Tephritis est un genre d'insectes diptères. C'est le sixième plus grand genre de Tephritidae avec environ 170 espèces. Bien que le genre soit connu de la plupart des régions zoogéographiques, la majorité des espèces (environ 120) sont paléarctiques.
L'adulte mesure de 3 à 7 mm ; sa tête est rousse ; ses yeux sont verts à reflets pourpré (T. matricariae ou T. nesii) ou bleus (T. pulchra) ; ses antennes sont courtes. Le tégument de son corps est généralement noir ou brun, plus ou moins roussâtre sur les côtés du thorax. Des soies dures ornent le thorax, elles sont de couleurs sombres, noires ou brunes (T. postica) rarement d'un jaune roux (T. formosa). Le corps est couvert d'une villosité blanche, jaune ou noire, fine sur le thorax, plus longue et formée de soies plus épaisses sur l'abdomen. Les pattes sont rousses ou jaunes. La détermination se base sur l'ornementation alaire[1].
La plupart des espèces parasitent les capitules d’Asteraceae et quelques espèces induisent la formation de galles dans les tiges ou les racines de ces mêmes Asteraceae[2].
Selon Fauna Europaea (27 octobre 2018)[3] :
Selon ITIS (27 octobre 2018)[4] :
Selon Paleobiology Database (27 octobre 2018)[5] :
Tephritis est un genre d'insectes diptères. C'est le sixième plus grand genre de Tephritidae avec environ 170 espèces. Bien que le genre soit connu de la plupart des régions zoogéographiques, la majorité des espèces (environ 120) sont paléarctiques.
L'adulte mesure de 3 à 7 mm ; sa tête est rousse ; ses yeux sont verts à reflets pourpré (T. matricariae ou T. nesii) ou bleus (T. pulchra) ; ses antennes sont courtes. Le tégument de son corps est généralement noir ou brun, plus ou moins roussâtre sur les côtés du thorax. Des soies dures ornent le thorax, elles sont de couleurs sombres, noires ou brunes (T. postica) rarement d'un jaune roux (T. formosa). Le corps est couvert d'une villosité blanche, jaune ou noire, fine sur le thorax, plus longue et formée de soies plus épaisses sur l'abdomen. Les pattes sont rousses ou jaunes. La détermination se base sur l'ornementation alaire.
La plupart des espèces parasitent les capitules d’Asteraceae et quelques espèces induisent la formation de galles dans les tiges ou les racines de ces mêmes Asteraceae.