Daemonorops draco, ye una especie de palmera trepadora nativa de les rexones tropicales del sudeste asiáticu.
Les plántulas tienen una pequeña apaición de palma espodada. Cola edá, la planta convertir nuna esguiladora y utiliza un árbol cercanu pa llograr asistencia. El tarmu ta cubiertu con un ensame d'escayos flexibles esplanaes y escures, xuníes na base. Les fueyes son pinnaes y compónense de foliolos de 30 a 45 cm de llargor alternos. El raquis de la fueya y el marxe de les cáscares tán arizaos de pelos tiesos. La inflorescencia ye una espádice hermafrodita que s'asemeya a una panícula allargada con delles, pulgos coriacees llanceolaes. La fruta colorao ye una baga arrondada, que s'estrecha, aproximao del tamañu d'una cereza.
Alcuéntrase n'Indonesia y Malasia nes islles de Sumatra y Borneo.
La sustanza resinosa de color coloráu escuru que cubre'l frutu d'esta palma viéndese comercialmente sol nome de "sangre de drago". Esti nome tamién se-y da a otres resines similares llograes a partir de delles especies de distintos xéneros de Daemonorops, Dracaena y Croton. Sangre de Dragón ye soluble en alcohol y utilízase principalmente como pigmentu na preparación de barnices , de colorantes y tintes. Ye parte de la medicina tradicional china, onde s'usa pa controlar el sangráu y el dolor, p'activar la circulación del sangre y curar les feríes y contusiones.
Úsase como astrinxente, hemostático, utilizando la resina llograda de los frutos. Los principios activos son: acedu benzoico y tanín.[1]
Daemonorops draco describióse por (Willd.) Blume y espublizóse en Rumphia 2.p.8,3.8. 1838.[2]
Daemonorops: nome xenéricu que remanez del griegu: daemon = "espíritu malinu" y rhops = "parrotal", en referencia a l'armadura de cutiu dañína.[3]
draco: epítetu llatín que significa "dragón".[4]
Daemonorops draco, ye una especie de palmera trepadora nativa de les rexones tropicales del sudeste asiáticu.
Frutos Sangre de dragón
Calamus draco is an Asian species of rattan plant in the family Arecaceae; its native range is from peninsular Thailand to western Malesia.[1][2] It is a source of the red resin known as dragon's blood, which is a pigment with medicinal uses.[3]
Calamus draco has stems in clusters forming individual rattan stems climbing up to 15 m., with sheaths to 30 mm diameter. Leaf fronds are described as cirrate (with a cirrus: extension of the rattan leaf tip armed with grappling hooks), produced from leaf-sheaths, which are bright green, bearing chocolate-coloured indumentum when young: they are 2.5 m long including petiole (up to 300 mm and armed with groups of short lateral spines to 6 mm long); the cirrus is about 1 m long. About 20 regularly arranged leaflets are on each side of the rachis. The mature fruit are more or less ovoid, 28 x 20 mm, covered in 16 vertical rows of scales and may be heavily encrusted with the "dragon's blood".[2].
Calamus draco is an Asian species of rattan plant in the family Arecaceae; its native range is from peninsular Thailand to western Malesia. It is a source of the red resin known as dragon's blood, which is a pigment with medicinal uses.
Daemonorops draco, es una especie de palmera trepadora nativa de las regiones tropicales del sudeste asiático.
Las plántulas tienen una pequeña aparición de palma esbelta. Con la edad, la planta se convierte en una trepadora y utiliza un árbol cercano para obtener asistencia. El tallo está cubierto con una multitud de espinas flexibles aplanadas y oscuras, unidas en la base. Las hojas son pinnadas y se componen de foliolos de 30 a 45 cm de longitud alternos. El raquis de la hoja y el margen de las valvas están erizados de pelos tiesos. La inflorescencia es una espádice hermafrodita que se asemeja a una panícula alargada con varias, cáscaras coriáceas lanceoladas. La fruta roja es una baya redondeada, que se estrecha, aproximadamente del tamaño de una cereza.
