Els hipoboscoïdeus (Hippoboscoidea) són una superfamília del dípters braquícers de l'infraordre dels esquizòfors. Els dípters en aquesta superfamília són pàrasits obligats que s'alimenten de la sang dels seus hostes. La família Glossinidae, monotípica, conté les mosques tse-tse que són vector de la tripanosomiasi africana.
Les espècies de Hippoboscoidea no ponen ous. En lloc d'això les larves s'alimenten dins l'úter matern per glàndules de llet i passen per tres estadis morfològics abans de ser dipositades per pupar.
La classificació dels hipoboscoïdeus és controvertida; Les mosques ratpenats són els Nycteribiidae i els Streblidae; aquesta darrera no és probablement monofilètica i pot ser o bé dividida en dues famílies o ajuntada amb els Nycteribiidae.[1] Mormotomyiidae és completament monotípica amb una sola espècie Mormotomyia hirsuta coneguda només en una localitat de Kenya. Probablement els Mormotomyiidae pertanyen als Ephydroidea.[2]
Segons Pape et al.[3] inclou dues famílies:
Els hipoboscoïdeus (Hippoboscoidea) són una superfamília del dípters braquícers de l'infraordre dels esquizòfors. Els dípters en aquesta superfamília són pàrasits obligats que s'alimenten de la sang dels seus hostes. La família Glossinidae, monotípica, conté les mosques tse-tse que són vector de la tripanosomiasi africana.
Hippoboscoidea is a superfamily of the Calyptratae. The flies in this superfamily are blood-feeding obligate parasites of their hosts. Four families are often placed here:
(Note that the Mystacinobiidae, while also a bat fly, belongs to the superfamily Oestroidea).
The Hippoboscidae are commonly called louse flies or ked flies. The bat flies are Nycteribiidae and Streblidae (along with Mystacinobiidae); the Streblidae are probably not monophyletic.[2] The family Glossinidae, monotypic as to genus, contains the tsetse flies, economically important as the vectors of trypanosomiasis. The enigmatic Mormotomyiidae are believed to belong to the Ephydroidea and not to Hippoboscoidea as previously construed.[3]
In older literature, this group is often referred to as the Pupipara ("pupa-bearers"), because, unlike virtually all other insects, most of the larval development takes place inside the mother's body, and pupation occurs almost immediately after "birth" – in essence, instead of laying eggs, a female lays full-sized pupae one at a time. In the strict sense, the Pupipara only encompass the Hippoboscidae, Nycteribiidae, and "Streblidae", which in older works were all included in the Hippoboscidae.
Species of the Hippoboscoidea do not lay eggs. Instead, the larvae hatch in utero, are fed internally by "milk glands," and pass through three morphological stages before being deposited to pupate. This type of reproduction is termed as adenotrophic viviparity.[4]
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: CS1 maint: archived copy as title (link) Hippoboscoidea is a superfamily of the Calyptratae. The flies in this superfamily are blood-feeding obligate parasites of their hosts. Four families are often placed here:
Glossinidae - Tsetse flies Hippoboscidae - Ked flies Nycteribiidae - Bat flies Streblidae - Bat flies(Note that the Mystacinobiidae, while also a bat fly, belongs to the superfamily Oestroidea).
The Hippoboscidae are commonly called louse flies or ked flies. The bat flies are Nycteribiidae and Streblidae (along with Mystacinobiidae); the Streblidae are probably not monophyletic. The family Glossinidae, monotypic as to genus, contains the tsetse flies, economically important as the vectors of trypanosomiasis. The enigmatic Mormotomyiidae are believed to belong to the Ephydroidea and not to Hippoboscoidea as previously construed.
In older literature, this group is often referred to as the Pupipara ("pupa-bearers"), because, unlike virtually all other insects, most of the larval development takes place inside the mother's body, and pupation occurs almost immediately after "birth" – in essence, instead of laying eggs, a female lays full-sized pupae one at a time. In the strict sense, the Pupipara only encompass the Hippoboscidae, Nycteribiidae, and "Streblidae", which in older works were all included in the Hippoboscidae.
