La famille des Strasburgeriaceae ne comportait qu'une seule espèce, un arbre (Strasburgeria robusta) endémique de Nouvelle-Calédonie.
Le nom vient du genre type Strasburgeria donné en l’honneur du botaniste germano-polonais Eduard Adolf Strasburger (1844–1912), qui a établi les lois modernes de la cytologie végétale.
En 1854 cette famille s’appelait Ixerbaceae, nommée d’après le genre Ixerba, anagramme de Brexia (Celastraceae), auquel on pensait le genre lié. Cependant le nom le plus récent, Strasburgeriaceae (1908), s'est substitué aux Ixerbaceae[1], sans doute par soucis de rendre hommage à Strasburger, un des plus grands botanistes du XIXe siècle.
Cette famille n'existe pas dans la classification classique de Cronquist (1981).
La classification phylogénétique APG II (2003) la situe à la base des Rosidées (Rosids).
Le Angiosperm Phylogeny Website la situe dans l'ordre des Crossosomatales, choix qui a été confirmée par la classification phylogénétique APG III (2009).
La classification phylogénétique APG III (2009) inclut dans cette famille les genres précédemment placés dans la famille Ixerbaceae. Le genre Ixerba pour être précis.
Selon Angiosperm Phylogeny Website (2 juin 2010)[2] et NCBI (2 juin 2010)[3] (Plus conforme à APGIII puisqu'il incorpore le genre Ixerba anciennement dans Ixerbaceae) :
Selon DELTA Angio (2 juin 2010)[4] :
La famille des Strasburgeriaceae ne comportait qu'une seule espèce, un arbre (Strasburgeria robusta) endémique de Nouvelle-Calédonie.