Acanthophoenix rubra, the barbel palm, is a critically endangered palm endemic to Mauritius, Rodrigues, and La Reunion that is prized for its edible palm hearts.
It is also known as the red- or yellow- Barbel palm, red palm, Mascarene Islands cabbage palm, and palmiste rouge, palmiste bourre, palmiste des bois, palmiste des hauts, palmiste épineux, palmiste zépines, palmiste piquant in French.[2]
This palm was first described as Areca rubra by French naturalist Jean Baptiste Bory de Saint-Vincent in 1804 and classified by German botanist Hermann Wendland in its own genus Acanthophoenix in 1867. It can reach a height of 25 m. The trunk is slender, with a diameter of 18 cm. The crown contents of about 10 leaves approximately 3 m in size which are arranged convoluted.
In his 1995 checklist of seed plants, Rafaël Govaerts considered A. crinita to be a synonym of Acanthophoenix rubra, as did Govaerts and John Dransfield in their 2005 checklist of palms. However, in his revision of the genus, N. Ludwig recognised A. crinita as a separate species.[3]
The Barbel palm is endangered due to habitat destruction to make way for sugarcane plantations, and its high value as edible and medicinal plant. The palm heart is a delicacy. About 150 individuals occur in the wild on Mauritius. It is widely grown in cultivation.
Acanthophoenix rubra, the barbel palm, is a critically endangered palm endemic to Mauritius, Rodrigues, and La Reunion that is prized for its edible palm hearts.
La "barbel palm" (Acanthophoenix rubra) es una especie en peligro crítico perteneciente a la familia de las arecáceas. Son muy apreciadas por su palmito comestible, corazón de palmito.[1]
Puede alcanzar hasta los 12 m de altura. El tronco es delgado, con 18 cm de diámetro. La corona tiene alrededor de 10 hojas de aproximadamente 3 metros.
En su lista de 1995 de plantas con semillas, Rafaël Herman Anna Govaerts considera A.crinita como un sinónimo de Acanthophoenix rubra , al igual que Govaerts y John Dransfield en su lista 2005. Sin embargo, en su revisión del género, N.Ludwig ha reconocido A. crinita como una especie separada.[2]
La palma Barbel está en peligro debido a la destrucción del hábitat para dar paso a las plantaciones de caña de azúcar, y por su alto valor como plantas comestibles y medicinales. El palmito es un manjar exquisito. Alrededor de 150 palmeras se producen en la naturaleza en Mauricio. Es ampliamente cultivada.
Esta palmera fue descrita como Areca rubra por el naturalista francés Jean Baptiste Bory de Saint-Vincent en 1804 y clasificada por el botánico alemán Hermann Wendland en su propio género Acanthophoenix en 1867. Fue publicado en Flore des Serres et des Jardins de Paris 2(6): 181. 1866.[3]
Acanthophoenix: nombre genérico que combina las palabras griegas Akanthos y phoenix para "espina" y "palmera".[4]
rubra: epíteto latino que significa "roja".[5]
La "barbel palm" (Acanthophoenix rubra) es una especie en peligro crítico perteneciente a la familia de las arecáceas. Son muy apreciadas por su palmito comestible, corazón de palmito.
Acanthophoenix rubra
Le palmiste rouge (Acanthophoenix rubra) est une espèce de palmiers, endémique des îles Mascareignes à grandes feuilles pennées et épineuses, dont le cœur du bourgeon terminal, ou chou palmiste, est très apprécié des gourmets pour son goût délicat. Il partage le genre Acanthophoenix avec seulement deux autres espèces endémiques de La Réunion : palmiste noir (A.crinita) et palmiste de Roussel (A.rousselii).
Ce palmier peut atteindre vingt-cinq mètres de hauteur. Le tronc unique est assez fin (jusqu'à 20 cm de diamètre) et parfois évasé à sa base, en pied d'éléphant.
Les feuilles sont grandes (longues de 2 à 3 m), et dans certaines localités elles présentent un port en drapeau caractéristique (les pennes sont retombantes de chaque côté de l'axe de la palme, le rachis). La base des feuilles au niveau de la gaine est garnie de grandes épines noires de 5 à 10 cm de longueur ; le limbe porte aussi des épines, plus petites et plus espacées. Les jeunes individus sont très épineux alors que les sujets développés le sont beaucoup moins. Ce sont aussi les jeunes plants qui manifestent au niveau de la base des rachis la coloration nettement rouge d'où la plante tire son nom vernaculaire. La gaine foliaire chez les individus adultes conserve une teinte gris-brun plus ou moins rougeâtre, mais ne suffisant pas toujours à marquer la différence avec d'autres espèces de palmiers.
