Luciola is a genus of "flashing" fireflies[1] (family Lampyridae), especially well known from Japan. They are often called "Japanese fireflies", but their members range farther into Asia and reach southern Europe (Italy, France, Spain, Portugal, among other countries) and Africa. This genus is traditionally held to extend to Australia, but these species do not seem to belong herein (see below for details).
Unlike some other fireflies, the females of Luciola are fully winged. Ecologically, the genus is remarkable in that the larvae of several species are aquatic. The adults of the typical Luciola are similar to those of Atyphella which was formerly included in this genus. They can be easily distinguished by the males' aedeagus however, which in Luciola proper has large lateral lobes that do not taper and have elongated, slender and flattened smaller lobes along their ventral margin. The middle lobe of the males' aedeagus is very slim and has a point before the tip. By contrast, the Australian group resembles Pyrophanes in its lateral lobes of the aedeagus being small and not visible from beneath. But unlike in Pyrophanes, the sheath of the aedeagus lacks paraprocts, and the seventh ventrite of the abdomen lacks the hairy lobes and points at its hind margin.[2]
Two Japanese species of Luciola, collectively known as hotaru (蛍), are significant in Japanese culture and folklore. They are symbols of the hitodama (人魂 or 人玉), the souls of the newly-dead. See also the explanations at the article on the movie Hotaru no Haka ("Grave of the Fireflies") for a discussion of the cultural significance of the hotaru.
Luciola in the narrow sense appears to be most closely related to a rather basal group of Luciolinae, including Bourgeoisia and Lampyroidea and Hotaria. Their relationships are not well resolved and Hotaria is sometimes merged with Luciola. On the other hand, the genera Atyphella and Pygoluciola, which for some time were included in Luciola, is now again recognized as distinct.[3]
The internal systematics of Luciola are somewhat in need of revision, and it is not certain whether these species are all correctly assigned to this genus. For example, the Australian species appear to be separate and not very closely related to the other members of this genus, but rather to Colophotia, Pteroptyx and Pyrophanes. Whether the larvae of these can be recognized by the share soft terga lacking paranota, or whether this is a plesiomorphic trait also present in other Luciolinae, remains to be determined.[4]
L. deplanata might be worthy of separation in a monotypic genus Photuroluciola.[2]
But considering the fact that many species remain essentially unstudied, a 2008 review of the genus concluded that:
"A phylogenetic analysis [...] may give indications for subdivisions within Luciola. However, there are elements of the cart and the horse here – which should come first? Break up Luciola based on narrow analyses, or wait until more analyses are available? It is our contention that those Luciolinae species which do not fit elsewhere should either be described as Luciola sp. or remain undescribed until such time as phylogenetic analyses indicate a repeatable pattern of subdivisions with Luciola. Any other action would be, in our opinion, premature."[2]
In 2010, leii, ficta, hydrophila and lateralis were transferred to the genus Aquatica.[5]
The distinct Australian group includes species such as:
The species undulata was recently removed to Atyphella, and guigliae, hamulata, kinabalua, stylifer and witmeri were reestablished as Pygoluciola.[7]
Luciola is a genus of "flashing" fireflies (family Lampyridae), especially well known from Japan. They are often called "Japanese fireflies", but their members range farther into Asia and reach southern Europe (Italy, France, Spain, Portugal, among other countries) and Africa. This genus is traditionally held to extend to Australia, but these species do not seem to belong herein (see below for details).
Luciola es un género de luciérnagas de la familia Lampyridae. Sus miembros están distribuidos desde extremo Oriente hasta el sur de Europa, además de África. Algunas especies de luciérnagas australianas se han incluido tradicionalmente en este género, aunque en la actualidad se clasifican dentro del género Atyphella.
Este género es conocido especialmente por dos especies japonesas ligadas al folclore y cultura tradicionales, las cuales son llamadas indistintamente hotaru (蛍). Son símbolos del hitodama (人魂 o 人玉), las almas de los que han muerto recientemente.
A diferencia de otras luciérnagas, las hembras del género Luciola poseen alas completas. Ecológicamente, el género tiene la particularidad de que las larvas de varias especies son acuáticas.
Los adultos típicos son similares a los del género Atyphella. Los machos de ambos géneros pueden distinguirse fácilmente por su edeago.
La taxonomía del género Luciola, al igual que la de la familia Lampyridae, aún no está bien resuelta y este género podría ser parafilético. En ocasiones el género Hotaria se ha fusionado con Luciola. Por otro lado, los géneros Atyphella y Pygoluciola, estuvieron incluidos en Luciola, aunque en la actualidad son considerados géneros independientes.
Luciola es un género de luciérnagas de la familia Lampyridae. Sus miembros están distribuidos desde extremo Oriente hasta el sur de Europa, además de África. Algunas especies de luciérnagas australianas se han incluido tradicionalmente en este género, aunque en la actualidad se clasifican dentro del género Atyphella.
Este género es conocido especialmente por dos especies japonesas ligadas al folclore y cultura tradicionales, las cuales son llamadas indistintamente hotaru (蛍). Son símbolos del hitodama (人魂 o 人玉), las almas de los que han muerto recientemente.
A diferencia de otras luciérnagas, las hembras del género Luciola poseen alas completas. Ecológicamente, el género tiene la particularidad de que las larvas de varias especies son acuáticas.
Los adultos típicos son similares a los del género Atyphella. Los machos de ambos géneros pueden distinguirse fácilmente por su edeago.
