In Panama this species is common under rocks and wedged within branching coral heads on Caribbean reefs. It has been collected from Portobelo (USNM E 11403), Galeta Island (USNM E 25672), Sail Rock, Colon (USNM E 18743),Margarita Island, Fort Randolph (USNM E 18754), Devils Beach, Fort Sherman (USNM E 30803), near the mouth of the Piedras River (USNM E 18696), Fox Bay, Colon (USNM E 4801), Miria Island, San Blas (USNM E 18754), Pico Feo Island, San Blas (USNM E 18776), and Corgetupo Island, San Blas (USNM E 18802), Caribbean Sea.
Mortensen T. (1928b): A monograph of the Echinoidea. Vol.1 Cidaroidea. C.A. Reitzel, Copenhagen: 1-551, pages: 400-408.
LSID urn:lsid:marinespecies.org:taxname:396741Cidaris (Gymnocidaris) tribuloides (Lamarck, 1816) (transferred to Eucidaris)
Cidaris annulata Gray, 1855 (subjective junior synonym)
Cidaris minor Koehler, 1908 (subjective junior synonym)
Cidaris tribuloides (Lamarck, 1816) (transferred to Eucidaris)
Cidarites tribuloides Lamarck, 1816 (transferred to Eucidaris)
Eucidaris tribuloides, the slate pencil urchin, is a species of cidaroid sea urchins that inhabits littoral regions of the Atlantic Ocean. As a member of the basal echinoid order Cidaroida, its morphological, developmental and molecular genetic characteristics make it a phylogenetically interesting species.[2]
Eucidaris tribuloides was first described and classified by Jean Baptiste Lamarck in 1816 as Cidarites tribuloides.[3]
The modern classification stems from the echinoid treatises by Pomel in 1883[4] and by Döderlein in 1887.[5]
The slate pencil urchin can be found on both sides of the Atlantic, and throughout the Caribbean.[6] On the western side of the Atlantic, the slate pencil urchin has been found as far north as Cape Hatteras, North Carolina,[7] and as far south as Rio de Janeiro.[8] In the Gulf of Mexico, populations have been reported at Alacran Reef, Campeche Bank.[9] On the eastern side of the Atlantic, a closely related sub-species, Eucidaris tribuloides var. africana, has been reported at Cape Verde Islands, in the Gulf of Guinea, and at the Azores and Ascension Islands.[10]
E. tribuloides has become an invasive species in some parts of the world including Maltese waters where it has been since 1998. This was the first record in the Mediterranean and is thought to have been brought there in ballast water.[11]
McPherson[6] described E. tribuloides as a "sluggish echinoid" that leads a nocturnal, benthic existence. During daylight hours, the slate pencil urchin uses its large primary spines to anchor itself under or atop rocks or to lodge itself in crevices. Individuals rarely stray far from their locality.[6] At night, they will feed primarily on corals and sponges, among other things.[12]
When its development is contrasted to the cidaroid sister subclass Euechinoidea, E. tribuloides becomes a very interesting organism from the standpoint of developmental and evolutionary biology. In euechinoid embryonic development, e.g. in the purple sea urchin, the micromeres comprise a set of four small cells that reside at the base of the vegetal plate. They are a "precociously invaginating lineage", meaning that they move into the blastocoel just prior to gastrulation; these four cells then eventually give rise to the larval skeleton.[13][14][15] Similarly, E. tribuloides also possesses a larval skeleton that arises from a special lineage of cells. In contrast, however, the number and size of its micromeres can vary (from one to three), and they do not precociously invaginate; rather, they ingress during gastrulation and bud off from the tip of the growing archenteron.[2][16] Although there are numerous molecular differences between the "spicule-forming cells" of E. tribuloides and the primary mesencyhme cells of euechinoids, these two cell lineages are thought to be homologous and have been contrasted in developmental evolution research.[17][18][19]
Reproduction in E. tribuloides seems to be sensitive to seasonal cycles, solar cycles, and the lunar cycle. In the Florida Keys, E. tribuloides was found to obtain peak gravidity in the late summer and early fall.[6] Populations in Panama, however, were found to be gravid in the spring, summer and fall, with peak gravidity occurring around the full moon.[20]
Eucidaris tribuloides, the slate pencil urchin, is a species of cidaroid sea urchins that inhabits littoral regions of the Atlantic Ocean. As a member of the basal echinoid order Cidaroida, its morphological, developmental and molecular genetic characteristics make it a phylogenetically interesting species.
A specimen at the National Aquarium in Baltimore.oursin-lance antillais, oursin-crayon gris
L’'oursin-lance antillais ou oursin-crayon gris (Eucidaris tribuloides) est une espèce d'oursin de la famille des Cidaridés vivant dans les Caraïbes.
