Ammocrypta pellucida és una espècie de peix de la família dels pèrcids i de l'ordre dels perciformes present a Amèrica del Nord.[2] Els mascles poden assolir els 8,4 cm de longitud total.[2]
Ammocrypta pellucida és una espècie de peix de la família dels pèrcids i de l'ordre dels perciformes present a Amèrica del Nord. Els mascles poden assolir els 8,4 cm de longitud total.
The eastern sand darter (Ammocrypta pellucida) is a species of freshwater ray-finned fish, a darter from the subfamily Etheostomatinae, part of the family Percidae, which also contains the perches, ruffes and pikeperches. The eastern sand darter is a relatively small fish, most plentiful in the Mississippi and Ohio Rivers, as well as Lake Champlain and the Great Lakes. It prefers sandy-bottomed streams and sandy shoals in the lakes.[3] The eastern sand darter feeds on larvae of black flies and other small insects in the water. They also feed on zooplankton in small portions since their small mouth size limits their gape ability.[4] Its average body size is around 1.5-2 in long, and it breeds in the spring and summer in sandy-bottomed waters.[5]
The average lifespan for the eastern sand darter is about 2–3 years, but if the siltation and pollution continue to worsen, the lifespan will gradually decrease.
A. pellucida reproduces in the sandy shoals at the bottom of the lakes and rivers it inhabits during the spring and summer when the water is at its warmest temperature. It reaches sexual maturity around age one and the males are able to mate once during the breeding season, while females mate twice, producing about 350 eggs with an average clutch size of 71 eggs.[3] If siltation continues to worsen, many of the eggs will be smothered, resulting in reduced reproduction, further hindering the eastern sand darters' population count.[6]
The eastern sand darter can be found in many areas throughout the United States and into southern Canada. In addition to the Mississippi and Ohio Rivers, it can be found in great concentration in Lakes Champlain, Erie, Huron, Michigan and Ontario. They can also be found in the St. Lawrence River drainage in Canada along with the Lake Champlain drainage in Vermont south into New York, Pennsylvania, West Virginia, Kentucky, Illinois, and Indiana.[5] Currently, the greatest concentration occurs in northern Alabama and eastern Tennessee.
Distribution has slowly decreased over the last few decades, and two key factors could be the cause. The eastern sand darter requires clean sand substrates; hence, siltation is a major factor in their decline. Siltation decreases the quality of habitat for both egg development and adult darters by decreasing the oxygen levels within the sand in which they bury themselves. Furthermore, silted habitats can cause adult darters to not fully burrow or decrease their time burrowed which then causes them to waste energy reserves. Channel or water flow alterations, nutrient enrichment, or any other habitat modification can completely change the amount and quality of the shifting sand bars which can then turn detrimental for the eastern sand darter.[6] The increased construction of dams also has been a major factor contributing to the reduction of their habitats. Dams reduce river levels and flow, decrease oxygen levels in reservoir waters, and alter water temperatures, making it difficult for the eastern sand darter to reproduce at a comfortable temperature.[7] Dam construction adds a whole new dimension to decreasing the reproduction and survival rate for A. pellucida.
This fish seeks its prey from the sand along the bottom of the stream or lake. Their prey items usually range in size up to 3/16 inches, but prey selection varies depending on the age of the darter. Juvenile eastern sand darters consume small crustaceans, while adults prefer midge larvae, blackfly larvae, mayflies, and caddisflies. [6] It has several species of fish predators, including rainbow trout, largemouth and smallmouth bass, and rock bass. However, since it spends extensive time buried in the sand and it has a translucent body, the eastern sand darter usually tends to be protected from predators.[7] Minnows are the eastern sand darters' biggest competitor for food, but little conflict arises between the two since the darter occupies the lowest depths of the rivers and lakes while the minnows occupy the upper water column.[8]
The Eastern sand darter was first formally described as Pleurolepsis pellucidus in 1863 by the American ichthyologist Frederic Ward Putnam (1839-1915) with the type locality given as the Black River at Elyria, Ohio.[9] This species forms a clade with the scaly sand darter (A. vivax) and the Southern sand darter (A. meridiana).[10]
The eastern sand darter (Ammocrypta pellucida) is a species of freshwater ray-finned fish, a darter from the subfamily Etheostomatinae, part of the family Percidae, which also contains the perches, ruffes and pikeperches. The eastern sand darter is a relatively small fish, most plentiful in the Mississippi and Ohio Rivers, as well as Lake Champlain and the Great Lakes. It prefers sandy-bottomed streams and sandy shoals in the lakes. The eastern sand darter feeds on larvae of black flies and other small insects in the water. They also feed on zooplankton in small portions since their small mouth size limits their gape ability. Its average body size is around 1.5-2 in long, and it breeds in the spring and summer in sandy-bottomed waters.