Se encuentra en Indonesia y Malasia en las islas de Sumatra y Borneo.
La sustancia resinosa de color rojo oscuro que cubre el fruto de esta palma se vende comercialmente bajo el nombre de "sangre de drago". Este nombre también se le da a otras resinas similares obtenidas a partir de varias especies de diferentes géneros de Daemonorops, Dracaena y Croton. Sangre de Dragón es soluble en alcohol y se utiliza principalmente como pigmento en la preparación de barnices , de colorantes y tintas. Es parte de la medicina tradicional china, donde se usa para controlar el sangrado y el dolor, para activar la circulación de la sangre y curar las heridas y contusiones.
Se usa como astringente, hemostático, utilizando la resina obtenida de los frutos. Los principios activos son: ácido benzoico y tanino.[1]
Daemonorops draco fue descrita por (Willd.) Blume y publicado en Rumphia 2.p.8,3.8. 1838.[2]
Daemonorops: nombre genérico que deriva del griego: daemon = "espíritu maligno" y rhops = "arbusto", en referencia a la armadura a menudo dañína.[3]
draco: epíteto latino que significa "dragón".[4]
Daemonorops draco, es una especie de palmera trepadora nativa de las regiones tropicales del sudeste asiático.
Frutos Sangre de dragónDaemonorops draco
Le palmier sang-dragon (Daemonorops draco) est une espèce de palmiers lianescents de la famille des Arecaceae. Ce palmier grimpant est originaire des régions tropicales du sud-est asiatique (Sumatra et Bornéo).
Il produit une résine rouge, nommée sang-dragon (jernang en indonésien), utilisée comme colorant et matière médicale[1].
Autres noms communs : Sang-dragon, palmier sang de dragon, palmier à résine rouge, rottang sang-dragon, palmier rotin. Localement, il est appelé rotan jernang (besar) en indonésien.
Le nom générique Daemonorops dérive du grec δαίμων daimon « divinité, démon » en raison des longues épines agressives portées par les tiges, et de ρωψ rops « buisson, arbuste ». L'épithète spécifique draco dérive du grec δρακων drakôn « dragon ».
La première description botanique valide du taxon[2] est l’œuvre de Willdenow, directeur du Jardin botanique de Berlin, dans la réédition de Caroli a Linné Species plantarum (v.2) de 1799 (après la mort de Linné). Il nomme l'espèce Calamus draco[3] qu'il renvoie à la description Palmajuncus draco de Rumphius (1627-1702). L’œuvre majeure de celui-ci, Herbarium amboinense[4], écrite à la fin du XVIIe siècle (et publiée post-mortem en 1741, mais avant l'œuvre de référence de Linné, Species plantarum 1753), fut produite dans des conditions très difficiles, sur le terrain dans l'île d'Ambon (archipel des Moluques, Indonésie).
Par la suite, en 1843, le botaniste germano-néerlandais, Blume, directeur du Jardin botanique de Bogor à Java, reclassa le taxon dans Daemonorops draco[5]. Blume a fourni une contribution majeure à la classification des palmiers d'Indonésie.
Willdenow et Blume rapportent les genres Calamus et Daemonorops à l'ancienne classification de Linné des Hexandria (6 étamines), Monogyne (1 pistil).
Selon The Plant List, les synonymes sont :
Les jeunes plants de Daemonorops draco sont dressés et ont l'aspect d'un petit palmier élancé. Avec l'âge, la plante devient grimpante et utilise un arbre voisin comme support. Ils poussent en touffe de 5 à 20 individus.
La tige non ramifiée est couverte d'une multitude d'épines souples et aplaties de couleur foncée, se rejoignant à la base. Elle peut atteindre 15 m de long pour grimper dans la végétation environnante[6]. Les internoeuds font 15-20 cm.
Les feuilles pennées font jusqu'à 3 m de long[1], avec un pétiole de 10 cm et des vrilles de 100 cm. Elles sont composées de folioles linéaires-lancéolées, alternes, mesurant de 30 à 45 cm de long et 4 cm de large[7]. Le rachis des feuilles et la gaine foliaire ainsi que la marge des folioles sont hérissés de poils raides.