Les grappes florales (en panicules) se forment dans un étui lui-même à l'abri derrière la gaine foliaire d'une palme ; les inflorescences ne sont ainsi libérées et ne s'épanouissent que lorsque la palme tombe. Les arbres sont monoïques et une inflorescence ne porte des fleurs que d'un même sexe. Les fleurs mâles sont odorantes et très attirantes pour les abeilles. Les fruits sont des petites dattes violacées pulpeuses de 1 à 2 cm de longueur consommées par les oiseaux, qui assurent la dispersion des graines.
C'est une espèce des forêts humides de La Réunion et de Maurice, à large amplitude écologique que l'on peut rencontrer de 100 à 1 500 m d'altitude. Elle a été récemment découverte à l'île Rodrigues. Elle était apparemment commune avant la colonisation humaine des Mascareignes, mais elle a presque entièrement disparu des paysages forestiers après avoir été exploitée à outrance pour son chou palmiste comestible. Elle ne subsiste plus que dans les zones escarpées et difficiles d'accès, ou parfois à l'état juvénile en sous-bois grâce à la dispersion des graines par les oiseaux. Le palmiste rouge est cependant aujourd'hui largement cultivé à La Réunion dans les jardins familiaux ou dans de petites exploitations agricoles, principalement sur les communes de Sainte-Rose et de Saint-Philippe.
Plusieurs localités de La Réunion doivent leur nom au palmiste rouge, notamment Palmiste rouge, un des villages de la commune de Cilaos ainsi que la commune de la Plaine-des-Palmistes.
En raison des différences d'habitat, entre le climat chaud des zones côtières et le climat frais des Hauts, en raison de variations morphologiques plus ou moins marquées, certains auteurs ont considéré qu'il existait plusieurs espèces et ont distingué un palmiste des Hauts en tant que Acanthophoenix crinita (Bory) H.Wendl., parfois appelé palmiste noir. Plus récemment, les associations locales de protection des plantes ont décrit ce qui pourrait constituer une troisième espèce, le palmiste de Roussel (Acanthophoenix rousselii N.Ludw.) , subsistant à quelques exemplaires au Tampon. Les instances botaniques n'ont longtemps accepté officiellement qu'une seule espèce : Acanthophoenix rubra. Mais de nouvelles recherches génétiques ont été entreprises qui tendent à prouver qu'il existe bien trois espèces différentes.
La récolte systématique dans la nature du chou de tous les palmistes rouges accessibles ayant provoqué la grande raréfaction de l'espèce (la coupe du bourgeon terminal unique entraîne la mort du palmier alors que celui-ci est âgé de plusieurs années à plusieurs dizaines d'années), les populations et les institutions s'intéressent alors à la mise en culture de l'espèce.
Les premières tentatives sont forestières, elles visent à imiter la nature : on replante de jeunes palmistes en sous-bois et on laisse le temps faire son œuvre. La technique est peu coûteuse mais peu productive, car à l'ombre le développement est ralenti.
Parallèlement, le service des Eaux et Forêts dans les années 1950 entreprend à l'entrée de la forêt de Bébour un véritable projet de plantation de production. Mais le choix de cette localisation n'est pas le plus pertinent. Avec l'altitude et la fraîcheur qui en découle, la croissance est lente et faute d'une surveillance constante, les vols à répétition ne permettent pas non plus de maintenir la plantation.
Pour contrer ce braconnage, le législateur français met bien en place des mesures spécifiques de contrôle de la culture et de l’exploitation des choux-palmistes (qui figurent notamment aujourd'hui à l'article L363-15[1] du Code forestier : « La coupe ou l'enlèvement de choux palmistes non autorisé par l’autorité administrative sont punis d’une amende de 3 750 euros sans préjudice de tous dommages-intérêts et de l’application des dispositions des articles L. 351-1 et L. 351-3. En outre, une peine d’emprisonnement de deux ans peut être prononcée ». L’Office national des forêts (ONF) est chargé de contrôler et d’autoriser les exploitations et de marquer d'un poinçon les choux légalement coupés qui sortent de ces exploitations. Mais ce dispositif ne suffit pas à permettre le retour du palmiste rouge dans son milieu naturel.
Le développement de la culture du palmiste rouge prend en fait exemple des plantations de cour, de ces quelques palmistes installés autour des maisons, capables de se développer rapidement en pleine lumière et de fournir pour les fêtes familiales la précieuse denrée comestible. Des plantations agricoles en plein prennent leur essor à la toute fin du XXe siècle dans le sud-est de l'île de La Réunion, en climat chaud de basse altitude, à des densités de l'ordre de 6 000 palmistes par hectare, récoltables au bout de 5 à 6 ans.
Le dispositif général de contrôle resté inopérant sur le maintien des palmistes sauvages s'avère alors de plus en plus lourd à gérer et inadapté à l'encadrement d'une filière devenue spécifiquement agricole. La création d'associations de producteurs capables de prendre en charge directement la certification des récoltes est encouragée, mais l'abandon du système de poinçonnage forestier est également envisagé au profit d'un contrôle direct renforcé des milieux naturels.
