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Pelvetia canaliculata je běžná hnědá řasa (tedy chaluha), která se vyskytuje na skalnatých pobřežích Evropy, od Islandu po Portugalsko. Dosahuje délky maximálně 15 cm. Potřebuje být určitou část dne na vzduchu, někdy proto dokonce vystupuje až k místu, kde začínají růst krytosemenné rostliny jako trávy. Dlouhou časovou periodu ve vodě totiž nesnáší.
V tomto článku byl použit překlad textu z článku Pelvetia canaliculata na anglické Wikipedii.
Pelvetia canaliculata je běžná hnědá řasa (tedy chaluha), která se vyskytuje na skalnatých pobřežích Evropy, od Islandu po Portugalsko. Dosahuje délky maximálně 15 cm. Potřebuje být určitou část dne na vzduchu, někdy proto dokonce vystupuje až k místu, kde začínají růst krytosemenné rostliny jako trávy. Dlouhou časovou periodu ve vodě totiž nesnáší.
Der Rinnentang (Pelvetia canaliculata) ist ein mehrjähriger und sehr langsamwüchsiger Seetang aus der Gruppe der Braunalgen. Er ist im Nordost-Atlantik verbreitet.
Der Rinnentang ist mit einer Haftscheibe auf dem Untergrund verankert. Er hat einen büscheligen, fest-fleischigen Thallus von acht bis fünfzehn Zentimetern Länge, der sich mehrfach gabelig verzweigt. Die Gabelzweige sind bandartig schmal, ihre Breite beträgt nur drei bis fünf Millimeter. Die Ränder sind etwas eingefaltet, so dass auf der Unterseite eine Rinne geformt wird, in der sich bei Niedrigwasser die Feuchtigkeit hält.[1] Der Thallus besitzt weder eine Mittelrippe noch Schwimmblasen oder Haargrübchen. Die Farbe des Tangs ist gelbbraun bis olivbraun, beim Trocknen oft schwarz werdend.[1]
An den Thallusenden entstehen zur Fortpflanzungsreife zahlreiche schmal-längliche, warzige Rezeptakeln mit einer Länge von 1 bis 3 cm, die manchmal gabelig geteilt sein können. Als Vertreter der Fucales ist der Rinnentang ein Diplont ohne Generationswechsel.
Der Rinnentang ist gewöhnlich mit einem Pilz infiziert, der den Tang vermutlich dabei unterstützt, in der obersten Gezeitenzone zu überleben.[1]
Der Rinnentang ist im östlichen Nordatlantik von Norwegen und Island bis Portugal weit verbreitet. Obwohl er auch in der Nordsee[2] und Ostsee vorkommt, wurde er bei Helgoland bislang nicht gefunden.[3]
Er bildet große Bestände an Felsen in der obersten Gezeitenzone, oft auch an der Brandung ausgesetzten Stellen. Er kann bis in die Spritzwasserzone vordringen.
Die Erstbeschreibung des Rinnentangs erfolgte 1767 durch Carl von Linné unter dem Namen Fucus canaliculatus (in: Systema naturae, Band 2, S. 716). Joseph Decaisne und Gustave Adolphe Thuret stellten die Art 1845 in die Gattung Pelvetia (in: Annales des Sciences Naturelles, Botanique, Troisième série 3, S. 13).[2]
Synonyme für Pelvetia canaliculata (L.) Decne. & Thur. sind Ascophylla canaliculata (L.) Kuntze, Ascophyllum canaliculatum (L.) Kuntze, Fucodium canaliculatum (L.) J. Agardh, Fucus canaliculatus L., Fucus excisus L. und Halidrys canaliculata (L.) Stackh..[2]
Der Rinnentang (Pelvetia canaliculata) ist ein mehrjähriger und sehr langsamwüchsiger Seetang aus der Gruppe der Braunalgen. Er ist im Nordost-Atlantik verbreitet.
'S e an fheamainn chìrean no an fheamainn chìreanach (fucus canaliculatus [1] neo Pelvetia canaliculata [2]) tè a b' fhaisge do thìr. 'S e feamainn ghoirid, dhosach mhìn mheanbh a th' innte.
'S ann a bhathas a' buain na feamainn seo dha na beathaichean, dhan a' chrodh, agus a' dèanamh slaopadh oirre. Bhathas ga cur ann an soitheach domhainn agus a' dòrtadh bùrn goileach oirre agus a' cur rud air a h-uachdar.
'S e an fheamainn chìrean no an fheamainn chìreanach (fucus canaliculatus neo Pelvetia canaliculata ) tè a b' fhaisge do thìr. 'S e feamainn ghoirid, dhosach mhìn mheanbh a th' innte.
Pelvetia canaliculata es un alga de la clase Phaeophyceae (algas pardas) muy común en la zona intermareal de las costas rocosas de Europa.
Pelvetia es de color marrón oscuro y crece hasta una longitud máxima de 15 cm en densos mechones, las frondas están profundamente canalizadas por un lado: estos canales y una capa mucosa ayudan a prevenir que las algas no se sequen cuando la marea baja. Esta ramificada irregular y dicotómicamente, teniendo cada rama un ancho uniforme, sin nervadura central.[1]
Los órganos reproductivos forman receptáculos hinchados, de forma irregular, al final de las ramas. Los conceptáculos son hermafroditas y se encuentran dentro de los receptáculos.