L'espèce est dioïque : chaque pied ne porte que des fleurs soit mâles soit femelles. L'inflorescence latérale est incluse dans des spathes. Elle est pendante et fait jusqu'à 51 cm de long[7].
Les infrutescences (seulement portées par les pieds femelles) sont couvertes d'un indumentum détachable ferrugineux. Le fruit rouge est une baie arrondie, terminée en pointe, couvert de dix écailles, disposées en rangées verticales de la grosseur d'une cerise (1,3 cm)
Daemonorops draco commence à produire des fruits à l'âge de 2 ans, mais il ne commence à produire la résine jernang qu'à partir de l'âge de 5 ans[1]. Il y a cinq autres espèces du genre Daemonorops à produire de la jernang de qualité mais celle de D. draco est la meilleure[1].
Daemonorops draco est proche de D. micracantha mais avec des épines de la gaine foliaire plus robustes et des folioles moins nombreux et plus larges[8].
On retrouve le palmier sang-dragon en Indonésie et en Malaisie, plus précisément sur les îles de Sumatra (Jambi, Bengkulu) et de Bornéo (Sarawak, Kalimantan) et l'archipel Riau[9],[6].
Il croît en plaine dans les forêts primaires de dipterocarpus. Sans arbre de support lui convenant, il meurt. Dans la province de Jambi, district de Batanghari[1], les supports sont des chênes (Quercus elmeri), des duku (Lansium domesticum), des durians (Durio zibethinus), Eugenia sp. etc.
Il est cultivé dans les zones tropicales.
La substance résineuse de couleur rouge produite par cette monocotylédone lianescente est utilisée comme matière médicale et pigment coloré. La base anatomique de cette sécrétion n'a pas encore été décrite dans la littérature scientifique (Jura-Morawiec, Tulik[10], 2016).
La résine rouge foncé qui recouvre les fruits et les gaines foliaires de ce palmier, est récoltée localement sous le nom de « sève jernang » en Indonésie[1] et exportée principalement vers la Chine. Elle est connue commercialement sous le nom de « sang-dragon » ou « dragon's blood »[11]. Ce nom est aussi donné à des résines similaires obtenues à partir de plusieurs espèces différentes des genres Daemonorops, Dracaena, Pterocarpus et Croton. Le sang-dragon est soluble dans l'alcool.
Les fruits du palmier sang-dragon sont récoltés en forêt. Ses longues tiges peuvent être aussi récoltées pour faire du rotin.
Des communautés coutumières d'Indonésie comme les Talang Mamak, Anak Dalam ou Kubu[1], font grand usage de rotan jernang (Daemonorops draco). Ce sont des tribus semi-nomades se déplaçant dans le parc national de Bukit Tigapuluh (Sumatra)
Ces communautés coutumières ramassent les fruits de D. draco et les font sécher au soleil. Ils les placent ensuite dans des paniers en rotin tressé, les pilent avec un pilon en bois, et les secouent pour détacher la résine. Puis ils les passent à travers un tamis de rotin pour récupérer la poudre sur une pièce de tissu. La poudre obtenue est mélangée avec de l'eau et malaxée en galettes ou bâtons[7].
Actuellement, l'extraction de la résine par voie sèche se fait en écrasant les fruits après les avoir exposés au soleil[11]. La résine est séparée à l'eau chaude. Elle est préparée sous forme de granulés, de bâtons, de galettes ou de poudre. Le meilleur sang-dragon se présente sous forme de galettes cylindriques de 30-35 cm sur 2-2,5 cm d'épaisseur.
La meilleure méthode d'extraction est celle qui utilise le méthanol comme solvant. On laisse tremper 24 h les fruits dans ce solvant et on filtre[12].
La culture de D. draco se fait en faisant grimper la liane sur un arbre proche. Les fruits âgés de 6 à 7 mois sont les plus riches en résine[12] (du moins pour la province de Jambi).
Une touffe de D. draco produit environ 50 kg de sang-dragon par an[11].