Dans la cuisine réunionnaise, le gratin de palmiste est un menu de luxe qui est très apprécié. Les gastronomes le mangent effilé en salade avec une légère vinaigrette pour ne pas masquer son goût très léger ou dans une préparation en gratin dans laquelle les choux palmistes, coupés en lamelles, sont cuits dans de l'eau salée (avec de la muscade), puis recouverts de sauce béchamel et de fromage qui lui donnent son côté gratiné.
Depuis 1993, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD) s'attache à développer une filière de palmistes, à partir d'un palmiste importé d’Amérique du Sud : le pejibaye[2].
Acanthophoenix rubra
Le palmiste rouge (Acanthophoenix rubra) est une espèce de palmiers, endémique des îles Mascareignes à grandes feuilles pennées et épineuses, dont le cœur du bourgeon terminal, ou chou palmiste, est très apprécié des gourmets pour son goût délicat. Il partage le genre Acanthophoenix avec seulement deux autres espèces endémiques de La Réunion : palmiste noir (A.crinita) et palmiste de Roussel (A.rousselii).
Acanthophoenix rubra (Bory) H.Wendl., 1866 è una pianta della famiglia delle Arecacee, endemica delle isole Mascarene.[2]
La IUCN Red List classifica Acanthophoenix rubra come specie in pericolo critico di estinzione (Critically Endangered).[1]
Acanthophoenix rubra (Bory) H.Wendl., 1866 è una pianta della famiglia delle Arecacee, endemica delle isole Mascarene.
Acanthophoenix rubra – gatunek roślin z rodziny arekowatych, pochodzący z wysp Maskarenów na Oceanie Indyjskim. Uprawiany jest jako roślina ozdobna oraz dla jadalnego serca palmowego. W naturze jest gatunkiem bardzo rzadkim[2].
Palmy osiągają 12 m wysokości. Zakończone są pióropuszem liści, które mogą osiągać do 3 metrów długości.
Acanthophoenix rubra – gatunek roślin z rodziny arekowatych, pochodzący z wysp Maskarenów na Oceanie Indyjskim. Uprawiany jest jako roślina ozdobna oraz dla jadalnego serca palmowego. W naturze jest gatunkiem bardzo rzadkim.
Acanthophoenix rubra é uma palmeira endêmica nas Ilhas Maurício, porém em perigo crítico, pois dela pode ser apreciado o palmito. É conhecida também como palma de Barbel.[2]
Acanthophoenix rubra é uma palmeira endêmica nas Ilhas Maurício, porém em perigo crítico, pois dela pode ser apreciado o palmito. É conhecida também como palma de Barbel.
Acanthophoenix rubra[2] är en enhjärtbladig växtart som först beskrevs av Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent, och fick sitt nu gällande namn av Hermann Wendland. Acanthophoenix rubra ingår i släktet Acanthophoenix och familjen Arecaceae.[3][4] IUCN kategoriserar arten globalt som akut hotad.[1] Inga underarter finns listade i Catalogue of Life.[3]
Acanthophoenix rubra är en enhjärtbladig växtart som först beskrevs av Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent, och fick sitt nu gällande namn av Hermann Wendland. Acanthophoenix rubra ingår i släktet Acanthophoenix och familjen Arecaceae. IUCN kategoriserar arten globalt som akut hotad. Inga underarter finns listade i Catalogue of Life.
Acanthophoenix rubra là loài thực vật có hoa thuộc họ Arecaceae. Loài này được (Bory) H.Wendl. mô tả khoa học đầu tiên năm 1866.[2]
Acanthophoenix rubra là loài thực vật có hoa thuộc họ Arecaceae. Loài này được (Bory) H.Wendl. mô tả khoa học đầu tiên năm 1866.
Acanthophoenix rubra (Bory) H.Wendl. (1866)
СинонимыАкантофеникс красный (лат. Acanthophoenix rubra) — пальма, вид рода Акантофеникс (Acanthophoenix) трибы Areceae.
Впервые описана Жаном-Батистом Бори как Areca rubra в 1804 году. В 1867 году переведена в род Acanthophoenix.
Пальмы высотой до 24 м. Ствол тонкий, около 18 см в диаметре. В кроне бывает около десяти листьев. Листья перистые, до 3,5 м длиной, доли от 5 до 20 см длиной. Цветки желтоватые.
Широко культивируется. Ценится за съедобную сердцевину и как лекарственное растение.
Эндемик островов Маврикий, Реюньон и Родригес.
На Маврикии произрастают около 150 экземпляров этого растения. Количество растений уменьшается из-за вспашки земли под плантации сахарного тростника.
Акантофеникс красный (лат. Acanthophoenix rubra) — пальма, вид рода Акантофеникс (Acanthophoenix) трибы Areceae.