Paspalum conjugatum, l'herbe créole, est une espèce de plantes monocotylédones de la famille des Poaceae, sous-famille des Panicoideae, d'origine obscure mais naturalisées dans toutes les régions tropicales et tempérées chaudes.
Ce sont des plantes herbacées vivaces, stolonifères, aux tiges dressées pouvant atteindre de 30 à 60 cm de long, et aux inflorescences composées de deux racèmes élancés.
C'est une espèce très adaptable à différents types d'habitats, qui est parfois cultivée comme plante fourragère ou qui constitue des pâturages naturels dans certaines régions. Elle est cultivée aussi parfois pour la création de pelouses. Cette espèce est également considérée comme une mauvaise herbe dans certaines cultures, notamment dans les rizières.
L'espèce Paspalum conjugatum a été décrite en premier par le botaniste suédois Peter Jonas Bergius à partir d'un spécimen provenant du Suriname[2] et publiée en 1772 dans Acta Helvetica, Physico-Mathematico-Anatomico-Botanico-Medica (Bâle) 7: 129 (-130; t. 8)[3].
Selon Catalogue of Life (20 mai 2018)[4] :
Selon Tropicos (20 mai 2018)[5] (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) :
Paspalum conjugatum, l'herbe créole, est une espèce de plantes monocotylédones de la famille des Poaceae, sous-famille des Panicoideae, d'origine obscure mais naturalisées dans toutes les régions tropicales et tempérées chaudes.
Ce sont des plantes herbacées vivaces, stolonifères, aux tiges dressées pouvant atteindre de 30 à 60 cm de long, et aux inflorescences composées de deux racèmes élancés.
C'est une espèce très adaptable à différents types d'habitats, qui est parfois cultivée comme plante fourragère ou qui constitue des pâturages naturels dans certaines régions. Elle est cultivée aussi parfois pour la création de pelouses. Cette espèce est également considérée comme une mauvaise herbe dans certaines cultures, notamment dans les rizières.