Convolvulus floridus (lat. Convolvulus floridus) - sarmaşıqkimilər fəsiləsinin sarmaşıq cinsinə aid bitki növü.
Convolvulus floridus (lat. Convolvulus floridus) - sarmaşıqkimilər fəsiləsinin sarmaşıq cinsinə aid bitki növü.
Die Blütenreiche Winde (Convolvulus floridus) ist eine Pflanzenart aus der Familie der Windengewächse (Convolvulaceae).
Die Blütenreiche Winde ist ein hoher Strauch, der Wuchshöhen von 2 bis 4 Meter erreicht. Die Äste sind aufrecht und überhängend. Die Blätter sind sitzend, lang verschmälert lineallanzettlich, weidenartig, dicht mit fein anliegenden, kurzen Haaren bedeckt und oft am Rand leicht gewellt. Die großen, endständigen Blütenstände bestehen aus bis zu 50 Blüten. Die Blüten sind ungefähr 15 Millimeter lang und weiß oder rosa.
Die Blütezeit reicht von Februar bis Juni.
Die Blütenreiche Winde kommt auf den Kanarischen Inseln in Sukkulentengebüschen vor.
Die Blütenreiche Winde (Convolvulus floridus) ist eine Pflanzenart aus der Familie der Windengewächse (Convolvulaceae).
Convolvulus floridus L.f., conocido como guaidil, es una especie de arbusto perteneciente a la familia Convolvulaceae originaria de la Macaronesia.[1][2]
Son especies endémicas arbustivas erectas. Se diferencia por sus hojas, que son oblongas y por sus inflorescencias paniculadas y terminales con numerosas flores de color blanco.[3]
La floración se extiende desde finales de invierno hasta principios de verano.[4]
Se consideran cuatro variedades atendiendo a la morfología de las hojas:[3]
Es una especie endémica de las islas Canarias ―España―, estando presente en todo el archipiélago aunque es raro en las islas de Lanzarote y Fuerteventura.[1]
Crece sobre riscos basálticos y en laderas semiáridas, entre los 200 y los 600 metros sobre el nivel del mar, formando parte de los matorrales del tabaibal-cardonal y de los bosques termófilos.[5]
Convolvulus floridus fue descrita por Carlos Linneo el Joven y publicada en Supplementum Plantarum en 1782.[6]
Convolvulus: nombre genérico que procede del latín convolvere, que significa 'enredar'.[7]
floridus: epíteto latino que significa 'florido', aludiendo a la abundante floración de esta especie.[7]
El taxón presenta los siguientes sinónimos:[2]
Posee valor como planta ornamental, siendo ampliamente utilizada en parques y jardines.[8][9]
Para su cultivo debe tener exposición de pleno sol y clima cálido, resistiendo heladas ocasionales hasta -1 ºC, creciendo en cualquier tipo de suelo bien drenado. El riego debe ser moderado, resistiendo bien la sequía.[10]
El nombre común más extendido para esta especie es guaidil o guaydil.[11] Localmente también se la conoce como anuel en La Palma o como chagil y aguaidil en zonas de Tenerife.[12][13]
Aunque el botánico Miguel Colmeiro y Penido recogió la denominación de palo de rosa en su Diccionario de los diversos nombres vulgares de muchas plantas usuales ó notables del antiguo y nuevo mundo para esta especie, este nombre hace referencia en realidad al Convolvulus scoparius.[14][15]
|isbn=
incorrecto (ayuda). Convolvulus floridus L.f., conocido como guaidil, es una especie de arbusto perteneciente a la familia Convolvulaceae originaria de la Macaronesia.
Convolvulus floridus est une espèce de plantes de la famille des Convolvulaceae, endémique des îles Canaries.
Convolvulus floridus a été décrit en 1782 par Carl von Linné le Jeune[3].