Ammocrypta pellucida es una especie de peces de la familia Percidae en el orden de los Perciformes.
Los machos pueden llegar alcanzar los 8,4 cm de longitud total.[1]
Se encuentran en Norteamérica.
Ammocrypta pellucida Ammocrypta generoko animalia da. Arrainen barruko Percidae familian sailkatzen da.
Ammocrypta pellucida Ammocrypta generoko animalia da. Arrainen barruko Percidae familian sailkatzen da.
Dard de sable
Le dard de sable (Ammocrypta pellucida) est un petit poisson benthique d’eau douce appartenant à la famille des Percidés. Il se trouve uniquement en Amérique du Nord, où il est globalement en déclin.
Le dard de sable mesure généralement entre 47 et 52 mm de long. Il se distingue des autres dards par sa coloration translucide et sa forme très allongée (sa longueur correspond habituellement à sept à neuf fois sa largeur). Sa teinte est jaunâtre ou argentée. Il possède deux nageoires dorsales séparées, la première est constituée de 8 à 11 rayons épineux et la deuxième de 9 à 12 rayons mous. Une bande étroite et latérale de couleur métallique dorée à olive doré est courante et est généralement brisée par 10 à 14 petites taches foncées rondes ou ovales. Comme les autres dards, et contrairement aux perches, le dard de sable possède une vessie natatoire réduite limitant sa flottabilité et lui permettant de rester en zone profonde sans grands efforts[1].
Le dard de sable n’est présent qu’en Amérique du Nord, dans deux aires disjointes. Son aire principale est partagée entre le nord-est des États-Unis et l’extrême sud de l’Ontario (Canada) et l’autre, bien plus petite, est située dans le sud du Québec (Canada). Aux États-Unis et en Ontario, on le retrouve notamment dans le fleuve Mississippi, l’Ohio et dans les grands lacs Ontario, Érié, Huron et Michigan. Au Québec, il se retrouve principalement dans le fleuve Saint-Laurent et ses tributaires entre le lac des Deux-Montagnes et Leclercville, en aval du lac Saint-Pierre[2].
Le dard de sable vit dans les cours d’eau, les rivières et les bancs de sable de lacs, préférentiellement dans des secteurs dominés par un substrat de sable (0,06 -2,0 mm)[3]. Cette préférence est liée à son comportement fouisseur. De nombreux sites de capture de dards de sable ont été décrits comme des fonds sablonneux ayant une faible profondeur d’eau (< 1,5 m), une faible vitesse de courant, une faible turbidité et une faible abondance de plantes aquatiques[4].
La durée de vie du dard de sable est relativement courte. La plupart des adultes ont de 1 à 2 ans[5] et le plus vieil âge observé pour un dard de sable est de 4 ans (Drake et al. 2008). Le temps de génération est estimé à 2 ans. Les poissons des deux sexes sont matures au printemps suivant leur première saison de croissance, à l'âge d’un an environ[6]. Cependant, certaines femelles peuvent ne pas frayer avant l’âge de 2 ans[7]. Le frai n’a été observé qu’en laboratoire mais il est supposé qu’il a lieu entre la fin du mois de juin et la fin du mois de juillet[2]. Il est aussi présumé que celui-ci est synchronisé avec les bas niveaux de limon[6]. Les mâles développent des tubercules (petites bosses sur les nageoires) pour indiquer l’activité de frai[8]. Pendant le frai, le mâle couvre la femelle et les œufs sont pondus lorsque les deux membres du couple ont vibré et enfoui la queue et le pédoncule caudal dans le sable. Pendant la ponte, un mâle « furtif » (mâle se rapprochant rapidement pour fertiliser les œufs d'une femelle qui fraye avec un autre mâle) est souvent présent et se positionne rapidement derrière la femelle, se mettant lui aussi à vibrer et fécondant ainsi quelques œufs de la femelle. Pour 10 femelles vivant dans la rivière Thames (Ontario, Canada), la taille moyenne de la couvée était de 66 œufs[5]. Elles peuvent pondre à plusieurs reprises au cours de la saison de frai tandis que les mâles ne s’accouplent qu’une fois par saison[9]. Les œufs fécondés mesurent environ 1,4 mm de diamètre, sont translucides, sphériques et légèrement collants[10]. Ces derniers éclosent en 4 à 5 jours à des températures de 20,5 à 23 °C. Le sable doit être bien oxygéné afin que les œufs aient une chance de survie élevée. Les larves restent dans le sable pendant une courte période jusqu'au début de l'alimentation exogène[11].
