Borrelia anserina is a helical spirochete bacterium with dimensions around 8-20/0,2-0,3 μm and with five to eight spirals. Their mobility is very high. B. anserina can be colored with the May Grunwald-Giemsa method.[1]
In microbiological laboratories, B. anserina bacteria can be grown on special protein-enriched media (rich in ovoalbumins or animal tissue (that contains myoglobin)), in anaerobic conditions. They can also be grown in embryonic chicken eggs. The laboratory cultivation of B. anserina is rarely done and constitutes a diagnostic method in bird borreliosis and spirochetosis.[1] B. anserina used to be maintained in embryonic chicken eggs or by serial passages in domestic chickens until in 1986 it was discovered that it could be cultivated in Barbour-Stoenner-Kelly (BSK) medium, which facilitated and made future research more cost-effective.
B. anserina is a pathogenic agent for poultry (chickens, turkeys, ducks etc.) and causes a disease called borreliosis or spirochetosis. This bacterium is transmitted from bird to bird by ticks from the Argas and Ornitodorus genera. The major symptoms of an infection with B. anserina are: anemia, diarrhea, and severe neurological dysfunctions.
Borrelia anserina is a helical spirochete bacterium with dimensions around 8-20/0,2-0,3 μm and with five to eight spirals. Their mobility is very high. B. anserina can be colored with the May Grunwald-Giemsa method.
Borrelia anserina es una especie bacteriana perteneciente al filo Spirochaetes que provoca infección en ciertas especies animales, entre otras, la enfermedad aviar denominada espiroquetosis aviar. Algunas características de esta bacteria son: mide 0,2-0,3 x 8-20 μm, presenta 5-8 vueltas, posee filamentos axiales y es muy móvil.
Borrelia anserina solía mantenerse en huevos embrionarios de pollo o por pases en serie en pollos domésticos hasta que en 1986 se descubrió que podía ser cultivada en medio Barbour-Stoenner-Kelly (BSK).[1] Esto facilitó e hizo más costeables las futuras investigaciones aunque el patógeno pierde virulencia después de los 12 pases.[2] El cultivo en laboratorio constituye un método diagnóstico en borreliosis y espirochetosis aviar[3] y, actualmente, B. anserina puede detectarse fácilmente en muestras de sangre mediante la tinción de May-Grünwald Giemsa.
Las células de B. anserina, observadas al microscopio electrónico, presentan flagelos insertados en sus extremos y un citoplasma densamente repleto de ribosomas y estructuras similares al mesosoma. Estas células, en comparación con Borrelia burgdorferi, poseen una longitud de onda más corta y, sin embargo, la membrana externa de ambas aparece cubierta de una capa superficial con una subestructura de estriaciones finas. En comparación con Borrelia recurrentis, las células de B. anserina son más delgadas, menos puntiagudas y contienen flagelos envueltos y en menor número.[4]
Borrelia anserina es la causante de una enfermedad denominada espiroquetosis aviar. Esta afecta a diferentes especies de aves y es transmitida por garrapatas de los géneros Argasidae y Ornithodoros.Es una enfermedad importante en áreas tropicales y subtropicales donde se encuentran estos parásitos, vectores biológicos de la enfermedad. El vector biológico más común es Argas persicus pero otras especies de Argas transmiten la bacteria en diferentes áreas geográficas. En Estados Unidos, por ejemplo, la responsable es Argas sanchezi. Sin embargo, B. anserina no ha sido nunca aislada en aves suecas porque el vector no está presente en el norte de Europa. Existen también otros vectores que pueden transmitir la espiroquetosis a un huésped susceptible como son: piojos, mosquitos y objetos inanimados, siempre y cuando el aparato de perforación esté contaminado con sangre contenedora de Borrelia anserina. La espiroquetosis aviar afecta con mayor severidad a las aves jóvenes y de diferentes especies incluyendo: pollos, pavos, faisanes, patos y gansos, así como aves de caza. El curso de la enfermedad es de una a dos semanas y se puede identificar fácilmente en los estadios primarios por la aparición de una diarrea de excrementos verdes (mayor concentración de uratos). Otros síntomas posteriores de la infección de B. anserina son: anemia, deshidratación, moderado o intenso temblor, rizado de plumas, inactividad, depresión y anorexia. Finalmente, en las etapas terminales de la enfermedad, aparece fiebre y parálisis. Los infectados que sobreviven adquieren inmunidad de por vida.
