Die Orangerote Emilie (Emilia coccinea) ist eine Pflanzenart aus der Gattung Emilia innerhalb der Familie der Korbblütler (Asteraceae). Sie stammt aus dem tropischen Afrika und wird als Zierpflanze verwendet.
Die Orangerote Emilie ist eine einjährige Pflanze, die Wuchshöhen von 20 bis 50 Zentimetern erreicht. Die unteren Laubblätter sind spatelförmig, die oberen sitzend, spießförmig, den Stängel umfassend und am Grund entfernt gezähnt.
Die Blütenkörbe sind lang gestielt, pinselförmig und messen 10 bis 13 × 9 bis 13 Millimeter. Die Hülle ist 2/3 so lang wie die Blüten und krugförmig. Zungenblüten sind nicht vorhanden. Die Röhrenblüten sind orangerot bis feuerrot. Die Kronzipfel sind 1,6 bis 2,2 Millimeter lang.
Die Blütezeit reicht von Juni bis September.
Die Chromosomenzahl beträgt 2n = 10 oder 20.[1]
Emilia coccinea stammt ursprünglich aus dem tropischen Afrika[2]. Sie wächst dort auf Waldlichtungen und an Wegrändern. In Mexiko, Mittel- und Südamerika, auf Inseln in der Karibik, auf Mauritius, Hawaii, Madeira und Neukaledonien ist sie ein Neophyt.[2] Im Gebirge ist Emilia coccinea bis in Höhenlagen von 4000 Metern zu finden.
Die Erstveröffentlichung erfolgte 1802 unter dem Namen (Basionym) Cacalia coccinea durch John Sims.[3] Die Neukombination zu Emilia coccinea (Sims) G.Don wurde durch George Don veröffentlicht. Der Gattungsname Emilia entstand wahrscheinlich zu Ehren der französischen Naturwissenschaftlerin Émilie du Châtelet (1706–1749).[4] Der akzeptierte Name könnte Emilia fosbergii Nicolson sein.
Die Orangerote Emilie wird selten als Zierpflanze für Sommerblumenbeete genutzt. Sie ist vermutlich seit 1800 in Kultur.
Die Orangerote Emilie (Emilia coccinea) ist eine Pflanzenart aus der Gattung Emilia innerhalb der Familie der Korbblütler (Asteraceae). Sie stammt aus dem tropischen Afrika und wird als Zierpflanze verwendet.
Emilia fosbergii is a species of plant in the sunflower family.[1][2][3] It is commonly known in the United States as Florida tasselflower.[4]
Emilia fosbergii has been collected in many places for many years, the specimens regarded as belonging to E. coccinia, E. sagittata, or E. javanica. A reexamination of a large number of specimens led Nicolson to recognize it as a distinct species in 1975. He named the species in honor of Francis Raymond Fosberg.[5]
Emilia fosbergii is widely distributed in tropical and semitropical parts of the world: Africa, South and Southeast Asia, northern Australia, North and South America, and various oceanic islands. Its region of origin is the subject of some dispute; some say it is native to Africa, while others say Asia or South America.[6][7][8] It is reportedly naturalized in scattered locations in the United States, including Puerto Rico, and the Virgin Islands.[6][9]
Emilia fosbergii is an annual herb, growing up to 100 cm (40 inches) tall. It generally has only one central stem, sometimes branching but other times not. Each flower head can contain more than 60 pink, purple, or red disc florets, however, no ray florets are present.[10]
Emilia fosbergii is a species of plant in the sunflower family. It is commonly known in the United States as Florida tasselflower.
Emilia Coccinea, est une espèce de plantes de la famille des Asteraceae. À l'état sauvage, elle se rencontre en République démocratique du Congo, en Angola et en Zambie.
Ses propriétés sont souvent confondues avec celles d'Emilia lisowskiana et Emilia praetermissa Milne-Redh[2]. De même, les aires de répartition d’Emilia lisowskiana et Emilia coccinea se superposent (République démocratique du Congo, Angola et Zambie) avec des différences néanmoins d’un point de vue écologique.
Emilia reste proche de Senecio et, d’un point de vue végétatif, ressemble à des espèces de Sonchus mais s’en distingue grâce à ses tiges pleines et à l’absence de latex[2].
Lors d'une utilisation ornementale, Emilia coccinea est souvent confondue avec l'Emilia flammea et Emilia javanica.