La résine de sang-dragon est aussi produite à partir de D. draconcellus Becc., D. mattanensis Becc., D. micranthus Becc., D. motleyi Becc., D. rubra (Reinw. ex Blume) Mart., and D. sabut Becc.[11]. Elle est exportée en Chine depuis 1800. En 2005, le prix atteignait 70 $US[7] le kilo. Toutefois en Chine et au Japon, le sang-dragon produit par autre palmier rotin lianescent, le Calamus rotang, est préféré.
Le sang-dragon est principalement utilisé comme pigment dans la préparation de vernis, de teintures, d'encres et de dentifrices. Il est utilisé en Asie sud-est pour teindre les paniers et les violons.
Il fait aussi partie de la pharmacopée traditionnelle chinoise, où on l'utilise pour contrôler les saignements et la douleur, pour activer la circulation sanguine et pour soigner les blessures et les contusions. Les apothicaires chinois rapportèrent la résine importée du Daemonorops draco (麒麟竭 qilinjie) à une matière médicale d'un ouvrage du pharmacologue Li Shizhen, le Bencao gangmu 本草綱目, publié en 1593 à l'apogée de la pharmacologie chinoise. Cet ouvrage indique que cette matière médicale, le 骐驎竭 qilinjie (de qilin « licorne ») ou 血竭 xuejie, est bonne pour traiter les douleurs soudaines épigastriques et abdominales, qu'elle arrête le saignement d'une blessure, dissout les stases sanguines, soulage la douleur et favorise la régénération des chaires[13].
Rumphius (1627-1702) est le premier à avoir fourni une description et une illustration botanique du palmier sang-dragon. C'est un botaniste germano-néerlandais prélinnéen qui s'engagea dans la Compagnie néerlandaise des Indes orientales pour aller travailler en Indonésie (appelé à l'époque Indes orientales néerlandaises ou Indes). Il s'installe dans l'île d'Ambon en 1654 et rapidement se prend de passion pour la flore locale. Et malgré un glaucome, un tremblement de terre et un tsunami dans lesquels il perd sa femme et son fils et sans oublier l'incendie de sa bibliothèque, il arrive malgré tout, avec de l'aide, à rassembler un herbier d'Ambon, et à rédiger un ouvrage monumental Het Amboinsche kruidboek herbarum[4] dans lequel il réunit des informations botaniques, géographiques et ethnographiques de premières importances sur 1 200 espèces.
Rumphius donne une description du palmier sang-dragon sur la base d'un spécimen venant de Palembang (côte sud-est de Sumatra), envoyé en 1694 par le sergent-major St. Martin (voir le texte original[4] en latin et néerlandais (p. 114-118) et l'excellente édition critique, traduite en anglais Ambonese Herbal[14] vol. III, p. 663, 2011). Il indique : « la plante qui produit cette gomme, je l'appelle en latin Palmijuncus Draco, en malais Rottang Djerenang, mais la sève qu'on en extrait, que ce soit sous forme de gâteaux ou de boulettes, je l'appelle Sanguis Draconis, en malais Djernang ou Djerenang, en makassar Jerenne » (le makassar est la langue parlée dans la province de Sulawesi du Sud).
Il décrit comment les indigènes de Sumatra récoltent les fruits mûrs tombés à terre, les secouent vivement dans un mortier à riz pour détacher la gomme superficielle, puis les chauffent et les malaxent en galettes. La poudre sèche détachée des fruits peut être longuement conservée dans des sacs. Les peintres la fixent avec une eau gommeuse, pour fabriquer une belle couleur rouge.
Avec les restes des fruits écrasés, les Indonésiens font aussi du sang-dragon. Ces restes qui contiennent toujours de la résine rouge, sont écrasés, malaxés à la chaleur d'un feu ou du soleil en forme de gâteaux carrés de 3 à 4 doigts de large.
Selon Rumphius (au XVIIe siècle), le sang-dragon était exporté en Chine par des commerçants chinois. Il fut ensuite exporté en Europe, via la Chine, à partir de 1800[11].
