Die Flussmuschelähnlichen (Unionoidea) sind eine Überfamilie der Ordnung Unionida innerhalb der Muscheln. Die Ordnung Unonoida gehört zur Überordnung Paleoheterodonta. Die ersten, allerdings noch fraglichen Vertreter der Überfamilie kennt man aus dem Perm, sichere Vertreter ab der Trias. Die Unionoidea sind wahrscheinlich die Schwestergruppe der Etherioidea innerhalb der Ordnung Unionida.
Die Überfamilie Unionoidea haben in der Regel gleichklappige Gehäuse. Die Schale besteht aus zwei inneren Lagen mit Perlmutt, einer dünneren prismatischen Schicht und einer dicken Lage des organischen Periostrakums. Das Schloss ist meist heterodont, seltener auch ohne Zähne. Das Ligament liegt meist extern. Die Schließmuskeln sind mehr oder weniger deutlich isomyar, die Mantellinie ist integripalliat. Eine Besonderheit dieser Gruppe ist die "Brutpflege", d. h. die Eier werden in der Mantelhöhle des Muttertiers befruchtet und reifen zu einer besonderen Larvenform heran, den Glochidien. Diese werden ins freie Wasser abgegeben und entwickeln sich erst nach einer parasitischen Phase in den Kiemen von Grundfischen.
Die Vertreter der Unionoidea können, wenn Fremdkörper in den Mantelraum eindringen, diese abkapseln und Perlen bilden. Daher rührt in der Vergangenheit eine gewisse wirtschaftliche Bedeutung in manchen Regionen. Flussperlmuscheln können teilweise sehr alt werden (bis über 100 Jahre).
Die Klassifikation der Ordnung Unionoidea ist wie auch die der Ordnung Unionida noch nicht einheitlich. Dies ist dadurch bedingt, dass einige Malakologen lediglich eine Unterteilung der heutigen Formen in eine Überfamilie, andere in zwei Überfamilien befürworten.
Überfamilie Unionoidea Rafinesque, 1820
Dazu kommen noch drei ausschließlich fossile Familien, deren Zuordnung zu den Unionoidea aber mit großen Unsicherheiten behaftet ist:
Große Flussmuschel Unio tumidus
Malermuschel Unio pictorum; Bestimmungsmerkmale (parallele Ober- und Unterseite, Nebenzähne)
Die Flussmuschelähnlichen (Unionoidea) sind eine Überfamilie der Ordnung Unionida innerhalb der Muscheln. Die Ordnung Unonoida gehört zur Überordnung Paleoheterodonta. Die ersten, allerdings noch fraglichen Vertreter der Überfamilie kennt man aus dem Perm, sichere Vertreter ab der Trias. Die Unionoidea sind wahrscheinlich die Schwestergruppe der Etherioidea innerhalb der Ordnung Unionida.
Unionoidea est une super-famille de mollusques bivalves de l'ordre des Unionoida.
Les membres de la super-famille Unionoidea ont une coquille équivalve. Celle-ci se compose de deux couches intérieures de nacre, une couche prismatique plus fine et une épaisse couche de périostracum organique. Elle est surtout hétérodonte, rarement sans dents. Le ligament est généralement externe. Les muscles du sphincter sont plus ou moins clairement isomyaires, la ligne du manteau est integripalliée. Les bivalves se nourrissent par filtration[1]. Une caractéristique particulière de ce groupe est la « garde parentale », c'est-à-dire que les œufs restent dans les branchies du manteau de la mère ou des parents hermaphrodites[2] et les larves se développent en une forme particulière, les glochidies. Celles-ci sont libérées dans l'eau libre, et ne se développent qu'après une phase parasitaire dans les branchies ou sur les nageoires[2] des poissons démersaux. Leur taille varie, selon les espèces, entre 50 et 450 µm[1].
Les représentants des Unionoidea peuvent isoler des corps étrangers dans l'espace de la coquille les encapsuler sous forme de perles. Par conséquent, dans le passé, ils ont eu une certaine importance économique dans de nombreuses régions. Les moules perlières d'eau douce peuvent parfois vivre très longtemps (plus de 100 ans).