Los hipoboscoideos (Hippoboscoidea), conocidos popularmente como moscas de caballo, moscas cojoneras, moscas picadoras, moscas de los establos, moscas del estiércol o moscas de las palomas, son una superfamilia del orden de los dípteros. Se hallan en regiones templadas, subtropicales y tropicales.
Los miembros de esta superfamilia son todos ectoparásitos hematófagos, frecuentemente ápteros. Los imagos están especializados para picar a vertebrados y alimentarse de su sangre, que consiguen extraer gracias a su aparato bucal de tipo cortador-chupador.[1]
El desarrollo larval que se produce casi enteramente dentro de las hembras, algo inusual entre los insectos, la pupa se produce casi inmediatamente después de la puesta.[2] Sirven de vectores de varias enfermedades y son responsables de transmitirlas a los animales de los que se alimentan.
Los hipoboscoideos (Hippoboscoidea), conocidos popularmente como moscas de caballo, moscas cojoneras, moscas picadoras, moscas de los establos, moscas del estiércol o moscas de las palomas, son una superfamilia del orden de los dípteros. Se hallan en regiones templadas, subtropicales y tropicales.
Los miembros de esta superfamilia son todos ectoparásitos hematófagos, frecuentemente ápteros. Los imagos están especializados para picar a vertebrados y alimentarse de su sangre, que consiguen extraer gracias a su aparato bucal de tipo cortador-chupador.
El desarrollo larval que se produce casi enteramente dentro de las hembras, algo inusual entre los insectos, la pupa se produce casi inmediatamente después de la puesta. Sirven de vectores de varias enfermedades y son responsables de transmitirlas a los animales de los que se alimentan.
Pupipare
Les Hippoboscoidea sont une super-famille de mouches. Ce sont tous des ectoparasites hématophages, fréquemment aptères. Ils correspondent à peu près au groupe autrefois connu sous le nom de pupipares, ce terme faisant référence au mode de développement particulier de ces insectes : de façon très inhabituelle chez les insectes, le développement larvaire se déroule presque entièrement dans la femelle, la pupaison intervenant immédiatement après la « ponte » ; ainsi la femelle donne presque directement naissance à des pupes.
La vie parasitaire entraîne chez ces mouches des modifications morphologiques plus ou moins profondes : régressions ou perte des ailes et des yeux, présence d'une trompe perforante, dureté de l'exosquelette modification de la structure des antennes, developpement d'organes de fixation comme des griffes, réduction du thorax ou perte des pattes[1].
Il semble y avoir un parallélisme entre la réduction des yeux et celle des ailes. Les formes mobiles adaptées au vol (famille Glossinidae, genres Hippobosca, Ornithomya, Lynchia) sont pourvues d'organes visuels bien développés tandis que ces organes sont plus ou moins rudimentaires chez les espèces fixées (Crataerina, Stenopteryx, Lipoptena, Melophagus). Chez les Nyctéribiides, les ailes ont disparu sans laisser de trace et les yeux ont quasiment disparu. L'extrême longueur de leurs pattes et leur insertion quasi dorsale contribue à leur donner un faciès d'araignée caractéristique. Chez les Stréblides, les Ascodipterons, vivant dans les régions tropicales, offrent le plus haut degré de spécialisation parasitaire. Après avoir perdu ses ailes et ses pattes, la femelle se transforme en une sorte d'utricule enkystée dans la peau de son hôte[1].
Glossina palpalis, la Mouche tsé-tsé.
Nycteribiide sans ailes, sur une chauve-souris.
