Tachigali versicolor or the suicide tree is a species of tree found from Costa Rica to western Colombia. It is monocarpic, flowering only once before dying, which gives rise to its common name of the "suicide tree".[2]
Tachigali versicolor reproduces only once in its lifetime once the trees are mature. Within a year of flowering the tree rapidly dies and falls over.[3] The trait was first noticed by Robin Foster in 1970, while working in Panama.[4] Carlos Fonseca reported that another species in the genus, Tachigali myrmecophila is also monocarpic.[5] The age at which they reproduce is unknown, however, and growth rates vary widely depending on the amount of light that the trees grow in.[2] Reproduction (and death) has been observed to occur in a four to six year cycle; if flowering occurs one year then it will not occur for the next three to five years.[3] When studied on Barro Colorado Island in Panama, they were observed to flower in 1970, 1974, 1978, 1983, 1984, 1989 and 1994.[2] Despite the suicidal nature of their reproductive strategy they do not appear to divert any more nutrients into their one set of seeds than other similar trees. While apparently maladaptive, the strategy has been suggested to be effective at maintaining populations, as when the parent tree dies it creates a gap in the canopy which the seedlings require to grow.[3]
Flowering occurs between January and July, with individuals flowering for between 6 and 12 weeks. The fruits are large, wind dispersed samaras and they mostly fall within 100m of the parent tree.[2] The seeds, which weigh around half a gram[6] are predated while still on the tree by parrots and bruchid beetles (Amblycerus tachygaliae[6]) and once on the forest floor by rodents, peccaries and fungi. The seeds lack dormancy and germinate in late April and early May. The seedlings are tolerant of shade and can survive for many years in the understorey while waiting for a gap in the canopy to form.[2] For that reason, seedlings are more likely to survive growing under the canopy of other T. versicolor trees than under trees of a different species. For the first two months after germination, those that grow in the shade are more likely to survive because less grazing occurs in the shade. After two months those in light gaps are more likely to survive. Each tree produces around 50,000 seeds of which 30% germinate and 5% survive for more than two years. If light conditions change the seedlings are able to quickly adapt to the new conditions by growing new leaves that are especially adapted to capture the light level. Compared to other monocarpic trees that grow in similar environments, T. versicolor has relatively high seed mass, dispersal capability, photosynthetic flexibility and seedling survival in the shaded understory in the first year of growth.[6]
Leaf cutter ants do not harvest the leaves of the suicide tree, presumably because the leaves contain anti-fungal chemicals which would kill the fungus they depend on to digest leaves.[4]
As a member of the family Fabaceae it has a symbiotic relationship with nitrogen fixing bacteria. The bacteria found in the trees nodules are from the genus Bradyrhizobium.[7]
Indigenous people in the Amazon basin use an extract of the tree to treat fungal skin infections[4] and it is also used as timber.[8]
Tachigali versicolor or the suicide tree is a species of tree found from Costa Rica to western Colombia. It is monocarpic, flowering only once before dying, which gives rise to its common name of the "suicide tree".
Tachigali versicolor, ou arbre suicidaire, est une espèce de plantes dicotylédones de la famille des Fabaceae,sous-famille des Caesalpinioideae, originaire d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud.
Ce sont des arbres que l'on trouve du Costa Rica à l'ouest de la Colombie. L'espèce est monocarpique, c'est-à-dire qu'elle ne fleurit qu'une seule fois dans son cycle de vie, d'où le nom commun d'« arbre suicidaire »[3].
