Papilio phorbanta ist ein Schmetterling aus Familie der Papilionidae. Er kommt endemisch auf der Insel Réunion vor und war wahrscheinlich auch auf den Seychellen heimisch, wobei er dort seit ca. 1890 als ausgestorben gilt.[2] In der englischen und französischen Sprache ist der Trivialname Papillon La Pature gebräuchlich.
Der Schmetterling erreicht eine Flügelspannweite von 40 bis 55 mm. Die Flügel des Männchens sind schwarz mit großen blauen Flecken. Das Weibchen hingegen hat braune Flügel mit weißen Punkten an den Rändern.
Papilio phorbanta lebt in den Wäldern Réunions. Die Raupen ernähren sich von Rautengewächsen (Rutaceae), zu denen auch die Zitruspflanzen zählen. Die Falter fliegen bevorzugt in einer Höhe von 300 bis 1200 Metern, sie wurden aber zuweilen auch zwischen 0 und 1400 Metern gefunden. Die vier Zentimeter lange grüne bis gelb-grüne Raupe findet man meist auf Zitrusbäumen, an die sie sich offensichtlich angepasst haben. Die Larve ist ca. 3 cm lang.[3][4]
Die Eier werden oft von Trichogrammatidae oder Sceleonidae parasitiert, die Larven von Carcelia evoluans.
Papilio phorbanta steht auf der roten Liste der bedrohten Tierarten (VU – Vulnerable) und ist seit 1979 von der französischen Regierung gesetzlich geschützt, darf somit nicht gefangen, verkauft oder transportiert werden.[5]
Papilio phorbanta ist ein Schmetterling aus Familie der Papilionidae. Er kommt endemisch auf der Insel Réunion vor und war wahrscheinlich auch auf den Seychellen heimisch, wobei er dort seit ca. 1890 als ausgestorben gilt. In der englischen und französischen Sprache ist der Trivialname Papillon La Pature gebräuchlich.
Der Schmetterling erreicht eine Flügelspannweite von 40 bis 55 mm. Die Flügel des Männchens sind schwarz mit großen blauen Flecken. Das Weibchen hingegen hat braune Flügel mit weißen Punkten an den Rändern.
Papilio phorbanta lebt in den Wäldern Réunions. Die Raupen ernähren sich von Rautengewächsen (Rutaceae), zu denen auch die Zitruspflanzen zählen. Die Falter fliegen bevorzugt in einer Höhe von 300 bis 1200 Metern, sie wurden aber zuweilen auch zwischen 0 und 1400 Metern gefunden. Die vier Zentimeter lange grüne bis gelb-grüne Raupe findet man meist auf Zitrusbäumen, an die sie sich offensichtlich angepasst haben. Die Larve ist ca. 3 cm lang.
Die Eier werden oft von Trichogrammatidae oder Sceleonidae parasitiert, die Larven von Carcelia evoluans.
Papilio phorbanta steht auf der roten Liste der bedrohten Tierarten (VU – Vulnerable) und ist seit 1979 von der französischen Regierung gesetzlich geschützt, darf somit nicht gefangen, verkauft oder transportiert werden.
Papilio phorbanta, also known as the small Réunion swallowtail (or papillon la pâture in French), is a species of butterfly in the family Papilionidae. It is thought to be endemic to Réunion but may also be present on the Seychelles, but it might be extinct there.[3]
The inside of the male's wings is black with large blue spots, while the female is brown with white spots on the edge.
Larvae feed on Toddalia asiatica but are sometimes also found on Citrus leaves. They can be found at altitudes between 300 and 1200 m though adults also fly between sea level and 1400 m. Parasites: on eggs: Trichogrammatidae or Scelionidae, on larvae: Carcelia evoluans.[4]
Papilio phorbanta is protected by ministerial ordinance that prohibits capture, sale and transport since 1993.
Papilio phorbanta, also known as the small Réunion swallowtail (or papillon la pâture in French), is a species of butterfly in the family Papilionidae. It is thought to be endemic to Réunion but may also be present on the Seychelles, but it might be extinct there.
The inside of the male's wings is black with large blue spots, while the female is brown with white spots on the edge.