L'accouplement a été rarement observé chez les Hippoboscoides. Chez Cyclopodia greeffi, un Nyctéribiide congolais, le mâle grimpe sur la femelle et son extrémité postérieure se recourbe sous le segment anal de celle-ci pour s'accrocher par des pinces. La copulation dure au moins une quinzaine de minutes. Chez la Mouche du pigeon, celui-ci a lieu durant le vol de l'hôte ou durant son repos et dure fort longtemps. L'activité reproductrice est parfois grande dans cette super-famille et le développement intra-utérin parfois très rapide. Pour Cyclopodia greeffi, les intervalles séparant les différentes pontes d'une même femelle varient entre 2 et 6 jours[1].
Le développement embryonnaire et larvaire s’accomplissent dans l'utérus de la femelle. Des glandes nourissières y sécrètent un liquide latescent dont se nourrit la larve au cours de sa croissance. Ce phénomène nommé « pupiparité » est propre à la super-famille Hippoboscides. La larve, parvenue au terme de son développement, est expulsée de l'utérus de la femelle et devient une pronymphe immobile (ou pré-pupe). Très peu de temps après la ponte, 20-30 minutes, la pronymphe de couleur claire se transforme en pupe et fonce. La ponte a lieu tantôt sur l'hôte, tantôt en dehors de celui-ci. Dans le premier cas, la pupe est agglutinative et adhère aux poils de son hôte (Melophagus et Lipoptena). Chez Hippobosca et les Hippoboscides avicoles, la pupe tombe au sol ou dans le nid. Les femelles Nyctéribiides ne pondent pas sur leur hôte mais sur les branches de l'arbre habité dans le cas des chauves-souris arboricoles (Roussettes) ou sur les parois de la grotte lorsqu'il s'agit de chiroptères cavernicoles comme les Rhinolophes ou les Vespertilionides[1].
La pupe des Hippoboscoides a la forme d'un tonneau brun-noir, aux faces ventrales et dorsales déprimées. Cependant, celle du genre Melophagus sont de couleur jaune avec une extrémité noire et celle des Nyctériibides a la face ventrale plane. La durée du stade pupal est variable, elle est en moyenne d'un mois en période d'activité et jusqu'à 6 mois en cas d'hibernation[1].
Mouche du Mouton, mâle, femelle, pupe.
Comparaison d’œufs de Martinet noir et de pupe de Crataerina pallida.
Mouche du Pigeon femelle.
Dans la famille Glossinidae, la Mouche tsé-tsé s'attaque aux ongulés, qu'ils soient sauvages comme le zèbre ou domestique. Il y a une corrélation entre la quantité de rayures du zèbre et la quantité de mouches. Elle parasite plus volontiers les zèbres à la robe qui compte peu de rayures tandis qu’elle a tendance à ignorer les zèbres aux nombreuses rayures[2]. Ainsi, les zèbres vivants dans les zones les plus infestées par les mouches tsé-tsé ont-ils plus de rayures que les zèbres vivants dans les zones délaissées par ces glossines.
Parmi les Hippoboscides, certains genres (Hippobosca, Lipoptena, Melophagus) sont plus spécialement adaptés aux Mammifères. D'autres genres (Crataerina, Ornithomya, Lynchia, Olfersia) sont avicoles. Il est des espèces dont la spécificité parasitaire est rigoureuse (Melophagus ovinus sur les moutons, Lipoptena cervi sur les Cerfs, Stenepteryx hirundinis sur les Hirondelles ou Crataerina pallida sur les Martinets noirs). Dans d'autres cas, une même espèce peut parasiter plusieurs hôtes différents tel Hippobosca equina, qui se rencontre sur le Cheval, le Chameau, la Chouette chevêche, le Milan et la Buse variable. Parfois un même hôte peut avoir plusieurs parasites.[1].
Crataerina pallida, inféodée au Martinet noir.
Ornithomya chloropus, inféodée aux Tétraoninés.