El diagnóstico de la espiroquetosis aviar se basa en la identificación de Borrelia anserina en sangre. Esto puede llevarse a cabo mediante la tinción de May-Grünwald Giemsa, visualización en microscopio de campo oscuro o PCR. En las aves jóvenes encontramos muchos individuos de patógeno por campo de inmersión y pueden perdurar durante varios días, mientas que en aves adultas se detectan con dificultad y solo se mantiene durante uno o dos días.
Se han descrito otros métodos de diagnóstico como difusión en gel de agar y pruebas serológicas pero su veracidad es cuestionable debido a la gran diversidad de serotipos que existen.[5]
Los antibióticos que incluyen penicilina, estreptomicina, cloranfenicol, tilosina y tetraciclinas son eficaces en el tratamiento de la enfermedad siempre y cuando este se inicie cuando el número de espiroquetas por campo es bajo o moderado. Por el contrario, si la cantidad de bacterias en sangre es muy elevada, la liberación repentina de productos de degradación debida al tratamiento puede resultar en una mortalidad más alta que en animales sin medicar.
La inmunización puede ser otro tratamiento efectivo contra Borrelia anserina, con vacunas inactivadas. Sin embargo, el método más común de prevención de la infección por garrapatas es mediante el uso de ectoparasiticidas.[6]
Borrelia anserina es una especie bacteriana perteneciente al filo Spirochaetes que provoca infección en ciertas especies animales, entre otras, la enfermedad aviar denominada espiroquetosis aviar. Algunas características de esta bacteria son: mide 0,2-0,3 x 8-20 μm, presenta 5-8 vueltas, posee filamentos axiales y es muy móvil.
Borrelia anserina est l'une des nombreuses espèces de borrélies (genre de bactéries spirochètes) qui peuvent infecter diverses espèces de vertébrés et d'invertébrés (tiques en particulier).
Parmi une trentaine de borrélies connues, elle ne fait pas partie des quatre espèces les plus susceptibles d'infecter l'Homme en provoquant une des variantes de la maladie de Lyme, mais elle est pathogène pour l'homme.
Il est possiblement fréquent que des co-infections puissent associer cette bactérie à une autre borrelie, voire à d'autres pathogène véhiculés par le vecteur qui semble dans la plupart des cas être une tique, ce qui peut compliquer le diagnostic, et le traitement.
Attention, l'expression Borrelia burgdorferi désigne parfois tout le complexe bactérien des borrelias (une trentaine de bactéries du genre Borrelia, dont quatre au moins sont pathogènes pour l'homme (et responsable de différentes formes de la maladie de Lyme). En théorie, pour éviter toute confusion, il faut dans ce cas parler de Borrelia burgdorferi ls (ls ou lato sensu signifiant « au sens large » en latin). Ceci est dû au fait que la première de ces bactéries découverte était B burgdorferi qui prédomine très largement aux tats-Unis, alors que Borrelia afzelii prédomine en Asie, et semble localement fréquente en Europe de l'Ouest (Dans la Meuse en France par exemple), au moins depuis deux décennies.
Dans ce complexe, outre B. afzelli 3 espèces de borrélies pathogènes pour l'homme sont plus fréquentes :
Toutes ces bactéries sont transmises à l'homme par l'intermédiaire de tiques vectrices de différentes espèces, mais on se demande si d'autres acariens ou insectes piqueurs ne pourraient pas également transmettre ces borrelies à l'Homme. Un patient peut être piqué dans un pays, et déclarer la maladie, quelques semaines à plusieurs années après dans un autre pays, sur un autre continent.