Larvae feed on Toddalia asiatica but are sometimes also found on Citrus leaves. They can be found at altitudes between 300 and 1200 m though adults also fly between sea level and 1400 m. Parasites: on eggs: Trichogrammatidae or Scelionidae, on larvae: Carcelia evoluans.
Papilio phorbanta is protected by ministerial ordinance that prohibits capture, sale and transport since 1993.
Papilio phorbanta
Le Papillon La Pâture (Papilio phorbanta) est une espèce de lépidoptères de la famille des Papilionidae. Il est aujourd'hui endémique de l'île de La Réunion, où il fait l'objet d'une protection légale, et a aussi été observé aux Seychelles au XIXe siècle.
L'imago du Papillon La Pâture est un grand papillon qui présente un fort dimorphisme sexuel. Le dessus du mâle est noir avec des taches bleu métallique, situées dans les aire médiane et apicale des ailes antérieures ainsi que dans une rangée submarginale et une large plage basale aux ailes postérieures. Le dessus de la femelle, plus discrète, est brun-noir avec une rangée de taches submarginales blanc crème, plus petites aux ailes antérieures qu"aux ailes postérieures. Chez les deux sexes, les ailes postérieures comportent une courte queue.
La chenille est de couleur bleu-noir à l'éclosion, puis devient verte avec de petites taches jaune vif. Elle est pourvue d'un osmaterium[1].
La plante hôte d'origine de la chenille est la Liane patte poule piquante (Toddalia asiatica), mais elle consomme aussi divers Citrus cultivés[1].
Un fort pourcentage des chenilles (jusqu'à 80 %) sont parasitées et meurent à la fin de la phase larvaire[1]. Les œufs sont parasités par des hyménoptères, et les chenilles par des mouches, dont Carcelia evolans[2].
Papilio phorbanta est endémique de l'île de La Réunion, dans l'océan indien. L'espèce a aussi été trouvée aux îles Seychelles vers 1880 (var. nana Oberthür, 1879), mais elle ne semble plus y avoir été observée depuis cette époque. Elle y avait peut-être été accidentellement introduite depuis La Réunion avec des plants de Rutacées[1].
À La Réunion, Papilio phorbanta réside dans la forêt primaire mais fréquente aussi les jardins[1]. Les chenilles peuvent être rencontrées de 300 m à 1 200 m sur Toddalia asiatica, et les adultes volent entre le niveau de la mer et une altitude de 1 400 m[3], voire parfois jusqu'à 2 000 m[1].
L'espèce Papilio phorbanta a été décrite par le naturaliste suédois Carl von Linné en 1771[4],[5].
La population éteinte des îles Seychelles a été décrite en 1879 en tant que var. nana Oberthür, 1879[6]. Elle est généralement traitée comme une sous-espèce distincte (Papilio phorbanta nana), auquel cas la population réunionnaise constitue la sous-espèce nominale (Papilio phorbanta phorbanta)[5].
Papilio phorbanta est classé dans la famille des Papilionidae et la sous-famille des Papilioninae.
Au sein du genre Papilio, il est le représentant réunionnais d'un groupe d'espèces insulaires proches, chacune endémique d'une île du Sud-Ouest de l'océan indien, et toutes issues de la même lignée que l'espèce africaine Papilio nireus. Ce groupe est représenté à l'île Maurice par l'espèce ressemblante Papilio manlius[1].
Le Papillon La Pâture s'est fortement raréfié, pour des raisons encore mal élucidées[7], auxquelles contribuent l'emploi abusif des insecticides sur les cultures de Citrus et dans les jardins ainsi que l'important taux de parasitisme des chenilles[1].
Il a été évalué en 1996 comme espèce vulnérable (VU B1 + 2ac) sur la liste rouge mondiale des espèces menacées[8], et il a le statut d'espèce en danger dans les premiers résultats publiés en 2010 de la liste rouge des espèces menacées à La Réunion[7].
L'espèce est protégée par la loi française, régionalement depuis 1989 et au niveau national depuis 1993[7]. Elle est inscrite à l'article 2 de l'arrêté du 19 novembre 2007 fixant la liste des insectes de la Réunion protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection[9]. Cette protection concerne aussi la Salamide d'Augustine (Salamis augustina) et la Vanesse de l'obetie (Antanartia borbonica).
