dcsimg

Saprolegniaceae

provided by wikipedia EN

Saprolegniaceae is a family of freshwater mould. James Ellis Humphrey (1861-1897), an American Mycologist did significant work on this family.

Taxonomy

Saprolegniaceae contains the following genera, species, and subspecies.[1]

References

  1. ^ "Saprolegniaceae" (HTML). NCBI taxonomy. Bethesda, MD: National Center for Biotechnology Information. Retrieved 1 April 2018.
  2. ^ "Sommerstorffia spinosa Arnaudov, - GSD Species". www.speciesfungorum.org. Species Fungorum. Retrieved 31 October 2022.
license
cc-by-sa-3.0
copyright
Wikipedia authors and editors
original
visit source
partner site
wikipedia EN

Saprolegniaceae: Brief Summary

provided by wikipedia EN

Saprolegniaceae is a family of freshwater mould. James Ellis Humphrey (1861-1897), an American Mycologist did significant work on this family.

license
cc-by-sa-3.0
copyright
Wikipedia authors and editors
original
visit source
partner site
wikipedia EN

Saprolegniaceae ( French )

provided by wikipedia FR

Les micro-organismes faisant partie de la famille des Saprolegniaceae sont des moisissures notamment connus pour être de forts pathogènes pour les plantes, les poissons ainsi que les crustacés.

La famille des Saprolegniaceae est la plus grande famille de l’ordre des Saprolegniales possédant lui-même près de 19 genres d’organismes et plus de 150 espèces différentes.

L’ordre des Saprolegniales est composé d’individus ressemblant aux champignons (moisissures), faisant partie de la classe des Oomycètes, cependant de nombreuses études ont démontré qu’ils étaient en fait très éloignés des champignons.

Ces micro-organismes sont notamment présent majoritairement dans les milieux aquatiques, sur des déchets organiques (plantes) mais également sur les cadavres de petits animaux. La plupart des espèces des Saprolegnia sont des organismes définis comme saprophytes (capable de se nourrir de matières organiques morte ou en décomposition, la sapromasse), cependant, certaines espèces sont pathogènes mais également parasitaires et elles peuvent provoquer diverses maladies comme les mycoses chez l’Homme, ou encore des maladies sur des animaux, comme des tâches blanchâtres sur les branchies des poissons ou le pourrissement des œufs chez ces mêmes individus et des crustacées.

Ces individus sont des micro-organismes opportunistes qui profitent d’une rupture de la barrière épidermique d’un individu pour s’y développer.

Hyphe

L'une des principales caractéristiques des champignons est la production de longues cellules tubulaires, les hyphes, qui se prolongent par un processus de croissance apicale. Les mécanismes cellulaires responsables de la croissance apicale semblent être les mêmes à travers les champignons malgré leur origine évolutive différente.

Dans la croissance apicale, il y a un fort gradient de cellule, la croissance maximale se produit au pôle apical et diminue rapidement vers la région subapicale. La formation de la paroi cellulaire est un processus basé sur des vésicules contenant des enzymes et des précurseurs nécessaires à la formation de la paroi cellulaire, qui sont ainsi sécrétés dans les zones de croissance. La croissance apicale implique une transformation de la surface de la paroi cellulaire, fortement incurvée de la pointe des hyphes.

Reproduction

À la suite d’observations microscopiques, les moisissures d'eau apparaissent comme des filaments siphonaux mais leur identification exacte nécessite la préparation de cultures pures. La plupart des genres peuvent être distingués par leur appareil de multiplication asexuée et le mode de libération des zoospores ; la différenciation des espèces est beaucoup plus difficile à réaliser car elle nécessite la description précise des organes sexuels, y compris la présence ou l'absence de spermatocyste (gamétocyste mâle), l'origine des branches des spermatocystes, l'ornementation des oogones, la taille des oospores et la position des gouttelettes lipidiques dans les oospores.

Liste des genres

Selon ITIS (6 mars 2021)[2] :

Selon MycoBank (6 mars 2021)[3] :

