16 segments et la cellule radiale de l'aile est ouverte[2],[3].
Le genre Diplolepis comprend six espèces européennes[4], dont certaines sont également présentes en Asie occidentale et au Maroc[2] ; huit espèces du Paléarctique oriental[5] et 31 espèces néarctiques[6].
Diplolepis est représenté par des petites guêpes mesurant de 3 à 6 mm de long colorées de l'orange complet au brun rougeâtre ou au noir[7]. Les larves sont sans pattes et de couleur crème avec une tête faiblement définie. Il est morphologiquement caractérisé par une tête et un mésosoma noirs ou brun rougeâtre ; des antennes formées de 14 à 15 segments dans les deux sexes et ornées de flagellomères cylindriques relativement grands. Le pronotum est court dorsomédialement, la plaque pronotale étant peu prononcée, les sillons scutellaires faibles ou absents, le mésopleuron avec un sillon mésopleural large et crénelé, le propodeum rugueux et les carènes propodales latérales généralement indistinctes ainsi que le creux métanotal large et apicalement tronqué. Les ailes antérieures sont, modérément ou fortement, uniformément ou partiellement, infusées, c'est-à-dire teintées d'un noir délavé. Leur bordure est munie de cils courts mais distincts. La cellule radiale est fermée le long du bord de l'aile. La veine 2r des ailes antérieures possède généralement un moignon de veine médiane proéminent projeté antérolatéralement[2],[3].
Certaines espèces induisent des galles sur les feuilles, tandis que d'autres induisent des galles sur les tiges ou les pousses adventives. Selon l'espèce de guêpe, les galles peuvent être à une ou plusieurs chambres, et détachables ou intégrales. Les galles formées par une espèce donnée peuvent généralement être distinguées de celles d'autres espèces par la forme, la taille, l'emplacement et l'ornementation lisse ou épineuse de la galle, ainsi que par l'identité de la plante hôte. Cependant, la morphologie de la galle peut être modifiée par la présence d'espèces inquilines[7].
Toutes les espèces de Diplolepis pondent des œufs et forment des galles uniquement sur les espèces de rosiers sauvages (Rosa) auxquels elles sont intimement inféodées. Elles sont généralement univoltines. La sortie des adultes des galles coïncide avec la disponibilité des tissus de la plante hôte nécessaires à la ponte et à la formation des galles ; cela peut être au printemps ou plus tard en été selon l'espèce. La durée de vie des adultes est de 5 à 12 jours, pendant lesquels ils s'accouplent et les femelles pondent leurs œufs. Les œufs sont attachés à 1 ou 2 cellules végétales et la formation de galles commence avant l'éclosion des œufs. Les larves sont entièrement entourées de leurs galles peu de temps après avoir commencé à se nourrir dans laquelle elle vivent pendant l'été en se nourrissant de tissus galliques, et deviennent matures au début de l'automne. Elles y hivernent sous la forme de pré-nymphes et terminent leur nymphose au printemps. Les adultes se frayent un chemin hors des galles[7].
Les galles hébergent en plus des espèces inquilines qui l'envahissent et l'occupent sans parasiter la larve de l'espèce inductrice, bien que cette dernière meure souvent à cause de l'activité de l'inquiline. Les espèces du genre Periclistus sont les inquilines les plus communes trouvées dans les galles de Diplolepis et peuvent occuper plus de la moitié des loges. Les inductrices comme les inquilines sont les proies d'espèces de guêpes parasitoïdes des familles Eulophidae, Eurytomidae, Chalcididae, Pteromalidae, Torymidae, et Ichneumonidae[7].
Les espèces de Diplolepis sont connues pour causer des galles principalement sur les rosiers sauvages. Des infections accidentelles sur Rosa rugosa cultivée et ses hybrides ont été signalées en Amérique du Nord, mais aucune des espèces de Diplolepis n'est devenue un ravageur sérieux des cultivars de rosiers[8].
Galle de Diplolepis rosae nommée « bédégar ».
Galle de Diplolepis bicolor.
Galle de Diplolepis eglanteriae.
Galle de Diplolepis fructuum.
Galle de Diplolepis ignota.
Galle de Diplolepis mayri.
Galle de Diplolepis nervosa.
Galle de Diplolepis polita.
Galle de Diplolepis spinosa.
Galle de Diplolepis spinosissima.
Liste des espèces selon Ronquist et al. (2015)[3] et Zhu Qifan et al. (2021)[9] :
Diplolepis est un genre d'insectes hyménoptères cynipidés qui provoquent la formation de galles sur les rosiers sauvages dont les églantiers sur l'ensemble de l'écozone holarctique. Diplolepis rosae est l'espèce type de ce genre.
Diplolepis is een monotypisch geslacht van vliesvleugeligen uit de familie van de galwespen (Cynipidae).
Diplolepis is een monotypisch geslacht van vliesvleugeligen uit de familie van de galwespen (Cynipidae).
Diplolepis Cynipidae familyasından bir yaban arısıdır.
Diplolepis Cynipidae familyasından bir yaban arısıdır.
[{{fullurl:wikispecies:{{{wikispecies}}}|uselang=ru}} Систематика
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Diplolepis (лат.) — род перепончатокрылых насекомых из семейства цинипид (Cynipidae).
Род характеризуется неполным жилкованием крыльев (всего 6—8 клеточек), лишённых краевого глазка, не коленчатыми 13—16-членниковыми усиками, коротким телом, часто с очень сжатым с боков и обыкновенно висячим брюшком, малой или очень малой величиной, игловидным яйцекладом самки и двухчленистым вертлюгом. Безногие личинки этого семейства живут в различных местах растений, производя уродливые наросты — галлы или орешки; некоторые личинки орехотворок сами не производят наростов, а живут в чужих орешках. Род розовики отличается от прочих родов следующими признаками: первый членик брюшка длиннее всякого другого; лучевая клеточка передних крыльев короткая и широкая (почти 3-угольная), зеркальцевая клеточка или заменяющая её точка лежит ближе к её основанию, чем к середине; усики 15—16-члениковые со щетинками, челюстные щупальца 4-губные 2-члениковые. Наросты, производимые личинкой розовика на шиповнике и др. видах рода Rosa, известные под названием «бедегуар», — довольно крупные, очень мохнатые галлы.
Описано 25 видов розовиков из Европы и Северной Америки, из которых наиболее обыкновенный и широко распространенный вид (и в Европе, и в Америке) — обыкновенный розовик (Rhodites rosae).
Diplolepis (лат.) — род перепончатокрылых насекомых из семейства цинипид (Cynipidae).