Les Unionoidea sont probablement le groupe sœur des Etherioidea au sein de l'ordre Unionoida, qui fait partie du super-ordre Paleoheterodonta. La taxonomie de la super-famille Unionoidea, comme celle de l'ordre Unionoida, n'est pas encore unifiée. Certains malacologistes préconisent le regroupement des formes actuelles de l'ordre en une seule super-famille, alors que d'autres proposent une division en deux super-familles.
La super-famille Unionoidea Rafinesque, 1820 est monophylétique[1] et comporte quatre familles actuelles et trois éteintes :
Trois familles exclusivement fossiles sont rattachées aux Unionoidea, mais avec de grandes incertitudes :
Les Unionoidea sont parmi les invertébrés les plus menacés de la planète. Leur déclin résulte de la pression anthropique croissante, avec perte ou dégradation[4] des habitats d'eau douce, notamment par les barrages, la régulation des rivières, la sédimentation, la pollution des eaux et les dragages[4]. Sur les 355 espèces des États-Unis, 35 ont disparu au cours du XXe siècle, 70 sont en danger[4], cinq menacées et une centaine vulnérables. Avec 213 espèces menacées (72 %, les Unionoidea constituent le groupe animal le plus en péril des États-Unis. Le rythme des extinctions est aussi élevé que celui de la faune des forêts humides équatoriales[4]. C'est pour la famille des Margaritiferidae que la situation est la plus préoccupante[5].
Sur les 102 espèces identifiées dans le bassin de la rivière Tennessee, 12 sont éteintes, 26 sont classées comme menacées par la Loi sur les espèces menacées, 20 ont quitté le bassin et seule une trentaine a des populations stables[4].
Toutes les espèces d'Unionoidea sont strictement protégées[6]. En 1998, aux États-Unis, un Comité national pour la protection des moules autochtones prépare une Stratégie nationale pour la protection des moules d'eau douce autochtones, destinée à coordonner, au niveau fédéral, les efforts de conservation[4]. Des campagnes de propagation ont été mises sur pied pour favoriser la renaissance des populations. En 1998, des règles de gestion inter-États sont édictés pour le bassin du Mississippi, afin de protéger les moules de la surexploitation[7].
Les premiers représentants de la super-famille Unionoidea remontent peut-être au Permien. Leur existence est assurée à partir du Trias.
Vers 1800, les Unionoidea commencent à être utilisées, aux États-Unis, pour fabriquer des boutons en nacre. L'essor de cette industrie se produit en 1891, avec l'installation, dans l'Illinois, de la manufacture de John Boepple. l'exploitation s'étend alors du Mississippi vers ses tributaires, comme l'Ohio. Une « ruée vers la coquille » a lieu à la fin des années 1890. Les bancs de moules commencent à s'épuiser, entraînant une hausse de prix qui stimule la surexploitation[7].
Dans le bassin versant du Mississippi, les moules d'eau douce sont récoltées pour être expédiées en Extrême-Orient, où elles fournissent les semences employées dans la culture des perles. Les exportations atteignent leur apogée en 1995. Les exploitations sont commerciales sont, dans leur majorité, infestées par une espèce invasive, la moule zèbre (Dreissena polymorpha)[7].
Unionoidea est une super-famille de mollusques bivalves de l'ordre des Unionoida.
Unionoidea er en overfamilie av større ferskvannsmuslinger (Unionoida) som inkluderer fire familier, hvorav to er utdødd. Gruppen teller ferre enn 700 arter, og omfatter blant annet elvemusling og dammuslingene andemusling, dammusling og svanemusling som finnes i Norge.
Inndelingen under følger WoRMS og er i henhold til Bieler & Gofas (2016).[1] Norske navn følger i hovedsak Artsdatabanken, men navn i parentes er kun uoffisielle beskrivelser.
Unionoidea er en overfamilie av større ferskvannsmuslinger (Unionoida) som inkluderer fire familier, hvorav to er utdødd. Gruppen teller ferre enn 700 arter, og omfatter blant annet elvemusling og dammuslingene andemusling, dammusling og svanemusling som finnes i Norge.