Notes et références

  1. Index Fungorum, consulté le 6 mars 2021
  2. Integrated Taxonomic Information System (ITIS), www.itis.gov, CC0 https://doi.org/10.5066/F7KH0KBK, consulté le 6 mars 2021
  3. V. Robert, G. Stegehuis and J. Stalpers. 2005. The MycoBank engine and related databases. https://www.mycobank.org/, consulté le 6 mars 2021
  4. (en) M.C. Leclerc, J. Guillot et M. Deville, « Taxonomic and phylogenetic analysis of Saprolegniaceae (Oomycetes) inferred from LSU rDNA and ITS sequence comparisons », Antonie van Leeuwenhoek, vol. 77, no 4,‎ mai 2000, p. 369-377 (PMID , DOI , lire en ligne)
  5. (en) Teresa Vega-Ramírez et al., « New records of Saprolegniaceae isolated from rainbow trout, from their eggs, and water in a fish farm from the State of México », Revista Mexicana de Biodiversidad, vol. 84, no 2,‎ juin 2013, p. 637-649 (DOI , lire en ligne)
  6. (en) Javier Diéguez-Uribeondo, Gerhard Gierz et Salomon Bartnicki-García, « Image analysis of hyphal morphogenesis in Saprolegniaceae (Oomycetes) », Fungal Genetics and Biology, vol. 41, no 3,‎ mars 2004, p. 293-307 (PMID , DOI , lire en ligne)
  7. (en) Even Thoen, Øystein Evensen et Ida Skaar, « Microwell enumeration of viable Saprolegniaceae in water samples », Mycologia, vol. 102, no 2,‎ mars-avril 2010, p. 478-485 (DOI , lire en ligne)
  8. (en) John Daugherty, Timothy M. Evans, Tally Skillom, Linda E. Watson et Nicholas P. Moneya, « Evolution of Spore Release Mechanisms in the Saprolegniaceae (Oomycetes): Evidence from a Phylogenetic Analysis of Internal Transcribed Spacer Sequences », Fungal Genetics and Biology, vol. 24, no 3,‎ août 1998, p. 354-363 (PMID , DOI , lire en ligne)

Références biologiques

license
cc-by-sa-3.0
copyright
Auteurs et éditeurs de Wikipedia
original
visit source
partner site
wikipedia FR

Saprolegniaceae: Brief Summary ( French )

provided by wikipedia FR

Les micro-organismes faisant partie de la famille des Saprolegniaceae sont des moisissures notamment connus pour être de forts pathogènes pour les plantes, les poissons ainsi que les crustacés.

La famille des Saprolegniaceae est la plus grande famille de l’ordre des Saprolegniales possédant lui-même près de 19 genres d’organismes et plus de 150 espèces différentes.

L’ordre des Saprolegniales est composé d’individus ressemblant aux champignons (moisissures), faisant partie de la classe des Oomycètes, cependant de nombreuses études ont démontré qu’ils étaient en fait très éloignés des champignons.

Ces micro-organismes sont notamment présent majoritairement dans les milieux aquatiques, sur des déchets organiques (plantes) mais également sur les cadavres de petits animaux. La plupart des espèces des Saprolegnia sont des organismes définis comme saprophytes (capable de se nourrir de matières organiques morte ou en décomposition, la sapromasse), cependant, certaines espèces sont pathogènes mais également parasitaires et elles peuvent provoquer diverses maladies comme les mycoses chez l’Homme, ou encore des maladies sur des animaux, comme des tâches blanchâtres sur les branchies des poissons ou le pourrissement des œufs chez ces mêmes individus et des crustacées.

Ces individus sont des micro-organismes opportunistes qui profitent d’une rupture de la barrière épidermique d’un individu pour s’y développer.

license
cc-by-sa-3.0
copyright
Auteurs et éditeurs de Wikipedia
original
visit source
partner site
wikipedia FR

Saprolegniaceae ( Italian )

provided by wikipedia IT

La famiglia delle muffe d'acqua (Saprolegniaceae Kütz. ex Warm., 1884[1]) comprende oomiceti saprofiti che vivono principalmente su resti organici in acque dolci o salmastre, ma in alcuni casi sono parassiti di pesci.

Descrizione

Le muffe d'acqua hanno un micelio sifonale, formato cioè da ife non settate plurinucleate di forma tubulare.

Riproduzione

La riproduzione vegetativa avviene attraverso mitospore che si formano in sporocisti: la parte terminale di un'ifa si separa attraverso un setto dal resto, e si divide in numerose spore uninucleate e flagellate che vengono poi liberate nell'acqua.

La riproduzione sessuata avviene per gametocistogamia. Attraverso setti si separano dal resto dell'ifa oogoni, cioè gametocisti femminili nelle quali si differenziano numerose cellule uovo, e spermatogoni, cioè gametocisti maschili nelle quali i nuclei non vengono separati in cellule diverse. Al momento della gamia lo spermatogonio forma un tubetto di copulazione che si fonde con l'oogonio e vi inserisce i nuclei maschili, ognuno dei quali si fonde con un gamete femminile. Si forma così un cenozigote o cistozigote, cioè un insieme di zigoti, che dopo un periodo di quiescenza germinano.

Note

  1. ^ (EN) MolluscaBase eds. 2020, Saprolegniaceae Kütz. ex Warm., 1884, in WoRMS (World Register of Marine Species). URL consultato il 22 novembre 2021.

 title=
license
cc-by-sa-3.0
copyright
Autori e redattori di Wikipedia
original
visit source
partner site
wikipedia IT

Saprolegniaceae: Brief Summary ( Italian )

provided by wikipedia IT

La famiglia delle muffe d'acqua (Saprolegniaceae Kütz. ex Warm., 1884) comprende oomiceti saprofiti che vivono principalmente su resti organici in acque dolci o salmastre, ma in alcuni casi sono parassiti di pesci.

license
cc-by-sa-3.0
copyright
Autori e redattori di Wikipedia
original
visit source
partner site
wikipedia IT