Luciola (les lucioles) est un genre d'insectes coléoptères de la famille des Lampyridae, de la sous-famille des Luciolinae, de la tribu des Luciolini, capables de produire de la lumière jaune-verdâtre aussi bien à l'état adulte que larvaire.
En français, le nom vernaculaire « luciole » est attribué aux espèces du genre Luciola mais aussi à d'autres genres de la sous-famille des Luciolinae et parfois même − par extension − à des genres de la sous-famille des Lampyrinae (au lieu de « lampyre » stricto sensu).
Le genre Luciola est représenté en Europe notamment par l'espèce Luciola (Luciola) lusitanica (Charpentier, 1825).
La femelle, bien que pourvue d'ailes, ne vole pas. Elle se distingue du mâle par une tête plus étroite et un abdomen plus pointu[1].
Dans l'hémisphère nord, les larves cessent de se nourrir en mai ou juin, se transforment en nymphe d'où émergera un coléoptère adulte.
Les mâles, en groupes, émettent en vol un signal lumineux assez puissant sous forme d'éclairs répétés. Leurs gros yeux noirs sont très sensibles à la lumière, repèrent la lumière émise par les femelles et permettent ainsi aux couples de se trouver pour assurer la reproduction.
Les œufs et les larves peuvent aussi émettre de la lumière.
Le biologiste Raphaël Dubois a montré en 1887, que la réaction était due à une enzyme, la luciférase, agissant sur un substrat, la luciférine, avec nécessité de présence de dioxygène. En fait les molécules correspondant à la luciférase et luciférine varient selon les espèces. W.D. McElroy a plus tardivement montré que l’émission de « lumière froide » nécessitait aussi deux cofacteurs ; l'ATP Adénosine triphosphate (ou Acide adénosine triphosphorique) et un minéral (le magnésium). On a d’abord cru que l'ATP était la source de l’énergie, mais pour ensuite démontrer qu’il joue plutôt un rôle de catalyseur en se liant avec le magnésium, la bioluminescence étant alimentée par une suite de réactions d’oxydoréductions. On a enfin montré (étude de l'Université de Tufts) que ce sont des molécules d'oxyde nitrique émises par l'organisme qui contrôlent l'interruption du signal lumineux à un rythme clignotant propre à chaque espèce.
Comme tous les Lampyridae, les espèces du genre Luciola sont sensibles aux insecticides, à la régression de leurs proies et de leurs habitats, mais semble-t-il aussi au phénomène dit de « pollution lumineuse ». Il faut 5 000 lucioles environ pour produire une lumière équivalente à celle d'une bougie. L'éclairage artificiel peut perturber les lucioles comme il perturbe de nombreuses autres espèces nocturnes. Certains individus sont également attirés et " piégés " par des leds émettant dans certaines longueurs d'onde.
Une présence importante de lucioles semble pouvoir être considérée comme un des indicateurs de bon état de naturalité de l'environnement nocturne. Autrefois des groupes de milliers de lucioles pouvaient être aperçus sur et autour d'un arbre, aux abords d'un ruisseau. C'est un phénomène devenu très rare hormis dans des lieux éloignés de l'agriculture, des villes et dépourvus d'éclairage artificiel.
Les lampyres, ou vers luisants (genre voisin, Lampyris) et les lucioles sont l'objet de recherches dans beaucoup de pays européens. Il s'agit de mieux comprendre les raisons de l'apparente régression de leurs populations.
Un programme de science participative français permet à chacun de signaler la présence de vers luisants ou de lucioles dans son jardin[2]. Il est ainsi possible d'aider les chercheurs du CNRS et du Groupe Associatif Estuaire dans leur étude.
Luciola (les lucioles) est un genre d'insectes coléoptères de la famille des Lampyridae, de la sous-famille des Luciolinae, de la tribu des Luciolini, capables de produire de la lumière jaune-verdâtre aussi bien à l'état adulte que larvaire.
Luciola (Laporte, 1833) è un genere di minuscoli insetti coleotteri, appartenenti alla famiglia Lampyridae, noti come lucciole.
A differenza dell'altro genere presente in Italia, Lampyris, le lucciole del genere Luciola non hanno un elevato dimorfismo sessuale, ma si possono comunque riconoscere facilmente. I maschi sono alati, con un corpo lungo e snello, e possono essere lunghi più di un centimetro. Possono volare a circa un metro da terra o posarsi su steli. Le femmine, più rare, sono anch'esse alate, ma il corpo è più tozzo e corto e si trovano frequentemente a terra, forse appena nascoste dall'erba. Il pronoto, in entrambi i sessi, non ricopre totalmente il capo e può presentare una macchia rossiccia centrale. Le elitre sono marrone scuro e ricoprono tutto il corpo. Ventralmente si può osservare la parte terminale dell'addome di colore bianco, dove avviene la produzione della luce.
La luce emessa è dovuta all'ossidazione del substrato fotogeno luciferina ad ossiluciferina, che avviene in presenza di ossigeno grazie alla catalisi operata dall'enzima luciferasi. È una luce fredda, la cui lunghezza d'onda oscilla fra i 500 ed i 650 nm. L'intensità invece varia a seconda della specie (ne esistono circa 2000). L'emissione luminosa è una funzione che si manifesta nella fase di corteggiamento precedente all'accoppiamento.
In Europa annovera tre specie, di cui due sono presenti anche in Italia:[1]
Luciola (Laporte, 1833) è un genere di minuscoli insetti coleotteri, appartenenti alla famiglia Lampyridae, noti come lucciole.