Cotoneaster cambricus J. Fryer & B. Hylmö

Cotoneaster cambricus (lat. Cotoneaster cambricus) - gülçiçəyikimilər fəsiləsinin dovşanalması cinsinə aid bitki növü.

Mənbə

Planhigyn blodeuol sy'n frodorol o Hemisffer y Gogledd yw Cotoneaster y gogarth sy'n enw gwrywaidd. Mae'n perthyn i'r teulu Rosaceae. Yr enw gwyddonol (Lladin) yw Cotoneaster cambricus a'r enw Saesneg yw Wild cotoneaster.^[1] Ceir enwau Cymraeg eraill ar y planhigyn hwn gan gynnwys Cotoneaster y Gogarth.

Mae'r teulu Rosaceae yn perthyn i'r genws Rosa (rhosyn) fel ag y mae'r cotoneaster a'r eirinen. Prif nodwedd y teulu yw ei ffrwythau amrywiol a phwysig i economi gwledydd.^[2] Ceir 5 sepal, 5 petal ac mae'r briger wedi'u gosod mewn sbeiral sy'n ffurfio llestr tebyg i gwpan o'r enw hypanthiwm.

Gweler hefyd

• Geiriadur rhywogaethau Gwefan Llên Natur

Cyfeiriadau

Mae gan Gomin Wikimedia
gyfryngau sy'n berthnasol i:

Cotoneaster y gogarth

Cotoneaster cambricus (wild cotoneaster; Welsh: Creigafal y Gogarth "rock apple of Gogarth") is a species of Cotoneaster endemic to the Great Orme peninsula in north Wales. It is the only species of Cotoneaster native to the British Isles. It has never been found naturally at any other location. In the past, it was included within the widespread eastern European Cotoneaster integerrimus, but differs from that in genetic profile.^[1]

It is a deciduous shrub growing to 1.5 metres (4 ft 11 in) tall and 2 metres (6 ft 7 in) broad. The leaves are oval-acute, 1–4 centimetres (0.39–1.57 in) long, green and thinly pubescent above, densely pubescent below and on the leaf margin, with white hairs. The flowers are produced in corymbs of one to four (occasionally up to seven) together in early to mid-spring (earlier than on C. integerrimus), each flower 3 millimetres (0.12 in) diameter, with five white to pale pink petals. The fruit is a red pome 7–11 millimetres (0.28–0.43 in) diameter, containing two or three seeds. The seed has a very low germination rate.^[1][2]

Status

Cotoneaster cambricus is critically endangered, with only six plants known in the wild, which are not regenerating naturally. This number has been supplemented in recent years by an additional 11 cultivated plants, grown from cuttings and seeds. Reintroduction has so far only had limited success; the 11 additional are the only survivors of 33 plants grown and planted out. The Biodiversity Action Plan for the species calls for this to be increased to 100 plants by 2030. Specimens are also cultivated in a number of botanical gardens. Historically, the species was much more abundant on the Great Orme when it was discovered in 1783. The population was reduced in the 19th century by collectors deliberately digging up plants for their gardens. More recently overgrazing pressure by sheep, feral goats, and rabbits has reduced size of existing plants, reduced flowering and prevented those new seedlings that have developed from establishing themselves. They have also been facing competition from invasion seedlings of other species of Cotoneaster arising from cultivated plants in gardens in nearby towns. It has full legal protection under Schedule 8 of the Wildlife and Countryside Act 1981.^[1]

References

Cotoneaster cambricus (Cotonéaster sauvage ; gallois : Creigafal y Gogarth « pomme de roche de Gogarth ») est une espèce de Cotoneaster endémique de la péninsule de Great Orme au nord du Pays de Galles. C'est la seule espèce de Cotonéaster native des Îles Britanniques. Il n'a été trouvé naturellement nulle part ailleurs. Il a été autrefois inclus dans l'espèce Cotoneaster integerrimus largement répandu en Europe de l'Est, mais diffère de celui-ci par son profil génétique^[1].

Description

Rameau avec feuilles et fruits.

Bosquet.

C'est un arbrisseau à feuilles caduques atteignant 1,5 m de haut et 2 m de large. Les feuilles sont ovales-aiguës, longues de 1 à 4 cm, vertes et finement pubescentes sur le dessus, densément pubescentes en dessous et sur le bord, avec des poils blancs. Les fleurs sont produites en corymbes par groupes de un à quatre (parfois jusqu'à sept) au début ou au milieu du printemps (plus tôt que chez C. integerrimus ), chaque fleur ayant un diamètre de 3 mm, avec cinq pétales blancs voire rose pâle. Le fruit est un piridion rouge d'un diamètre de 7 à 11 mm, contenant deux ou trois graines. La graine a un très faible taux de germination^[1],[2].

Menaces et conservation

Cotoneaster cambricus est en danger critique d'extinction, avec seulement six individus connus à l'état sauvage, qui ne se régénèrent pas naturellement. Ce nombre a été complété ces dernières années par onze autres plants cultivés issus de boutures et de graines. Les réintroductions n'ont eu jusqu'ici qu'un succès limité ; les onze autres sont les seuls survivants de 33 plantes cultivées et plantées. Le plan d'action pour la biodiversité de l'espèce demande que ce nombre soit porté à 100 plants d'ici 2030. Des spécimens sont également cultivés dans un certain nombre de jardins botaniques. Historiquement, l'espèce était beaucoup plus abondante sur le Great Orme lorsqu'elle a été découverte en 1783. La population a été réduite au XIX^e siècle par des collectionneurs déterrant délibérément des plantes pour leurs jardins. Plus récemment, la pression du surpâturage exercé par les moutons, les chèvres sauvages et les lapins a réduit la taille des plantes existantes, réduit la floraison et empêché les nouveaux semis qui se sont développés de s'établir. Ils ont également été confrontés à la concurrence des semis d'invasion d'autres espèces de Cotoneaster provenant de plantes cultivées dans les jardins des villes voisines. Il bénéficie d'une protection juridique complète en vertu de l'annexe 8 de la Wildlife and Countryside Act 1981 (en)^[1].

Notes et références