Geodia is 'n genus van sponse uit die familie van die Demospongiae (gewone sponse).
Geodia is 'n genus van sponse uit die familie van die Demospongiae (gewone sponse).
Geodia és un gènere de esponges de la família dels geòdids i de l'ordre Tetractinellida.
Geodia is a genus of sea sponge belonging to the family Geodiidae. It is the type genus of its taxonomic family.[2]
This genus is characterized by a high density of siliceous spicules. Members of this genus are known to be eaten by hawksbill turtles.[3]
Geodia is a genus of sea sponge belonging to the family Geodiidae. It is the type genus of its taxonomic family.
This genus is characterized by a high density of siliceous spicules. Members of this genus are known to be eaten by hawksbill turtles.
Geodia es un género de esponja de mar que pertenece a la familia Geodiidae. Es el género tipo de su familia taxonómica[2] y está caracterizado por tener una alta densidad de silicio en sus espículas. Se conocen por ser el alimento de las tortugas carey.[3]
Geodia es un género de esponja de mar que pertenece a la familia Geodiidae. Es el género tipo de su familia taxonómica y está caracterizado por tener una alta densidad de silicio en sus espículas. Se conocen por ser el alimento de las tortugas carey.
Les Geodia Écouter forment un genre d'éponge siliceuse regroupant plus de 160 espèces[1]. Les Geodia ont une répartition géographique quasi-mondiale (elles sont absentes en Antarctique), et sont présentes depuis les eaux littorales jusqu'aux profondeurs bathyales. Geodia est traditionnellement caractérisé par la présence de microsclères (micro-spicules) en forme de boule appelés sterrasters. Ceux-ci forment la couche interne du cortex (endocortex). La couche externe de l'éponge (ectocortex) est formé par une autre catégorie d' euasters: strongylasters, spherasters, oxyasters etc. Bien souvent, d'autres catégories d' euasters sont présents dans le choanosome. C'est souvent la morphologie des microsclères (taille et forme) qui permet d'identifier les différentes espèces. D'autre part, comme chez les autres Astrophorida, les Geodia ont des megasclères (macro-spicules) à quatre branches appelés triaenes. Ces triaenes ont été perdus chez quelques espèces de Geodia, autrefois réunis dans le genre Geodinella Lendenfeld, 1903 (ex:G. robusta, G. spherastrosa, G. hyotania).
Des études phylogénétiques moléculaires ont montré que les sterrasters ont été perdus plusieurs fois au cours de l'évolution[2].
Des analyses phylogénétiques moléculaires ont montré que les genres Isops Sollas, 1880 et Sidonops Sollas, 1889 sont synonymes de Geodia[3]. De plus, depuis Morrow & Cárdenas (2015), Astrophorida n'est plus accepté comme un ordre et est devenu un sous-ordre de Tetractinellida, auquel le genre Geodia est donc désormais rattaché[4].
Les Geodia tropicales peuvent être consommées par les tortues imbriquées[5].
L'espèce la plus commune en Méditerranée est Geodia cydonium.
Les Geodia Écouter forment un genre d'éponge siliceuse regroupant plus de 160 espèces. Les Geodia ont une répartition géographique quasi-mondiale (elles sont absentes en Antarctique), et sont présentes depuis les eaux littorales jusqu'aux profondeurs bathyales. Geodia est traditionnellement caractérisé par la présence de microsclères (micro-spicules) en forme de boule appelés sterrasters. Ceux-ci forment la couche interne du cortex (endocortex). La couche externe de l'éponge (ectocortex) est formé par une autre catégorie d' euasters: strongylasters, spherasters, oxyasters etc. Bien souvent, d'autres catégories d' euasters sont présents dans le choanosome. C'est souvent la morphologie des microsclères (taille et forme) qui permet d'identifier les différentes espèces. D'autre part, comme chez les autres Astrophorida, les Geodia ont des megasclères (macro-spicules) à quatre branches appelés triaenes. Ces triaenes ont été perdus chez quelques espèces de Geodia, autrefois réunis dans le genre Geodinella Lendenfeld, 1903 (ex:G. robusta, G. spherastrosa, G. hyotania).
Des études phylogénétiques moléculaires ont montré que les sterrasters ont été perdus plusieurs fois au cours de l'évolution.
Des analyses phylogénétiques moléculaires ont montré que les genres Isops Sollas, 1880 et Sidonops Sollas, 1889 sont synonymes de Geodia. De plus, depuis Morrow & Cárdenas (2015), Astrophorida n'est plus accepté comme un ordre et est devenu un sous-ordre de Tetractinellida, auquel le genre Geodia est donc désormais rattaché.
Les Geodia tropicales peuvent être consommées par les tortues imbriquées.
L'espèce la plus commune en Méditerranée est Geodia cydonium.
Geodia é un xénero de esponxas mariñas que pertencen á familia Geodiidae, da cal é o xénero tipo.[2]
Este xénero está caracterizado por ter unha alta densidade de espículas silíceas. Os membros deste xénero serven de alimento ás tartarugas mariñas carei.[3]
Geodia é un xénero de esponxas mariñas que pertencen á familia Geodiidae, da cal é o xénero tipo.
Este xénero está caracterizado por ter unha alta densidade de espículas silíceas. Os membros deste xénero serven de alimento ás tartarugas mariñas carei.
Geodia adalah genus spons laut yang masuk dalam keluarga Geodiidae. Ini adalah jenis genus dari taksonomi keluarganya.[2]
Anggota-anggota dari genus ini diketahui adalah makanan dari penyu sisik.[3]
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(bantuan) Geodia adalah genus spons laut yang masuk dalam keluarga Geodiidae. Ini adalah jenis genus dari taksonomi keluarganya.
Anggota-anggota dari genus ini diketahui adalah makanan dari penyu sisik.
Geodia is een geslacht van sponzen uit de familie van de gewone sponzen (Demospongiae).
Geodia is een geslacht van sponzen uit de familie van de gewone sponzen (Demospongiae).
Geodia é um gênero de esponja marinha da família Geodiidae.