The flame bowerbird (Sericulus ardens) is one of the most brilliantly coloured bowerbirds. The male is a medium-sized bird, up to 25 cm long, with flame orange and golden yellow plumage, elongated neck plumes and yellow-tipped black tail. It builds an "avenue-type" bower with two side walls of sticks. The female is an olive brown bird with yellow or golden around the stomach.
The flame bowerbird is distributed in and endemic to rainforests of New Guinea. The male flame bowerbird also has a courtship display along with his bower, twisting his tails and his wings to the side, and then shaking his head quickly.
The courtship behaviour of the flame bowerbird was filmed by Japanese photographer Tadashi Shimada in Dancers on Fire, a documentary that aired on the Smithsonian Channel, and has also been documented in Dancing with the Birds. However, Shimada filmed other peculiar behaviours, such as a male courting a juvenile male and several juvenile males as well as an adult male appearing to share one bower, only to be destroyed by another juvenile male.
The flame bowerbird is evaluated as least concern on the IUCN Red List of Threatened Species.
The flame bowerbird (Sericulus ardens) is one of the most brilliantly coloured bowerbirds. The male is a medium-sized bird, up to 25 cm long, with flame orange and golden yellow plumage, elongated neck plumes and yellow-tipped black tail. It builds an "avenue-type" bower with two side walls of sticks. The female is an olive brown bird with yellow or golden around the stomach.
The flame bowerbird is distributed in and endemic to rainforests of New Guinea. The male flame bowerbird also has a courtship display along with his bower, twisting his tails and his wings to the side, and then shaking his head quickly.
The courtship behaviour of the flame bowerbird was filmed by Japanese photographer Tadashi Shimada in Dancers on Fire, a documentary that aired on the Smithsonian Channel, and has also been documented in Dancing with the Birds. However, Shimada filmed other peculiar behaviours, such as a male courting a juvenile male and several juvenile males as well as an adult male appearing to share one bower, only to be destroyed by another juvenile male.
The flame bowerbird is evaluated as least concern on the IUCN Red List of Threatened Species.
El pergolero flamígero (Sericulus ardens)[2] es una especie de ave paseriforme de la familia Ptilonorhynchidae endémica del sur de Nueva Guinea.[3] Anteriormente se consideraba una subespecie el pergolero áureo.
El pergolero flamígero (Sericulus ardens) es una especie de ave paseriforme de la familia Ptilonorhynchidae endémica del sur de Nueva Guinea. Anteriormente se consideraba una subespecie el pergolero áureo.
Sericulus ardens Sericulus generoko animalia da. Hegaztien barruko Ptilonorhynchidae familian sailkatua dago.
Sericulus ardens Sericulus generoko animalia da. Hegaztien barruko Ptilonorhynchidae familian sailkatua dago.
Sericulus ardens
Le Jardinier ardent (Sericulus ardens) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Ptilonorhynchidae.
Elle s’étire de la rivière Mimika jusqu’à celle de Merauke, en Nouvelle-Guinée occidentale, pour se poursuivre dans la région du lac Murray, du mont Bosavi et des rivières Fly (Kiunga, Black River), Strickland, Aramia, Wawoi, Wama et Kikori en Papouasie-Nouvelle-Guinée.
La forme ardens était auparavant considérée comme une simple sous-espèce de Sericulus aureus (le Jardinier du Prince d'Orange) mais est actuellement reconnue comme espèce distincte[1],[2], sur la base de la morphologie et d'analyses phylogéniques.
L’oiseau jardinier ardent est inféodé aux forêts pluviales primaires et secondaires à grands arbres ainsi qu’aux lambeaux forestiers dominés par des mélaleucas (Melaleuca) sur le site de la Trans-Fly. Bien que fréquentant les différents étages de la canopée, il se perche parfois sur des branches émergentes[1]. Ottaviani[2] a confirmé, photo à l’appui, cette habitude de l’espèce de se percher à découvert sur des branches mortes.
Elle est méconnue et consiste en fruits et en insectes. Cet oiseau à berceau recherche sa nourriture seul, en duos ou en trios, occasionnellement en association avec d’autres oiseaux frugivores[1].