B. anserina est pathogène pour les oiseaux, y compris domestiques (poulets, dindes, canards, etc.) qui développement des borrelioses ou spirochetoses. Cette bactérie est transmise aux oiseaux par des tiques du genre Argas et Ornithodoros. Il n'est pas exclus que d'autres insectes piqueurs (poux, puces, punaises ou moustiques puissent aussi véhiculer des borrélies chez les oiseaux, mais dans une proportion a priori plus faible. Chez l'oiseau, les symptômes les plus visible sont l'anémie, des diarrhées et des troubles neurologiques graves.
Après la phase d'infection, lors de la phase chronique d'infection, la bactérie se multiplie peu, est capable d'échapper au système immunitaire (en distançant les globules blancs) ou en s'enkystant avant de créer un nouveau foyer d'infection dans un autre organe quelques mois ou années plus tard.
Le test de dépistage est souvent immunoenzymatique (méthode considérée comme plus fiable que les dépistages par immunofluorescence indirecte ou hémagglutination indirecte ; les deux dernières méthodes étant jugées d'interprétation plus subjective[2]). Le premier test est donc généralement un test Elisa (rapide et peu couteux), mais avec de faux-négatifs ou de faux-positifs possibles.
Le test de confirmation est le plus souvent un Western Blot, si possible effectué sur un sérum frais, sinon sur un plasma frais, clair et sans hémolyse.
Ce test est plus spécifique et sensible que les tests de dépistages, mais plus long dans sa mise en œuvre. Si les bandelettes sont illisibles mais que les symptômes persistent, un second test doit être fait dans les semaines qui suivent.
Théoriquement, les Western blot aujourd'hui mis sur le marché doivent détecter des protéines communes à différentes borrélies impliquée dans les borrélioses.
La notice des tests précise cependant généralement que « Une interprétation négative n'exclut pas la possibilité d'une infection à borrelia » [3]. Des faux positifs sont par ailleurs possible si le malade a été infecté ou co-infecté par d'autres spirochètes (ex : Syphilis, Pian, Pinta, Leptospirose, autres borrélioses, maladies parodontales...) ou à la suite d'autres infections telles que fièvre pourpre des Montagnes Rocheuses, virus d'Zpstein-Barr ou cytomégalovirus dont les anticoprs ont une réaction croisée avec B afzelii ou garinii. Des maladies autoimmunes des tissus conjonctifs comme la polyarthrite rhumatoïde ou certaines formes de lupus érythémateux peuvent aussi produire des faux positif, comme d'ailleurs des sujets produisant des anticorps antinucléaires.
Une PCR (qui détecte l'ADN de la borrélie, après amplification de ce dernier et grâce à une « sonde » spécifique) est également possible (sur prélèvement de liquide cérébrospinal ou synovial en général). Enfin, une culture directe des spirochètes peut être faite (mais si elle démontre la présence du spirochète, elle n'en établit pas l'espèce.
Il vise à vérifier qu'il ne s'agit pas d'un polyarthrite juvénile, d'un lupus, d'une sclérose en plaques, d'un rhumatisme articulaire aigu, d'un syndrome oculo-urétro-synovial, d'une myocardite ou d'une méningite virale, etc.
Borrelia anserina est l'une des nombreuses espèces de borrélies (genre de bactéries spirochètes) qui peuvent infecter diverses espèces de vertébrés et d'invertébrés (tiques en particulier).
Parmi une trentaine de borrélies connues, elle ne fait pas partie des quatre espèces les plus susceptibles d'infecter l'Homme en provoquant une des variantes de la maladie de Lyme, mais elle est pathogène pour l'homme.
Il est possiblement fréquent que des co-infections puissent associer cette bactérie à une autre borrelie, voire à d'autres pathogène véhiculés par le vecteur qui semble dans la plupart des cas être une tique, ce qui peut compliquer le diagnostic, et le traitement.