Ar c'hemener-dour a zo un amprevan bihan a c'hell fiñval war an dour. War al lennoù, ar stêrioù bihan pe ar gwazhioù e vez kavet. An anv skiantel eo Gerris. Graet e vez "araignée d'eau" anezhañ (kevnidenn-zour) e galleg peurliesañ.
Gerris is a bug genus in the family Gerridae (water striders).[1][2]
The genus Gerris contains 43 species in 3 subgenera:[3]
Species of genus Gerris demonstrate a high degree of female control over most aspects of mating and there is significant evidence that supports antagonistic coevolution, and the convenience polyandry hypothesis of multiple matings.[4][5] There is evidence to suggest that the post-copulatory guarding exhibited by Gerris buenoi - and other species of Gerris - is a form of a direct (material) benefit that females take advantage of to reduce superfluous matings.[6][4]
Male persistence is often detrimental to female fitness as male species of Gerris harass females.[4][5] This is believed to be the result of males having a lower number of available mates and therefore, have a reduced fitness.[7] Females are at risk of predation during mating attempts as males mount the female in an attempt to mate and tap their legs on the surface of the water to attract predators.[8] Females respond in turn, creating a pre-copulatory struggle in which they try to perform backwards somersault-like movements to break free of the male grapple.[9] If unsuccessful, female species of Gerris will resort to mating with the male as the cost of rejecting the male advances (death by predation) outweighs the cost of mating out of convenience.[4][9]
As a result of the tactics employed by both species there is evidence of rapid evolution between the sexes in a persistence-resistance form of sexual conflict.[5] The sexes of species of genus Gerris compete between each other in an "arms race" behaviour where males and females have varying traits that serve to increase their own fitness over the other.[5] Males evolved to harass females by chasing and lunging in an attempt to grapple the female for copulation, and females evolved mechanisms such as genital shielding, evasive maneuvers, and attempting to fight even when grappled. However, evading and fighting are quite costly for females and will give in if the costs of resistance outweigh the cost of mating.[5][4] Genital shielding can best be seen in G. gracilicornis and a male will have a hard time at inserting his genitalia unless the female protrudes her genitalia out.[10] Males have evolved to overcome this mechanism by attempting an intimate courtship instead of forceful mating, as well as a more hostile approach: attracting predators to force mating with females.[4][10][5] The rationale behind attracting predators to force mating is due to how copulation occurs: a male will attempt to mount a female on the surface water; it is the female that is at most risk from insect-eating fish and water dwelling predators.[4][10][5][9]
After copulation, males continue to rest on top of females for some period of time - this is what is known as guarding duration.[4][7] It can be hypothesized that when superfluous matings are plenty, females will extend this guarding duration by allowing the male to rest upon her for some time which in turn prevents harassment from other males. It is worth noting that this also incurs costs for the female as they must exert energetic costs to compensate for the passive male on her back, and that this might not be an effective tactic for females in the long run.[7][11]
Water striders, and more specifically those that fall under the genus Gerris are a model organism for studying sexual conflict as they have clear costs associated with their actions. They have great use as a control group when comparing to other organisms where it is more unclear as what is occurring.
Gerris is a bug genus in the family Gerridae (water striders).
Gerris es un género de insectos de la familia Gerridae, popularmente conocidos como zapateros o patinadores de agua.[1][2]
Gerris es un género de insectos de la familia Gerridae, popularmente conocidos como zapateros o patinadores de agua.
Gerris Gerridae familiako intsektu generoa da. Euskaraz zapatari izena ematen zaie.[1] Zapatariek ur gainean ibiltzeko trebezia dute, erraz ibiltzen dira putzu eta ibaien ur-azalean.[2]
Gerris Gerridae familiako intsektu generoa da. Euskaraz zapatari izena ematen zaie. Zapatariek ur gainean ibiltzeko trebezia dute, erraz ibiltzen dira putzu eta ibaien ur-azalean.
Gerris est un genre d'insectes hémiptères hétéroptères (même sous-ordre que les punaises) qui ont la capacité de se déplacer sur l'eau.
On les appelle parfois « punaises d'eau », et communément, mais improprement, « araignées d'eau » (sans doute du fait de leurs longues pattes). Leur adresse à se déplacer sur l'eau leur vaut aussi le nom de « patineuses », « patineurs d'eau » ou « patineurs des étangs ». Parmi les noms vernaculaires, on peut aussi trouver le nom de « ciseau », « skater » ou « punaise de Jésus »[2].
Leur mode, original, de déplacement (partagé avec quelques autres espèces dont certaines araignées (ex.: Dolomedes fimbriatus, Dolomedes triton[3]) est un exemple classique pour les cours d'introduction à la locomotion animale[4].
Il est permis par un double phénomène, différent de celui qui fait flotter des objets creux ou plus légers que l'eau en surface :
Si on diminue la tension superficielle de l'eau en y ajoutant une ou quelques gouttes de tensioactifs (typiquement, une goutte de détergent liquide), le Gerris n'est plus porté et crève la surface de l'eau. C'est pourquoi le Gerris marchant normalement sur l'eau est considéré comme bioindicateur d'une eau non polluée par un tensioactif.