Selon son mode d'élaboration, le sang-dragon tiré du Daemonorops draco recevra des appellations différentes : (Heraud[15], 1884; Saint-Vincent & Marie[16], 1822-31):
Le constituent rouge principal du sang-dragon du Daemonorops draco est la dracorhodine (5-methoxy-6-methyl-2-phenylchromen-7-one[17]). La couleur rouge est associée avec la base quinoïde des cations flavylium[18]. Le profil du chromatogramme HPLC permet de distinguer les résines sang-dragon de Daemonorops draco, Dracaena draco et Dracaena cinnabari, les unes des autres : la dracorhodine est le composé rouge principal du premier, le dracoflavylium du second et le 7,4'-dihydroxyflavylium du troisième.
Autres constituents identifiés : nordracorhodine, (2S) 5-methoxy-6-methylflavan-7-ol, dracoalban, acide pimarique, acide abiétique etc. (Gupta[19], 2008).
Daemonorops draco
Le palmier sang-dragon (Daemonorops draco) est une espèce de palmiers lianescents de la famille des Arecaceae. Ce palmier grimpant est originaire des régions tropicales du sud-est asiatique (Sumatra et Bornéo).
Il produit une résine rouge, nommée sang-dragon (jernang en indonésien), utilisée comme colorant et matière médicale.
Autres noms communs : Sang-dragon, palmier sang de dragon, palmier à résine rouge, rottang sang-dragon, palmier rotin. Localement, il est appelé rotan jernang (besar) en indonésien.
Rotan jernang besar (Daemonorops draco) adalah sejenis rotan anggota suku Arecaceae (Palmae). Rotan ini dapat ditemui di Semenanjung Malaya, Sumatra dan Kalimantan.[3] Dari rotan ini dihasilkan resin jernang dan rotan bahan anyaman.
Rotan yang berbatang kecil namun panjang. Perawakan rotan jernang besar menyerupai D. micracantha. Rotan jernang besar tumbuh berumpun, dengan panjang batang yang menjalar atau memanjat hingga 15 m.[4]
Daun meliputi batang dari rotan jernang besar. Daun berpelepah dengan ukuran 15 mm.[4] Walaupun daunnya menyirip seperti palem pada umumnya, ia dapat dibedakan berdasarkan anak daunnya yang berbentuk lanset dan memita, pada permukaan anak daun terdapat duri-duri halus, dengan duduk anak daun yang berhadap-hadapan dengsn jumlah yang banyak. Masing-masing daun berduri, berwarna coklat-kekuning-kuningan. Perbungaannya membentuk malai, dan tersusun dalam tandan. Tandan tersebut terselubung oleh seludang yang berbentuk perahu. Bagian luar dari seludang, berduri. Buah yang masak berbentuk bulat, berwarna coklat kemerah-merahan. Bijinya tunggal, namun dengan biji inilah, rotan jernang besar berkembangbiak.[5]
Secara alami, D. draco tumbuh liar di hutan-hutan dipterokarpa dataran rendah,[4] hingga pada ketinggian 300 mdpl.[5]
D. draco menghasilkan resin dari buah-buahnya yang belum masak. Dikenal secara lokal sebagai jernang, resin ini diperdagangkan di dunia sebagai dragon's blood; yang dimanfaatkan sebagai bahan pewarna, campuran pernis, bahan obat tradisional, dan bahan dupa.[6][7][8]
Secara tradisional jernang digunakan untuk mengilapkan kayu. Buah dari rotan jernang besar, mengandung resinotanol, sehingga bisa digunakan untuk obat murus (diare). Batangnya digunakan untuk tali-temali. Rotan jernang besar dianyam menjadi dinding sebagaimana halnya bambu. Sebagai penghasil rotan, D. draco tidak sebaik jenis spesies dari genus Calamus atau marga rotan lain.[5]
Rotan jernang besar (Daemonorops draco) adalah sejenis rotan anggota suku Arecaceae (Palmae). Rotan ini dapat ditemui di Semenanjung Malaya, Sumatra dan Kalimantan. Dari rotan ini dihasilkan resin jernang dan rotan bahan anyaman.