Se encuentra en la zona litoral superior sobre o por encima de la marca de agua, a veces tan arriba que crece junto a hierba gruesa y otras angiospermas.[2] Tolera un amplio rango de condiciones de exposición.[3] Precisa de períodos de exposición al aire y si es sumergida durante más de seis horas de cada doce comienza a decaer.[4]
Pelvetia canaliculata es común en las costas atlánticas de Europa desde Islandia a España, incluyendo Noruega, Irlanda, Gran Bretaña, Holanda, Francia y Portugal. [5]
Pelvetia canaliculata es un alga de la clase Phaeophyceae (algas pardas) muy común en la zona intermareal de las costas rocosas de Europa.
La Pelvétie, Pelvetia canaliculata, est une espèce d'algues brunes, de la famille des Fucaceae.
Cette algue brune se présente sous forme de touffes pérennes (avec un cycle de vie d'environ 4 ans[1]) caractérisées par un thalle parenchymateux imberbe et lisse fixé au substrat par un disque coriace et lisse, qui donne naissance à des frondes vert olive[2], noires[3] à la dessiccation (en raison de sa position élevée sur l'estran, l'algue forme des champs de goémon noir qui survivent à des périodes d'exondation de plus d'une semaine lors des marées de morte-eau, au point de devenir cassante, mais elle ne meurt pas) ou claires lorsque l'algue est hydratée[4]. Les frondes forment des lanières dichotomes coriaces épaisses et charnues, larges de 0,5 à 1 cm et longues de 10 à 15 cm, sans nervure médiane. Leurs rebords, incurvés en forme de gouttière presque depuis la base, forment un canal sur la face inférieure (du côté du rocher), contribuent avec le mucilage hydrosoluble de la paroi des thalles, à retenir temporairement l'eau à marée descendante (d'où le nom vernaculaire d'algue à gouttière ou pelvétie cannelée, en référence à l'épithète spécifique canaliculata qui signifie « petit canal »)[5]. Elles n'ont pas de vésicules renflées comme flotteurs. À l'extrémité des rameaux se trouvent les réceptacles, organes reproducteurs plus ou moins cylindriques en forme de renflements irréguliers nettement verruqueux (en raison de la grande taille des conceptacles bisexués dont l'ostiole est bien visible). Les organes de 1 à 2 cm de longueur de cette espèce monoïque qui forment une fourche dichotome de couleur jaune brunâtre, se développent au printemps et en été[6].
Cette espèce peut développer une symbiose étroite avec une espèce de champignon Mycophycias ascophylli, dite « mycophycobiose »[7]. Cette association peut évoquer, le lichen mais est d'un type inverse : le partenaire algal y est pluricellulaire et il forme la structure externe de l'organisation symbiotique. Ce même champignon peut aussi s'associer au Goémon noir[7].
Par ailleurs, P. canaliculata est l'hôte exclusif d'un lichen marin, Collemopsidium pelvetiae, lui-même associé à une cyanobactérie du genre Hyella[8].
Épilithe de l'étage supra-littoral et de la partie supérieure de l'étage médio-littoral, sa distribution est la suivante : océan Atlantique Nord-Est (de l'océan Arctique à la péninsule Ibérique, en Manche et mer du Nord).
En France cette algue se rencontre sur les côtes de la Manche et de l'océan Atlantique où elle peut tolérer un mode ultra-abrité (dans ce cas, elle se développe sur des encroûtements d'algues rouges non calcifiées (en) ou de lichens noirs sur des rivages modérément abrités) à semi-battu (dans ce dernier cas, elle développe des thalles plus petits et moins fragiles). Elle est absente en Méditerranée. C'est l’algue que l'on trouve le plus haut sur la zone intertidale, entre les niveaux des hautes mers de vives-eaux et des pleines mers de mortes-eaux. Espèce eurytherme et euryhaline, elle constitue une ceinture plus ou moins étroite au-dessus de celle à Fucus spiralis et est occasionnellement associée à l'algue rouge Catenella caespitosa (en), espèce sciaphile qui forme à son pied des gazons courts mếlés de Gelidiales et pouvant atteindre plusieurs décimètres carré[9].
Ceintures exondées de Pelvetia canaliculata (haut) et de Fucus spiralis (bas) en haut de la zone de balancement des marées. Roscoff, Bretagne.
Pelvetia canaliculata entre les niveaux des hautes mers de vives eaux et des hautes mers de mortes eaux.
Habituellement, la ceinture que forme la Pelvétie est plutôt étroite et ses limites sont généralement assez nettes.
Algue comestible à la saveur fade, mucilagineuse et salée, elle se récolte à la fin du printemps, période à laquelle les jeunes frondes et les extrémités en croissance sont suffisamment tendres pour pouvoir être cuites à la vapeur (cette cuisson qui détruit les facteurs antinutritionnels — phlorotanins, fibres — leur permet de donner une saveur forte particulière à d'autres aliments tels que les fruits de mer), bouillies (blanchiment dans de l'eau bouillante) ou frites. Consommée en petite quantité[10], elle peut être aussi séchée pour être intégrée dans des infusions de thé ou des poudres pour assaisonnement[11].