Son nom vernaculaire en swahili est Kilembe cha mbwana, ulimi wa ngombe, en français il s’agit d’Émilie ou cucolie écarlate, en anglais on parle de Tassel flower, Cupid’s paintbrush ou red thistle.
Emilia coccinea peut atteindre 90 à 120 cm de haut et se trouve dans les régions d'Afrique suivantes : Sierra Leone, Liberia, Côte d’Ivoire, Ghana, Togo, Nigeria, Guinée équatoriale, Centrafrique, R.D. du Congo, Zambie, Angola, Cameroun, Zimbabwe, Mozambique et parfois en Guinée, au Soudan et en Ouganda.
Plante herbacée avec des tiges glabres et des feuilles alternes simples, ses fleurs sont bisexuées avec une corolle tubulaire de 7 à 10 mm de long, orange-jaune à orange. Les étamines forment un tube et le fruit est un akène de 2 mm de long courtement poilu avec un pappus de 6 mm de long. Il existe environ 100 espèces de cette plante indigène dans les tropiques de l’Ancien Monde.
Présente dans la forêt dense plutôt secondaire, les lisières de forêt et les plantations (ex. bananiers, palmiers à huile) jusqu'à 1 700 m d’altitude, Emilia coccinea reste une adventice des bords de routes, terrains vagues et friches. Dans l’est de l’Afrique il est présent dans les régions sèches jusqu'à 2 000 m d’altitude.
En tant que plante ornementale, il peut être multiplié par boutures mais est généralement reproduit par graines. Il est récolté pendant la saison des pluies pour l’autoconsommation et est présent sur les marchés locaux (Tanzanie). Cette plante se cultive facilement puisqu'il existe des cultivars à des fins ornementales tels que le Scarlet Magic.
Cette plante peut être utilisée en légume dont les feuilles sont généralement consommées hachées, crues ou cuites avec des légumes secs comme les pois et haricots (Tanzanie).
Le jus de feuilles frais est antimicrobien, antioxydant et anti-inflammatoire. Il peut être utilisé pour traiter toutes sortes de troubles de la peau tels que l’abcès du sein, les ulcères dus au pian, les affections lépreuses, la gale, les poux et la teigne (Congo).
On peut récupérer le jus de la plante écrasée afin de soigner les inflammations oculaires : il suffit de verser la préparation sur une compresse froide et l’appliquer localement. Il est possible de faire une infusion des feuilles d'Emilia coccinea avec des feuilles d’Ipomoea eriocarpa R.Br et de l’utiliser comme collyre. Les feuilles permettent aussi de traiter la filariose et la jaunisse, de plus broyer celles qui sont vertes permet de soigner les blessures, plaies et la sinusite. On peut également faire de la poudre avec des feuilles séchées pour l’appliquer sur les plaies. On traite la syphilis avec une décoction de feuilles bouillies ou racines, ces dernières permettant aussi de soigner les coliques chez les bébés (Tanzanie) et faisant office de médicament pour la poitrine (Kenya).
Emilia Coccinea, est une espèce de plantes de la famille des Asteraceae. À l'état sauvage, elle se rencontre en République démocratique du Congo, en Angola et en Zambie.
Ses propriétés sont souvent confondues avec celles d'Emilia lisowskiana et Emilia praetermissa Milne-Redh. De même, les aires de répartition d’Emilia lisowskiana et Emilia coccinea se superposent (République démocratique du Congo, Angola et Zambie) avec des différences néanmoins d’un point de vue écologique.
Emilia reste proche de Senecio et, d’un point de vue végétatif, ressemble à des espèces de Sonchus mais s’en distingue grâce à ses tiges pleines et à l’absence de latex.
Lors d'une utilisation ornementale, Emilia coccinea est souvent confondue avec l'Emilia flammea et Emilia javanica.
Son nom vernaculaire en swahili est Kilembe cha mbwana, ulimi wa ngombe, en français il s’agit d’Émilie ou cucolie écarlate, en anglais on parle de Tassel flower, Cupid’s paintbrush ou red thistle.
Emilia fosbergii là một loài thực vật có hoa trong họ Cúc. Loài này được Nicolson mô tả khoa học đầu tiên năm 1975.[1]
Emilia fosbergii là một loài thực vật có hoa trong họ Cúc. Loài này được Nicolson mô tả khoa học đầu tiên năm 1975.