Tachigali versicolor ne se reproduit qu'une seule fois dans sa vie, une fois l'arbre adulte. Pendant l'année de la floraison, cet arbre meurt rapidement, après avoir épuisé toutes ses réserves dans la reproduction, et tombe[4]. Ce trait a d'abord été remarqué par le botaniste américain, Robin Foster, en 1970, alors qu'il travaillait au Panama[5]. Le botaniste brésilien, Carlos Roberto Fonseca, a signalé qu'une autre espèce de ce même genre, Tachigali myrmecophila, est aussi monocarpique[6] à laquelle les arbres sont exposés. On a constaté que le cycle de reproduction (et la mort) se reproduit, dans l'ensemble, tous les quatre à six ans ; si une floraison intervient une année donnée, elle ne se produit plus au cours des trois à cinq années suivantes. Lors d'études menées dans l'île Barro Colorado au Panama, on a observé des floraisons en 1970, 1974, 1978, 1983, 1984, 1989 et 1994. Malgré la nature « suicidaire » de leur stratégie de reproduction, ils ne semblent pas stocker plus de nutriments dans l'ensemble de leurs graines que d'autres arbres similaires. Cette stratégie, apparemment inadaptée, semble très efficace pour le maintien des populations de l’espèce ; lorsque l'arbre-père meurt, il crée dans la canopée une lacune qui favorise la croissance des jeunes plants. Cette stratégie se retrouve aussi chez quelques espèces de grands palmiers comme Tahina spectabilis ou Corypha umbraculifera.
La floraison a lieu entre les mois de janvier et de juillet, et dure de 6 à 12 semaines selon les individus. Les fruits sont gros, le vent disperse les samares et souvent celles-ci tombent à plus de 100 mètres de l'arbre-père. Les graines, qui pèsent environ un demi-gramme[7], sont souvent consommées par des perroquets lorsqu'elles sont encore sur l'arbre et par des rongeurs et des pécaris lorsqu'elles sont tombées au sol. Elles sont également parasitées par des bruches (telles que Amblycerus tachygaliae) et par des champignons. Les graines n'ont pas de dormance et germent de la fin avril à début mai. Les plants tolèrent l'ombre et peuvent survivre pendant de nombreuses années dans le sous-bois en attendant que se forme une lacune dans la canopée. Les semis ont plus de chances de survivre sous le couvert d'autres Tachigali versicolor que sous des arbres d'autres espèces. Pendant les deux mois qui suivent la germination, ceux qui poussent à l'ombre sont plus susceptibles de survivre car il y a moins de pâturage dans l'ombre. Après deux mois à la lumière des lacunes, ils sont plus susceptibles de survivre. Chaque arbre produit environ 50 000 graines dont 30 % germent et 5 % survivent plus de deux ans. Si les conditions de lumière changent, les jeunes plants sont en mesure de s'adapter rapidement à de nouvelles conditions par la croissance de nouvelles feuilles qui sont particulièrement bien adaptées à la quantité de lumière. Comparé à d'autres arbres monocarpiques qui poussent dans des environnements similaires, Tachigali versicolor a des capacités relativement élevées de germination, une très bonne aptitude pour la dispersion, une grande flexibilité pour la gestion de la photosynthèse, et une bonne adaptation à la survie de ses plantules dans le sous-bois ombragé pendant la première année de croissance.
Les fourmis coupeuses de feuille ne récoltent pas les feuilles de l'arbre suicidaire, sans doute parce que ses feuilles contiennent des substances anti-fongiques qui peuvent tuer le champignon dont elles dépendent pour digérer les feuilles.
Comme la plupart des espèces de la famille des Fabaceae , Tachigali versicolor a une relation symbiotique avec des bactéries pour la fixation de l'azote. Les bactéries, que l'on trouve dans les nodosités racinaires de ces arbres, sont du genre Bradyrhizobium[8].
Les peuples autochtones du bassin de l'Amazone utilisent un extrait de l'arbre pour traiter les infections fongiques de la peau, mais ils utilisent également le bois de cet arbre comme bois d'œuvre[9].
Tachigali versicolor, ou arbre suicidaire, est une espèce de plantes dicotylédones de la famille des Fabaceae,sous-famille des Caesalpinioideae, originaire d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud.
Ce sont des arbres que l'on trouve du Costa Rica à l'ouest de la Colombie. L'espèce est monocarpique, c'est-à-dire qu'elle ne fleurit qu'une seule fois dans son cycle de vie, d'où le nom commun d'« arbre suicidaire ».
Tachigali versicolor là một loài thực vật có hoa trong họ Đậu. Loài này được Standl. & L.O.Williams miêu tả khoa học đầu tiên.[2]
Tachigali versicolor là một loài thực vật có hoa trong họ Đậu. Loài này được Standl. & L.O.Williams miêu tả khoa học đầu tiên.