C’est un arbuste ramifié atteignant jusqu’à 4 mètres de hauteur, les parties végétatives sont rapidement épaissies, pubescentes, quelque peu glabres sur les parties plus anciennes. Les feuilles sont sessiles, mesurant 2 à 14 × 0,5 à 2,6 cm, étroitement à largement oblongues, vert foncé, aiguë à obtuse, entières, avec une base atténuée. Les branches florifères à l’aisselle des feuilles supérieures forment une inflorescence terminale, en forme de panicule, de cymes ramifiées avec des branches primaires atteignant 7 cm de long, les axes étant densément pubescents. Les bractéoles mesurent 1 × 0,5 mm, et sont en forme d'écailles, caduques. Les pédicelles mesurent 2 à 15 mm. Les sépales externes mesurent 4 × 2 mm, et sont largement lancéolés, apiculés, à marge ciliolée ; tandis que les sépales internes mesurent 4 × 4 mm, et sont mucronés, elliptiques ou suborbiculaires, membraneux. La corolle mesure de 1,1 à 1,5 cm de long, elle est blanche, non lobée, avec des bandes médiopétalaires pileuses. Les anthères sont exsertes. L’ovaire est pileux. Le style est pileux, divisé à environ 3 mm au-dessus de la base. Les stigmates mesurent environ 3 mm. La capsule est aiguë, pileuse, et contient une seule graine. Les graines sont minutieusement hirsutes[4].
Convolvulus floridus au Jardín Botánico Canario Viera y Clavijo.
Les inflorescences sont très nombreuses.
Détail d’une inflorescence.
Convolvulus floridus a pour synonymes[5] :
Convolvulus floridus var. virgatus (Webb & Berthel.) Mend.-Heuer, Cuad. Bot. Canaria 12: 24 (1971) est un synonyme de l’hybride Convolvulus ×despreauxii[5].
Convolvulus floridus se trouve dans les broussailles côtières et les forêts thermophiles, participant aux communautés de transition entre ces écosystèmes. On le trouve également sur les falaises et les pentes ensoleillées, avec les communautés à Euphorbia spp.[6].
L’espèce est endémique des îles Canaries[7], où on la trouve sur toutes les îles, mais elle est cependant rare sur les îles de Lanzarote et El Hierro[6].
La zone d'occurrence (EOO, extend of occurrence) des populations sauvages a été estimée à environ 47 318 km2 et la zone d'occupation (AOO, area of occupancy) à 837 km2. Sa présence a été signalée de 50 à 900 m d'altitude[6].
Elle est classée en « espèce de préoccupation mineure » par l’Union internationale pour la conservation de la nature[6].
Les populations sont présentes sur toutes les îles Canaries, mais les populations d’El Hierro, de Lanzarote et de Fuerteventura sont restreintes. À Fuerteventura, la taille de la population a été estimée en 2006 à 50 individus poussant sur des pentes abruptes, et elle serait légèrement inférieure en 2017[6].
Bien qu’il n’y ait pas d’informations détaillées sur les populations des autres îles, la taille de ces populations serait stable, après certaines tendances à la hausse ces derniers temps en raison de l’abandon d’activités anciennes liées à l’élevage[6].
La plus grande menace à laquelle sont confrontées les populations de cette espèce est la conversion des forêts thermophylles en terres cultivées, ce qui a entraîné la perte de superficie et de biodiversité de cet écosystème, qui ne couvre plus que 17,3% de sa superficie potentielle. En raison de l’huile aromatique qui peut être obtenue à partir de ses branches et de ses racines, cette espèce a été fortement exploitée au XIXe siècle pour le commerce international, ce qui a entraîné le déclin rapide de ses populations sauvages[6].
La surpopulation caprine (Capra hircus) et le pâturage ont été identifiés comme des menaces pour les populations de Lanzarote. À Fuerteventura, le pâturage a conduit à restreindre la distribution de l'espèce dans des endroits non accessibles. Dans les autres îles, parce que la taille de la population est plus grande et la présence d'espèces agréables au goût est plus large, la pression de pâturage n'est actuellement pas aussi importante que dans les îles orientales de l’archipel[6].
Cette espèce est souvent plantée dans les jardins des îles Canaries. Une huile parfumée connue sous le nom d’huile de rhodium ou de bois de rose (en) peut être obtenue à partir de ses branches et de ses racines. L’espèce a été utilisée comme composante de programmes de restauration de l’environnement[6].
Convolvulus floridus peut s’hybrider avec Convolvulus scoparius, une autre espèce endémique des îles Canaries, pour donner l’hybride Convolvulus ×despreauxii[8].
Convolvulus floridus est une espèce de plantes de la famille des Convolvulaceae, endémique des îles Canaries.