C'est un oursin régulier sphérique. La coquille (appelée « test ») peut mesurer jusqu'à 6 cm de diamètre, autour de laquelle rayonnent des piquants (appelées « radioles ») robustes[1]. Le genre est aisément reconnaissable à ses grosses radioles primaires : celles-ci sont alignées en cinq doubles rangées verticales, très épaisses, parfois annelées de couleur plus claire et montées sur de gros mamelons. Ces radioles primaires servent surtout à la défense et au camouflage, et sont épaisses mais peu nombreuses (l'oursin peut les régénérer si nécessaire[1]) ; elles sont tronquées à leur pointe (leur section forme un petit soleil) et généralement recouvertes d'épibiontes (algues, corallinales...), car contrairement à la plupart des oursins le squelette de calcite y est à nu, sans épithélium. Le test et la base des radioles primaires sont protégés par un second type de radioles beaucoup plus petites et plates, le plus souvent blanc sale à bords brun-orangé et formant des sortes de gouttières le long des aires ambulacraires. Au sommet du test, le système apical très large et orange pâle est composé d'une plaque centrale (le périprocte, qui contient l'anus) et de cinq plaques terminales disposées en étoile grossière (une plaque madréporitique et quatre plaques génitales)[1].
Cet oursin ressemble beaucoup à son cousin du Pacifique, Eucidaris thouarsii, ainsi qu'à son voisin Stylocidaris affinis.
Spécimen de l'aquarium de Baltimore.
On trouve l'oursin-lance dans tout l'Atlantique Ouest tropical, du nord du Brésil à la Caroline du Sud et dans toutes les Caraïbes. La sous-espèce Eucidaris tribuloides africana peuple quant à elle certaines zones d'Afrique de l'Ouest, notamment dans le golfe de Guinée et au Cap-Vert.
Il se rencontre dans les écosystèmes coralliens, que ce soit sur les récifs, les fonds rocheux ou les herbiers. Il peut vivre de la surface à plus de 600 m de fond[1].
Crépusculaire et nocturne, cet oursin vit le jour enfoui dans une cavité, à l'abri des prédateurs. Il en sort de la nuit pour se nourrir, en broutant le substrat avec son puissant appareil masticateur (appelé « lanterne d'Aristote »). Omnivore et détritivore, il broute principalement des algues mais ne néglige pas un régime carné à base de charognes et d'animaux sessiles comme des éponges, des cnidaires ou même des mollusques[1].
La reproduction est gonochorique, et mâles et femelles relâchent leurs gamètes en même temps en pleine eau, où œufs puis larves vont évoluer parmi le plancton pendant quelques semaines avant de se fixer[1].
Contrairement à la plupart de ses congénères, cet oursin ne présente pas de danger pour l'homme vu que ses piquants ne sont pas pointus. Par ailleurs, ses mœurs cryptiques et ses couleurs vives limitent les risques de marcher dessus par inadvertance. Il n'est d'aucune valeur commerciale, et ne semble consommé dans aucun pays de son aire de répartition[1].
Son nom français lui vient de la forme de ses radioles, qui rappelle celle d'une lance, et de son aire de répartition (il est courant aux Antilles). On l'appelle aussi parfois « oursin-crayon gris », pour le distinguer d'avec l'oursin-crayon Heterocentrotus mammillatus.
Son nom scientifique vient tout d'abord du grec pour le nom du genre : eu - kidaris signifie « vraie couronne » (le terme cidaris désignait la couronne des rois perses, le préfixe étant surtout un diacritique pour la taxonomie). Le nom d'espèce vient pour sa part du latin tribulus, qui désigne un fruit épineux, la Mâcre nageante[1].
Dans les autres langues, il est appelé « Slate pencil urchin », « mine urchin » ou « club urchin » en anglais, « Erizo de palitos » ou « erizo de clavos » en espagnol, et « Griffel-Seeigel » ou « Lanzenseeigel » en allemand.
oursin-lance antillais, oursin-crayon gris
L’'oursin-lance antillais ou oursin-crayon gris (Eucidaris tribuloides) est une espèce d'oursin de la famille des Cidaridés vivant dans les Caraïbes.
Eucidaris tribuloides is een zee-egel uit de familie Cidaridae.
De wetenschappelijke naam van de soort werd in 1816 gepubliceerd door Jean-Baptiste de Lamarck.
Bronnen, noten en/of referenties石筆海膽(學名Eucidaris tribuloides)是一種頭帕科海膽。其型態、發育及分子遺傳特徵都令它們成為一種有趣的物種。[1]
石筆海膽最初是由讓-巴普蒂斯特·拉馬克(Jean Baptiste Lamarck)所命名。[2]
石筆海膽分佈大西洋兩岸,由西邊的美國至巴西至東邊的毛里塔尼亞至加蓬,位於大西洋洋中脊及整個加勒比海。[3]在大西洋西邊,它們分佈北至哈特拉斯角(Cape Hatteras)[4]及南至里約熱內盧。[5]它們也有分佈在墨西哥灣的阿拉克蘭礁(Alacran Reef)。[6]在大西洋東邊的佛得角、幾內亞灣、亞速爾群島及阿森松島有石筆海膽變種的Eucidaris tribuloides var. africana出沒。[7]
石筆海膽是夜間活動及底棲的。[3]在日間,它們會用其大刺將自己牢牢的掛在石上或石縫間。它們很少會遠離自己的地方。[3]夜間,它們主要吃珊瑚及海綿。[8]
台灣南部珊瑚礁海岸偶可發現的石筆海膽,正處於瀕臨絕種危機。[9]
石筆海膽的繁殖對於季節轉變及月相都十分敏感。在佛羅里達礁島群,它們於夏末及初冬的繁殖率最高。[3]在巴拿馬的群落則會於春天、夏天及冬天進行繁殖,約於滿月的時份達至最高峰。[10]