Papilio phorbanta
Le Papillon La Pâture (Papilio phorbanta) est une espèce de lépidoptères de la famille des Papilionidae. Il est aujourd'hui endémique de l'île de La Réunion, où il fait l'objet d'une protection légale, et a aussi été observé aux Seychelles au XIXe siècle.
Papilio phorbanta is een vlinder uit de familie van de pages (Papilionidae).[1] De wetenschappelijke naam van de soort is voor het eerst geldig gepubliceerd in 1771 door Carl Linnaeus.
Bronnen, noten en/of referenties
Papilio (Druryia) phorbanta − gatunek motyla z rodziny paziowatych i podrodziny Papilioninae.
Gatunek ten opisany został w 1771 roku przez Karola Linneusza[2]. Jest blisko spokrewniony z P. manlius i P. epiphorbas[3][4]. Dawniej zaliczany był wraz z nimi do podrodzaju Princeps[5][3] do grupy gatunków P. nireus-group[3]. W klasyfikacji Bernarda Ronda z 2011 roku P. phorbanta wraz z P. epiphorbas, P. manlius i P. oribazus tworzy grupę gatunków P. oribazus-group, której wszyscy przedstawiciele są endemitami różnych części madagaskarskiego regionu zoogeograficznego. Grupa ta umieszczana jest w podrodzaju Druryia[5].
W 1833 roku Jean Baptiste Boisduval opisał gatunek Papilio disparilis, który został później zsynonimizowany z podgatunkiem nominatywnym P. phorbanta phorbanta[5][3].
Drugi podgatunek: P. phorbanta nana został opisany przez René Oberthüra w 1879 roku jako odmiana: Papilio disparilis var. nana[6].
Paź o rozpiętości skrzydeł około 9-10 cm. Samiec ma wierzch ciała czarny, a spód brązowy. Jego przednie skrzydła są z wierzchu czarne z niebieską przepaską i dwoma niebieskimi plamkami u wierzchołka, a od spodu brązowe. Jego tylne skrzydła mają krótkie ogonki i pofalowane krawędzie, są z wierzchu czarne z dużą niebieską plamą i łańcuszkiem małych, niebieskich kropek wzdłuż zewnętrznej krawędzi, a od spodu brązowe z łańcuszkiem małych, żółtych plamek. Skrzydła samic są brązowe z łańcuszkiem białych kropek wzdłuż zewnętrznej krawędzi wierzchu tylnych[7].
Naturalnym pokarmem gąsienic są liście Toddalia asiatica, ale znajdywane są także na liściach cytrusów (Citrus sp.). Żerowiska znajdują się na wysokości od 300 do 1200 m n.p.m., ale imagines latają między poziomem morza a 1400 m n.p.m. Do poznanych pasożytów jaj należą błonkoskrzydłe z rodziny Trichogrammatidae lub Sceleonidae, natomiast larwy atakowane są przez muchówkę Carcelia evoluans z rodziny rączycowatych[8].
Gatunek endemiczny dla Reunionu w archipelagu Maskarenów. Dwa skarłowaciałe osobniki umieszczane w taksonie P. phorbanta nana znalezione zostały rzekomo na Seszelach. Mogły to być osobniki wędrujące, zniesione tam z prądami powietrza lub zawleczone, które nie stworzyły tam populacji[9]. Uznawany też za prawdopodobnie wymarły na Seszelach. Został też błędnie wykazany z Madagaskaru[3].
Ze względu na silnie ograniczony zasięg i rzadkość występowania paź ten został umieszczony przez IUCN w Czerwonej księdze gatunków zagrożonych z kategorią gatunku narażonego na wyginięcie[1][9]. Objęty jest ochroną od 1979 roku[9].
Papilio (Druryia) phorbanta − gatunek motyla z rodziny paziowatych i podrodziny Papilioninae.
Papilio phorbanta là một loài bướm thuộc họ Bướm phượng (Papilionidae). Loài này được mô tả năm 1771 bởi Linnaeus. Chúng là loài đặc hữu của Réunion[3].
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