Le Gerris possède 6 pattes : c'est un hexapode. Les pattes postérieures ont une fonction de gouvernail. Les pattes médianes, qui sont les plus longues, permettent la propulsion par saccades. Les pattes antérieures, plus petites, sont spécialisées dans la prédation.
Un Gerris peut, pour certaines espèces, effectuer un déplacement de l'ordre du mètre en une seule propulsion. On notera que les pattes P2 et P3 sont de taille comparable, au moins aussi longues que le corps, et qu'elles sont disposées en forme de X, ce qui permet à cet animal une bonne stabilisation sur l'eau[6],[7]
Les ailes sont variablement développées ; les individus ailés peuvent se déplacer assez loin de l'eau.
Le Gerris peut infliger une piqûre douloureuse s'il est manipulé sans précaution.
Selon Catalogue of Life (26 octobre 2015)[8] :
Selon ITIS (26 octobre 2015)[1] :
Selon NCBI (26 octobre 2015)[9] :
Selon World Register of Marine Species (26 octobre 2015)[10] :
On compte deux générations de Gerris par an. La première naît entre mai et juillet et dure environ 4 mois. La seconde naît entre août et septembre puis hiberne dans les berges pour se reproduire au printemps suivant. Le mâle meurt peu de temps après l'accouplement.
Les petites pattes antérieures permettent d'attraper les proies (insectes) et de les maintenir accolées à l'appareil mandibulaire modifié, comme chez la plupart des hémiptères, en suçoir.
Le Gerris attrape aussi bien ce qui vit sur l'eau, que ce qui vit dans l'eau (et vient à la surface), que ce qui tombe dans l'eau. Il utilise un procédé analogue à celui de l'araignée avec sa toile : ce sont les ondes générées par les mouvements sur l'eau qui lui permettent de localiser ses proies. Les vibrations transmises par la surface de l'eau leur permettent également de communiquer entre eux.
Les téguments des proies sont percés par les pièces buccales, le Gerris injecte alors des sucs digestifs puis il suce le contenu liquéfié de ses victimes dont il va laisser les enveloppes vides.
Cette capacité originale de déplacement sur l'eau a donné l'idée à certains[12][Qui ?] d'inventer des micro-robots capables de se déplacer sur l'eau, avec une grande manœuvrabilité[13] en utilisant sa tension superficielle pour ne pas couler et avec un mouvement de pattes plus ou moins biomimétique[14] (mais animées par un micro-ressort ou petit élastique) pour le faire avancer[11],[15].
Gerris est un genre d'insectes hémiptères hétéroptères (même sous-ordre que les punaises) qui ont la capacité de se déplacer sur l'eau.
On les appelle parfois « punaises d'eau », et communément, mais improprement, « araignées d'eau » (sans doute du fait de leurs longues pattes). Leur adresse à se déplacer sur l'eau leur vaut aussi le nom de « patineuses », « patineurs d'eau » ou « patineurs des étangs ». Parmi les noms vernaculaires, on peut aussi trouver le nom de « ciseau », « skater » ou « punaise de Jésus ».
Gerris is een geslacht uit de familie der schaatsenrijders (Gerridae). De groep werd voor het eerst wetenschappelijk beschreven door Johann Christian Fabricius in 1794.
De soorten uit dit geslacht leven op het wateroppervlak. Ze worden opmerkzaam op prooien door rimpelingen in het water, waarna ze zeer snel toeslaan.
Er zijn verschillende soorten, het soortenaantal verschilt per bron. De bekendste soort is de 'gewone' schaatsenrijder (Gerris lacustris) Linnaeus, 1767
Bronnen, noten en/of referentiesGerris is een geslacht uit de familie der schaatsenrijders (Gerridae). De groep werd voor het eerst wetenschappelijk beschreven door Johann Christian Fabricius in 1794.
Nartnik (Gerris) – rodzaj pluskwiaków różnoskrzydłych z rodziny nartnikowatych i podrodziny Gerrinae.
Takson opisany został w 1794 roku przez Johana Christiana Fabriciusa[1]. Dawniej należały tu w randze podrodzajów m.in. rodzaje Aquarius i Limnoporus[2], które później wyniesione zostały do rangi osobnych rodzajów[3][1].
Czułki grube o pierwszym członie krótszym lub równym długości członów drugiego i trzeciego razem wziętych. Kłujka stosunkowo krótka, o trzecim członie mniej niż 3-krotnie dłuższym niż czwarty. Przednie odnóża o udach jasnych z ciemnymi pasami. Uda odnóży tylnych długości ud środkowych lub krótsze, zazwyczaj około 2-krotnie dłuższe od goleni. Sternit VII odwłoka o zakończeniach bocznych krótkich, najczęściej trójkątnych[2].
Przedstawiciele rodzaju zamieszkują Europę, wschodnią Palearktykę, Bliski Wschód, Afrykę Północną oraz krainę orientalną[4]. W Polsce 8 gatunków[1]:
Należą tu dwa podrodzaje[3]:
Nartnik (Gerris) – rodzaj pluskwiaków różnoskrzydłych z rodziny nartnikowatych i podrodziny Gerrinae.