Elle est aussi utilisée en complément des régimes amaigrissants (grâce à sa richesse en fibres créant une sensation de satiété, et en iode qui contribue à la production normale d'hormones thyroïdiennes accélérant le métabolisme basal, la thermogenèse et stimulant la lipolyse)[12]. Les laboratoires de produits cosmétiques et cosméceutiques (en), grâce à des campagnes de celebrity marketing et des tests d'usage par des consommateurs[13] plus subjectifs que les évaluations scientifiques statistiquement valides[14], revendiquent ses effets reminéralisants, tonifiants (en)[15], hydratants et émollients utilisés dans des soins du corps (en) et du visage[12]. Plusieurs recherches, notamment celles menées par la société Secma Biotechnologies, ont permis de découvrir dans cette algue un composé bioactif baptisé « pelvetiane ». Appliqué sur la peau, ce composé mimerait les actions de la DHEA, hormone qui lutte contre les effets du vieillissement cutané, en exerçant plusieurs fonctions similaires (augmentation de la croissance cellulaire, stimulation des protéines cutanées et de protection contre le stress oxydant dû à l'augmentation des radicaux libres sous l'effet d'un environnement nuisible, pollution, UV, déshydratation…)[16].
La Pelvétie, Pelvetia canaliculata, est une espèce d'algues brunes, de la famille des Fucaceae.
Pelvetia canaliculata je vrsta smeđe alge iz porodice Fucaceae. Živi na stjenovitim obalama Europe. Prije se navodila kao jedina je vrsta monotipskog roda Pelvetia.[1][2], druga vrsta je Pelvetia calaliculata[3]
Pelvetia raste do najviše veličine 15 centimetara. Raste u obliku gustih niti omotanih sluzavim omotačom koji ih štiti od isušivanja za vrijeme morskih mijena. Tamno-smeđe je boje. Pelvetia je hermafroditska alga. Reproduktivni organi nalaze se na kraju grana, te su natečeni.
Pelvetia canaliculata je udomaćena na atlantskim obalama Europe od Islanda do Španjolske, ukljućujući Norvešku, Irsku, Veliku Britaniju, Nizozemsku, Francusku i Portugal.[4]
Pelvetia canaliculata je vrsta smeđe alge iz porodice Fucaceae. Živi na stjenovitim obalama Europe. Prije se navodila kao jedina je vrsta monotipskog roda Pelvetia., druga vrsta je Pelvetia calaliculata
Dvergþang (fræðiheiti: Pelvetia canaliculata) einnig nefnt dveraþang er brúnþörungur af þangætt (Fucaceae).
Dvergþang er útbreitt við strendur Evrópu frá norður Noregi allt til Portúgals en það vex ekki vestanmegin Atlantshafsins við Norður-Ameríku. Við Ísland vex það aðeins þar sem sjór er sæmilega hlýr, við Suðvestur- og Vesturland í skjólgóðum hnullunga-og klapparfjörum. Einnig finnst það stundum í jarðvegi á sjáfarfitjum innan um annað gras.
Dvergþangið þolir ekki að vera samfelt of lengi á kafi í sjó en þolir aftur á móti vel þurrk, getur verið á þurru allt að þremur vikum. Það velur sér því klappir og steina efst í efsta þangbeltinu, klapparþangbeltinu, næst fyrir neðan fjörusvertubeltið í fjörunni.
Dvergþang er smávaxið, um 5 til 10 cm hátt, ljósbrúnt á litin eða gulleitt. Greinarnar eru eins til fjögurra mm breiðar, rennulaga og hafa enga miðtaugar, engan stilk og kvíslgreinast þær. Kynbeð eru gul og vörtótt á endum greina. Dvergþang festir sig við fast botnlag eins og steina og klappir með lítilli skífulaga festu. Það er talið að dvergþangið geti orðið um 4 ára gamalt.
Dvergþang (fræðiheiti: Pelvetia canaliculata) einnig nefnt dveraþang er brúnþörungur af þangætt (Fucaceae).
Sauetang (Pelvetia canaliculata) er ei vanleg brunalge på berg langs strandlinene i Europa.
1-3 dm høg brunalge med 1-3 mm breie gaffelgreina skot, som manglar midtnerve og blærer, og som særleg kan kjennast på dei innrulla kantane. Formeiringsorgana vert utvikla i greinspissane. Dei er ovale og opp til 3 cm lange, og førekjem heile året, men mest sommar og haust. Hann- og hoorgana finst på same plante.
Arten er vanleg på den europeiske atlanterhavskysten frå Island til Spania, medrekna Noreg, dei britiske øyane, Nederland, Frankrike og Portugal. I Irland har innsamling av planta vore ei matkjelde i tider med hungersnaud.
Tangen veks på berggrunn og så høgt i fjøra at han er turrlagd ein stor del av tida. Han finst frå Stavangertraktene til Finnmark.