Quelques berceaux ont été découverts sur un versant de colline, dans une forêt marécageuse ou dans le sous-bois bien végétalisé d’une forêt secondaire. D’autres ont été trouvés à proximité immédiate d’une petite clairière apparue à la suite de la chute d’un arbre. D’assez gros rameaux composent les parois extérieures du berceau alors que de plus fines et plus longues brindilles constituent celles intérieures. Trois berceaux du site des rivières Strickland et Nomad mesuraient en moyenne 23 cm de long, 16 cm de large et 19 cm de haut avec une allée de 17 cm de long et 8 cm de large. Les décorations (jusqu’à un total de dix) comportaient des fruits bleus, violets et bruns, des fleurs blanches et violettes, des coquilles d’escargots et des feuilles brun-jaune à l’intérieur de l’allée et des feuilles noires brillantes à l’extérieur. Les brindilles de l’intérieur de l’allée étaient peintes[1].
Le répertoire vocal est peu connu, seules des notes âpres, criardes et sifflées, entrecoupées d’un « shh » susurré ou d’un faible « ksh » ont été décrites[1].
Elle a été observée à Kiunga en octobre 2006 par Otto Plantema et Vincent van der Spek. Dans une formation secondaire de forêt, ils ont d’abord aperçu une femelle puis un mâle se nourrissant dans un arbre fruitier. Ils ont ensuite découvert un berceau situé sur une petite aire dégagée d’environ un mètre carré. Le berceau était bien décoré de fruits frais et de feuilles colorées. En tout, ils ont observé quatre individus : un mâle adulte, une femelle et deux mâles immatures. Les jeunes mâles observent le mâle adulte parader face à la femelle mais ne prennent pas part au rituel. Les auteurs décrivent ainsi la parade. Dès que le mâle aperçoit la femelle dans les buissons près du berceau, il cherche une brindille pour commencer à parader. Il se fait d’abord petit puis s’allonge en ouvrant ses ailes pour paraître plus grand. Cette démonstration est le signal pour la femelle de visiter le berceau. Quand elle le fait, la parade s’intensifie. Mâle et femelle se touchent du bec en un baiser symbolique. L’accouplement a lieu à côté du berceau. La parade complète a duré entre une demi-heure et une heure[3].
À Kiunga, en juin 2007, Sophie et Fabien Pékus ont réalisé un magnifique film de la parade nuptiale d’où sont extraites toutes ces photos. Elles mettent en scène un mâle sub-adulte paradant face à un mâle juvénile. Le mâle sub-adulte est reconnaissable à ses ailes encore brunes au lieu de jaunes. Le mâle juvénile ressemble à une femelle mais l’iris jaune est masculin. Ce mâle sub-adulte passe en revue pratiquement toutes les attitudes et postures nuptiales qu’un mâle adulte est capable de réaliser, comme dans la vidéo de Shimada : vocalisation au berceau, présentation d’une offrande, ouverture des ailes, exhibition de la cape, gonflement et contorsion puis élévation et abaissement du corps. Par moments, il se détourne du berceau, adopte une posture d’intimidation et lance un cri de même nature, probablement à l’encontre d’un autre mâle des environs. À propos de la taille du mâle qui semble pratiquement se doubler au paroxysme de la parade, Fabien Pékus pense que l’oiseau ne gonfle pas seulement son plumage mais aussi probablement ses sacs aériens pour aboutir à un tel résultat[2].
Elle n’est pas du tout documentée en milieu naturel.
L’espèce occupe un vaste territoire dans le sud de la Nouvelle-Guinée où elle est plutôt commune d’où sa classification en « préoccupation mineure »[4]. Les villageois de la tribu des Hawin ont attribué à ces oiseaux le surnom d’« oiseau fantôme » et les considèrent comme des esprits de la forêt. Par coutume, ils gardent secrets les emplacements des berceaux et il faut plusieurs années de contact pour gagner leur confiance et obtenir le privilège d’être guidé vers l’un des berceaux. Ainsi, les oiseaux à berceaux ardents bénéficient de cette protection locale et il est probable qu’il en est de même dans les autres régions de leur répartition[2].
Sericulus ardens
Le Jardinier ardent (Sericulus ardens) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Ptilonorhynchidae.
L'uccello giardiniere fiammante (Sericulus ardens (d'Albertis & Salvadori, 1879)) è un uccello passeriforme della famiglia Ptilonorhynchidae[2].
Il nome scientifico della specie, ardens, deriva dal latino e significa "ardente", in riferimento alla livrea di questi uccelli.
Misura 25,5 cm di lunghezza, per 120-168 g di peso[3].
