Ignicoccus hospitalis is a chemolithoautotrophic, hyperthermophilic Archaeon. It thrives in hydrothermal vents at 90°C, uses molecular hydrogen as electron donor and elemental sulfur as electron acceptor, and produces enormous amounts of H2S (Paper et al., 2007). I. hospitalis is of major interest for scientists in microbiology for two reasons. First, it exhibits an extraordinary cell structure which is unique among the Archaea. In I. hospitalis, an inner membrane separates the cytoplasm from an ‘intermembrane compartment’ which in turn is surrounded by the outer cellular membrane (OCM). The OCM is not only a barrier to the environment but also harbors the hydrogen:sulfur oxidoreductase and the ATP synthase, the two main enzymes for energy conservation (Küper et al., 2010; Huber et al., 2012). Second, I. hospitalis is the only known host for Nanoarchaeum equitans. This tiny Archaeon grows attached to the surface of and retrieves amino acids and lipids from its host. Further metabolic processes in this intimate association are under investigation.
Ignicoccus hospitalis est une espèce d'archées thermophiles du genre Ignicoccus. On trouve ces microorganismes dans les sources hydrothermales sous-marines. Ces microorganismes ont été découverts en 2000 près de Kolbeinsey, au nord de l'Islande. Ils se développent dans un intervalle de températures de 70 à 98 °C, avec un optimum autour de 90 °C. Ils produisent leur énergie métabolique par réduction du soufre élémentaire en sulfure d'hydrogène H2S en utilisant l'hydrogène H2 comme donneur d'électrons[2].
Il s'agit de cellules cocciformes d'environ μm à surface lisse avec une membrane externe mais pas de couche S. La structure de leur enveloppe cellulaire n'avait jamais été observée auparavant, avec une membrane plasmique, un périplasme large de 20 nm à 400 nm avec des vésicules liées à la membrane, et une membrane externe épaisse d'environ 10 nm superficiellement similaire à celle des bactéries à Gram négatif. Cette dernière contient de nombreuses particules individualisées d'environ 8 nm de diamètre, rassemblées de façon irrégulière sur la surface, ainsi que des pores d'environ 24 nm de diamètre entourés de petites particules d'environ 12 nm de diamètre arrangées en anneaux de 130 nm de diamètre formant des agrégats comprenant jusqu'à huit de ces particules[3].
I. hospitalis entretient parfois une relation symbiotique avec une petite archée de l'embranchement (phylum) des Nanoarchaeota.
Ignicoccus hospitalis est une espèce d'archées thermophiles du genre Ignicoccus. On trouve ces microorganismes dans les sources hydrothermales sous-marines. Ces microorganismes ont été découverts en 2000 près de Kolbeinsey, au nord de l'Islande. Ils se développent dans un intervalle de températures de 70 à 98 °C, avec un optimum autour de 90 °C. Ils produisent leur énergie métabolique par réduction du soufre élémentaire en sulfure d'hydrogène H2S en utilisant l'hydrogène H2 comme donneur d'électrons.
Il s'agit de cellules cocciformes d'environ 2 μm à surface lisse avec une membrane externe mais pas de couche S. La structure de leur enveloppe cellulaire n'avait jamais été observée auparavant, avec une membrane plasmique, un périplasme large de 20 nm à 400 nm avec des vésicules liées à la membrane, et une membrane externe épaisse d'environ 10 nm superficiellement similaire à celle des bactéries à Gram négatif. Cette dernière contient de nombreuses particules individualisées d'environ 8 nm de diamètre, rassemblées de façon irrégulière sur la surface, ainsi que des pores d'environ 24 nm de diamètre entourés de petites particules d'environ 12 nm de diamètre arrangées en anneaux de 130 nm de diamètre formant des agrégats comprenant jusqu'à huit de ces particules.
I. hospitalis entretient parfois une relation symbiotique avec une petite archée de l'embranchement (phylum) des Nanoarchaeota.
이그니콕쿠스 호스피탈리스는 이그니콕쿠스속에 속하는 한 종이다.[1]