Les Streblides et les Nyctéribiides sont habituellement liés aux chauves-souris. Il n'y a pas de monospécificités ni dans un sens, ni dans l'autre. L'indifférence dans le choix de l'hôte résulte vraisemblablement des habitudes grégaires de beaucoup de chiroptères. Ils se suspendent en groupe plus ou moins compacte périodiquement, permettant ainsi aux parasites de passer facilement de l'un à l'autre[1].
Les Hippoboscides, de même que d'autres insectes piqueurs, peuvent inoculer des germes pathogènes à leurs hôtes. Ils jouent assurément un rôle important dans le développement de certaines maladies à hématozoaires des pays chauds. La Mouche tsé-tsé est célèbre pour transmettre la maladie du sommeil. Hyppobosca rufipes est considéré comme l'agent de propagation d'une trypanosomiase qui décime les Bovidés d'Afrique du Sud. Celle des dromadaires est liée à la présence de Taons et de Hyppobosca camela. Une maladie des Pigeons, déterminée par la pullulation d'un hématozoaire dans le sang des oiseaux, est transmise par la Mouche du Pigeon en Afrique du Nord, par Microlynchia pusilla et Lynchia lividicolor au Brésil. Le Mélophage du Mouton est le vecteur du trypanosome de cet animal. Enfin l'Hippobosque du chien est accusé de transmettre la leishmaniose cutanée à l'humain et au chien[1].
La Répartition géographique des Hippoboscoides coïncide avec celle de leurs hôtes respectifs. Les espèces avicoles sont en principes très répandues. Une espèce ubiquiste comme Ornithomya avicularia est établie sur la région holartique entière. Les espèces du genre Olfersia subissent les immenses déplacements des oiseaux océaniques, (Frégates, Pétrels, Albatros) leurs hôtes habituels. À l'inverse, Crataerina pallida ne suit pas les migrations du Milan noir et vit uniquement dans ses zones de nidification. Les parasites de certains mammifères domestiques comme l'Hippoboscope du Cheval et le Mélophage du Mouton se sont introduits passivement avec leurs hôtes en suivant les migrations humaines particulièrement aux Amériques[1].
Les Nyctéribiides sont dominants les continents asiatiques et européens et spécialement au sein de l'écozone indomalaise. Le genre Nycteribia s'est développé principalement en région méditerranéenne, et vit de préférence sur les Rhinolophes. Le groupe Stereblinae des Streblides sont spécifiques aux Amériques. Les espèces des autres groupes (Nycteriboscinae et Ascodipterinae) habitent principalement l'Indo-malaisie et l'Afrique[1].
Famille Glossinidae, Glossina morsitans, une Mouche tsé-tsé.
Famille Hippoboscidae, Ornithomya avicularia.
Famille Mormotomyiidae, Mormotomyia hirsuta.
Famille Nycteribiidae.
Famille Streblidae, Mastoptera guimaraesi.
Pupipare
Les Hippoboscoidea sont une super-famille de mouches. Ce sont tous des ectoparasites hématophages, fréquemment aptères. Ils correspondent à peu près au groupe autrefois connu sous le nom de pupipares, ce terme faisant référence au mode de développement particulier de ces insectes : de façon très inhabituelle chez les insectes, le développement larvaire se déroule presque entièrement dans la femelle, la pupaison intervenant immédiatement après la « ponte » ; ainsi la femelle donne presque directement naissance à des pupes.
Hippoboscoidea è una superfamiglia di ditteri moscoidi appartenente ai Calyptratae. Le mosche di questa superfamiglia sono ectoparassiti obbligati che si nutrono del sangue dei loro ospiti.
Nel suo novero vengono spesso collocate quattro famiglie:
(Si noti che Mystacinobiidae, pur essendo anche una mosca pipistrello, appartiene alla superfamiglia Oestroidea).