Si tratta di uccelli dall'aspetto paffuto e massiccio, muniti di testa piccola e arrotondata con lungo e sottile becco conico, ali digitate, zampe lunghe e forti e corta coda di forma squadrata.
La specie presenta dicromatismo sessuale.
Le femmine, infatti, presentano una sobria livrea dominata dorsalmente dai toni del bruno-olivastro, mentre ventralmente sono presenti vivide sfumature giallastre: i maschi, invece, presentano testa, dorso ed area scapolare di colore rosso-arancio, mentre il resto del piumaggio (gola, petto, ventre, groppa, codione, ali) è di colore giallo oro con sfumature aranciate, più chiaro sul basso ventre dove assume sfumature biancastre, ad eccezione della coda e dell'orlo delle ali, che sono di colore nero.
Il becco è di color giallo-avorio con punta nerastra, le zampe sono anch'esse nerastre e gli occhi sono di colore bruno scuro nelle femmine e giallo nei maschi.
Si tratta di uccelli diurni, abitatori della media canopia, dove passano gra parte della giornata alla ricerca di cibo fra i rami di alberi ed arbusti alti: femmine e giovani possono aggregarsi in piccoli stormi (talvolta in associazioni con altre specie di uccelli dalle abitudini di vita simili[3]), mentre i maschi sono più solitari e durante il periodo degli amori divengono anche territoriali.
I richiami di questi animali, emessi in particolar modo dai maschi in amore, sono aspri e gracchianti.
La dieta di questi uccelli è ancora poco conosciuta, ma composta da frutti e insetti.
La stagione riproduttiva si estende da maggio a novembre[3]: i maschi realizzano strutture nuziali a forma di vialetto, posizionando rametti verticali in due filari al suolo della foresta ed appostandosi nei pressi, vocalizzando a profusione per attrarre le femmine. All'approssimarsi di una di queste ultime, il maschio la segue insistentemente, accompagnandola nella visita alla sua struttura (che egli provvede ad abbellire con oggetti di colore sgargiante posizionati nello spiazzo ad essa antistante, accuratamente ripulito da detriti e sassolini) e al contempo arruffando il piumaggio del dorso ed effettuando movimenti sincopati, per poi montarla all'interno della struttura stessa qualora essa si dimostri disponibile.
Dopo l'accoppiamento, il maschio si disinteressa della femmina (che si occuperà da sola della nidificazione, della cova e dell'allevamento della prole), dedicandosi invece a cercare di accoppiarsi col maggior numero possibile di femmine.
L'uccello giardiniere fiammante è endemico della Nuova Guinea, della quale popola la porzione meridionale da Mimika alle pendici meridionali del Bosavi.
L'habitat di questi uccelli è rappresentato dalla foresta pluviale tropicale di pianura e pedemontana: essi si spingono anche in ambienti più aperti (purché con sufficiente copertura arborea o arbustiva), come la savana alberata e la boscaglia.
A lungo considerato una sottospecie dell'affine uccello giardiniere mascherato (col quale pure si ibrida nelle piccole aree in cui le due popolazioni vivono in simpatria[3]), le analisi molecolari hanno rivelato che in realtà l'uccello giardiniere fiammante rappresenta a pieno titolo una specie a sé stante[2][4].
L'uccello giardiniere fiammante (Sericulus ardens (d'Albertis & Salvadori, 1879)) è un uccello passeriforme della famiglia Ptilonorhynchidae.
De oranje prieelvogel (Sericulus ardens) is een zangvogel uit de familie Ptilonorhynchidae (prieelvogels).
Deze soort is endemisch in zuidelijk Nieuw-Guinea.
De oranje prieelvogel (Sericulus ardens) is een zangvogel uit de familie Ptilonorhynchidae (prieelvogels).
Flamlövsalsfågel[2] (Sericulus ardens) är en fågel i familjen lövsalsfåglar inom ordningen tättingar.[3] Ofta behandlas den som en underart till svartstrupig lövsalsfågel (S. aureus).[4] Den förekommer på södra Nya Guinea.[3] IUCN kategoriserar den som livskraftig.[1]
Flamlövsalsfågel (Sericulus ardens) är en fågel i familjen lövsalsfåglar inom ordningen tättingar. Ofta behandlas den som en underart till svartstrupig lövsalsfågel (S. aureus). Den förekommer på södra Nya Guinea. IUCN kategoriserar den som livskraftig.