Pseudognaphalium luteoalbum
Le Gnaphale blanc jaunâtre (Pseudognaphalium luteoalbum), appelé aussi cotonnière blanc jaunâtre, est une petite plante herbacée de la famille des Astéracées (ou Composées), autrefois classée dans le genre Gnaphalium, appartenant aujourd'hui au genre Pseudognaphalium, dont il est l'espèce la plus répandue. Comme les gnaphales, et plus généralement toutes les plantes appelées « cotonnières », il est remarquable par son abondante pilosité blanche et cotonneuse (tige et feuilles). Les fleurs sont groupées en petits capitules ovoïdes eux-mêmes rassemblés en capitules.
Selon NCBI (15 juillet 2013)[2] :
Selon Tropicos (15 juillet 2013)[3] :
Plante annuelle présente dans toute l'Europe occidentale jusqu'au sud de la Suède, mais poussant de préférence dans les régions méridionales. En France, elle est rare au nord de la Seine. Elle apprécie les terrains sablonneux moyennement ensoleillés, plutôt humides.
Plante petite à moyenne à poils blancs cotonneux, à tiges ramifiées à la base et érigées. Feuilles alternes, oblongues à linéaires, cotonneuses sur les deux faces, à bord légèrement enroulé.
Inflorescence en groupe de petits capitules ovoïdes comportant chacun de nombreuses fleurs minuscules (jusqu'à 40 fleurs par capitule). Involucre de bractées membraneuses, blanches ou jaunâtres, ovales à lancéolées. Fleurs toutes tubulées jaunes (les fleurs périphériques sont souvent rouges).
L'espèce n'est pas encore évaluée à l'échelle mondiale et européenne par l'UICN. En France elle est classée comme non préoccupante [4].
Toutefois l'espèce est considérée en danger (EN) en Lorraine, Champagne-Ardenne, Bourgogne, Alsace, Île-de-France, Auvergne et Rhône-Alpes ; comme vulnérable (VU) en Picardie, Franche-Comté et Limousin.
Cette plante est protégée dans le Nord-Pas-de-Calais[5] et en Picardie[6].
Pseudognaphalium luteoalbum
Le Gnaphale blanc jaunâtre (Pseudognaphalium luteoalbum), appelé aussi cotonnière blanc jaunâtre, est une petite plante herbacée de la famille des Astéracées (ou Composées), autrefois classée dans le genre Gnaphalium, appartenant aujourd'hui au genre Pseudognaphalium, dont il est l'espèce la plus répandue. Comme les gnaphales, et plus généralement toutes les plantes appelées « cotonnières », il est remarquable par son abondante pilosité blanche et cotonneuse (tige et feuilles). Les fleurs sont groupées en petits capitules ovoïdes eux-mêmes rassemblés en capitules.