Gli Hippoboscidae sono comunemente chiamati mosche pidocchio (ked flies). Le mosche pipistrello sono Nycteribiidae e Streblidae (insieme a Mystacinobiidae); gli Streblidi probabilmente non sono monofiletici.[1] La famiglia Glossinidae, monotipica come genere, contiene le mosche tse-tse, economicamente importanti come vettori della tripanosomiasi. Si ritiene che gli enigmatici Mormotomyiidae appartengano agli Ephydroidea e non agli Hippoboscoidea come precedentemente inferito.[2]
Nella letteratura più antica, questo gruppo è spesso indicato come Pupipara ("portatori di pupa"), perché, a differenza di quasi tutti gli altri insetti, la maggior parte dello sviluppo larvale avviene all'interno del corpo della madre e la pupazione avviene quasi immediatamente dopo la "nascita" – in sostanza, invece di deporre le uova, una femmina depone pupe a grandezza naturale una alla volta. In senso stretto, le Pupipara comprendono solo gli Hippoboscidae, Nycteribiidae e Streblidae, che nelle trattazioni più antiche erano tutti inclusi negli Hippoboscidae.
Le specie di Hippoboscoidea non depongono uova. Invece, le larve si schiudono in utero, sono alimentate internamente da "ghiandole del latte" e passano attraverso tre stadi morfologici prima di essere depositate per impuparsi. Questo tipo di riproduzione è definito come viviparità adenotrofica.[3]
url
(aiuto). URL consultato il 4 ottobre 2011. Hippoboscoidea è una superfamiglia di ditteri moscoidi appartenente ai Calyptratae. Le mosche di questa superfamiglia sono ectoparassiti obbligati che si nutrono del sangue dei loro ospiti.
Hippoboscoidea (=Pupiparae) er en gruppe av sterkt spesialiserte fluer som alle er blodsugere på pattedyr og fugler.
Disse fluene er pupipare, det vil si at hele larveutviklingen skjer inne i hunnens bakkropp, dette kalles falsk placenta. Larven «fødes» klar til å forvandle seg til en puppe.
Overfamilien omfatter tsetsefluene, som er frittlevende og ser ut som normale fluer, og de tre svært spesialiserte familiene lusfluer, flaggermusfluer og Streblidae, som tilbringer nesten hele tiden fastsittende på vertsdyrene og har et ganske spesielt utseende. To av familiene, flaggermusfluer og Streblidae, er spesialister på flaggermus, mens lusfluer kan angripe ulike slags pattedyr og også fugler. Tsetsefluene er alvorlige skadedyr fordi de sprer sovesyke i Afrika.
Hippoboscoidea (=Pupiparae) er en gruppe av sterkt spesialiserte fluer som alle er blodsugere på pattedyr og fugler.
Disse fluene er pupipare, det vil si at hele larveutviklingen skjer inne i hunnens bakkropp, dette kalles falsk placenta. Larven «fødes» klar til å forvandle seg til en puppe.
Overfamilien omfatter tsetsefluene, som er frittlevende og ser ut som normale fluer, og de tre svært spesialiserte familiene lusfluer, flaggermusfluer og Streblidae, som tilbringer nesten hele tiden fastsittende på vertsdyrene og har et ganske spesielt utseende. To av familiene, flaggermusfluer og Streblidae, er spesialister på flaggermus, mens lusfluer kan angripe ulike slags pattedyr og også fugler. Tsetsefluene er alvorlige skadedyr fordi de sprer sovesyke i Afrika.
Hippoboscoidea Brues & Melander, 1932 é uma superfamília da ordem dos Diptera (moscas), cujos membros são todos ectoparasitas hematófagos, frequentemente ápteros. Os imagos possuem estruturas bucais, do tipo cortador-chupador, destinadas a picar e sugar os vertebrados de cujo sangue se alimentam. A superfamília inclui cinco famílias.
Hippoboscoidea Brues & Melander, 1932 é uma superfamília da ordem dos Diptera (moscas), cujos membros são todos ectoparasitas hematófagos, frequentemente ápteros. Os imagos possuem estruturas bucais, do tipo cortador-chupador, destinadas a picar e sugar os vertebrados de cujo sangue se alimentam. A superfamília inclui cinco famílias.
Hippoboscoidea là một liên họ của Calyptratae. Các loài hai cánh trong liên họ này là loài hút máu vật chủ của chúng. Năm họ thường được xếp vào đây gồm:
Hippoboscidae thường được gọi là chí, rận. Rồi dơi bào gồm các họ Nycteribiidae và Streblidae; họ Streblidae có thể không phải đơn ngành và được đề xuất chia thành 2 phân họ hoặc hợp nhất với họ Nycteribiidae.[1] Họ Glossinidae chỉ có một chi bao gồm các loài ruồi xê rê ở phi châu, là vật chủ trung gian truyền bệnh trypanosomiasis. Họ Mormotomyiidae hiện chỉ có một loài Mormotomyia hirsuta chỉ phát hiện ở Kenya. Nó có thể là một nhánhh riêng biệt với một họ khác nhưng có ít thông tin về nó.
Hippoboscoidea là một liên họ của Calyptratae. Các loài hai cánh trong liên họ này là loài hút máu vật chủ của chúng. Năm họ thường được xếp vào đây gồm:
Glossinidae Hippoboscidae Mormotomyiidae Nycteribiidae Streblidae (tranh cãi)Hippoboscidae thường được gọi là chí, rận. Rồi dơi bào gồm các họ Nycteribiidae và Streblidae; họ Streblidae có thể không phải đơn ngành và được đề xuất chia thành 2 phân họ hoặc hợp nhất với họ Nycteribiidae. Họ Glossinidae chỉ có một chi bao gồm các loài ruồi xê rê ở phi châu, là vật chủ trung gian truyền bệnh trypanosomiasis. Họ Mormotomyiidae hiện chỉ có một loài Mormotomyia hirsuta chỉ phát hiện ở Kenya. Nó có thể là một nhánhh riêng biệt với một họ khác nhưng có ít thông tin về nó.
Hippoboscoidea
СемействаHippoboscoidea (лат.) — надсемейство паразитических круглошовных мух из подотряда короткоусых (Brachycera) двукрылых. Более 500 видов, включая муху цеце, кровососок, бескрылых пещерных Mormotomyia hirsuta. Питаются кровью позвоночных животных. 6-й абдоминальный тергит самцов немодифицированный и почти такой же длины, как 5-й тергит; 10-й стернит неразделённый. У самок 6 и 7-й сегменты сравнительно немодифицированные. Вибриссы у обоих полов недифференцированные. Надсемейство Hippoboscoidea делится на две монофилетические сестринские подгруппы (Glossinidae + Hippoboscidae и Streblidae + Nycteribiidae) и рассматривается сестринской группой к остальным Calyptratae (Muscoidea и Oestroidea)[1][2].
Цеце (Glossinidae), 23 вида
Кровососки (Hippoboscidae), 200 видов
Mormotomyia hirsuta, единственный вид семейства Mormotomyiidae
Hippoboscoidea (лат.) — надсемейство паразитических круглошовных мух из подотряда короткоусых (Brachycera) двукрылых. Более 500 видов, включая муху цеце, кровососок, бескрылых пещерных Mormotomyia hirsuta. Питаются кровью позвоночных животных. 6-й абдоминальный тергит самцов немодифицированный и почти такой же длины, как 5-й тергит; 10-й стернит неразделённый. У самок 6 и 7-й сегменты сравнительно немодифицированные. Вибриссы у обоих полов недифференцированные. Надсемейство Hippoboscoidea делится на две монофилетические сестринские подгруппы (Glossinidae + Hippoboscidae и Streblidae + Nycteribiidae) и рассматривается сестринской группой к остальным Calyptratae (Muscoidea и Oestroidea).
Цеце (Glossinidae), 23 вида
Кровососки (Hippoboscidae), 200 видов
Mormotomyia hirsuta, единственный вид семейства Mormotomyiidae