Le comportement fouisseur est commun au sein du genre Ammocrypta. Il semble être le résultat d’une adaptation visant à maintenir la position du poisson dans les lits sablonneux, particulièrement lors des périodes de débits extrêmement forts ou faibles[12]. Selon Daniels (1989), ce comportement ne représente pas une méthode pour se sauver des prédateurs ou pour piéger des proies mais constitue plutôt une méthode de repos du fait qu’elle lui permet de diminuer ses dépenses énergétique dues à la nage[12]. L’enfouissement pourrait également réduire le taux métabolique du dard de sable en raison des températures plus basses trouvées dans le sable[13]. Cependant, un dard de sable a récemment été observé en train de s’enfouir rapidement à l’approche d’achigans à petite bouche (A. Dextrase, données non publiées et citées dans COSEWIC 2009)[14]. Ce comportement pourrait donc aussi constituer une méthode d’évitement des prédateurs. Un substrat mal oxygéné peut empêcher un enfouissement complet et/ou réduire sa vitesse. Ceci peut réduire la survie du dard de sable en augmentant la quantité d'énergie nécessaire au maintien de sa position dans le sable.
L’alimentation du dard de sable est relativement faible du fait de sa petite bouche et du caractère restreint de son habitat. Son régime alimentaire est majoritairement constitué de larves de moucherons (Chironomidae), de larves de mouches noires (Simuliidae) et de crustacés entomostracés[3],[15],[16]. Il capture ses proies benthiques par embuscade en réalisant des accélérations brusques de 0,5 à 1,0 cm, puis en expulsant le sable ingéré par la bouche[6].
Les prédateurs possibles du dard de sable comprennent le barbue de rivière (Ictalurus punctatus), la barbotte des rapides (Noturus flavus), l’achigan à petite bouche et le crapet de roche (Ambloplites rupestris), mais les cas de prédations observés sont rares. Les oiseaux sont également des prédateurs potentiels, plus particulièrement le martin-pêcheur d'Amérique (Ceryle alcyon) et le Grand Héron (Ardea herodias)[14].
La structure de population du dard de sable comprend de nombreuses petites populations séparées par des habitats inadaptés[17]. Selon White (1987), ces différentes populations présentent une différenciation génétique[17]. Cependant, la diminution de leurs tailles ainsi que l’accroissement des distances entre elles (résultant de la destruction croissante de leurs habitats) pourraient dans le futur avoir un impact négatif sur la variabilité génétique du dard de sable[18].
Il existe peu de données sur l’abondance du dard de sable dans son aire de répartition mais cette espèce est globalement reconnue comme étant faiblement abondante (Smith, 1985). Aux États-Unis, plusieurs études ont mesuré son déclin ou sa disparition dans différents cours d’eau durant les dernières décennies. En Ontario, les populations sont en déclin (rivière Thames) ou ont disparu (rivières Ausable, Big Creek, Big Otter Creek et Catfish Creek)[2]. La taille des populations et ses tendances n’ont jamais été évaluées au Québec en raison du manque de pêches[19]. D’après les relevés de la population historique, on estime que l’espèce a décliné ou est disparue dans 12 des 21 endroits au Canada où elle était présente par le passé[20]. Il existe à ce jour un consensus général parmi les biologistes que le dard de sable est une espèce dont l’abondance est en déclin continu dans l’ensemble de son aire de répartition[1].
Aux États-Unis, le dard de sable fait partie des espèces à risque dans toutes ses juridictions : « En voie de disparition » en Pennsylvanie; « Menacée » au Michigan, New York, Vermont et Illinois; et « Espèce préoccupante » en Ohio et Indiana[21]. Le dard de sable est aussi désigné comme « espèce menacée » depuis 1994 par le Comité sur les espèces en péril au Canada (COSEPAC). Ce statut a été réévalué en novembre 2009 et l’aire de répartition du dard de sable a été séparée en deux unités distinctes (les populations de l’Ontario et celles du Québec), toutes deux désignées comme étant menacées. Depuis 2003, l’espèce est ainsi protégée en vertu de la Loi sur les espèces en péril (LEP) du Canada, laquelle interdit de nuire aux individus de l’espèce, de les tuer ou de les capturer.
Les activités humaines susceptibles de perturber et de dégrader l’habitat du dard de Sable sont considérées comme étant les principales causes du déclin de cette espèce. En effet, cette dernière possède des conditions d’habitats strictes (substrat de sable propre) et a décliné dans la plupart des cas où une altération de son habitat a eu lieu, démontrant ainsi une adaptabilité limitée[21]. Les activités généralement associées à la dégradation des fonds sablonneux de l’habitat du dard de sable sont liées au développement agricole et urbain. Ce dernier est responsable notamment de l’érosion des berges et de la modification des chenaux des cours d’eau, ce qui entraîne une augmentation de la charge sédimentaire, de l’envasement et de la turbidité de l’habitat du dard de sable[3],[22],[2],[23].
Le développement agricole, urbain et industriel est aussi associé à une augmentation des taux de contaminants (par exemple des fertilisants, des métaux traces et des hydrocarbures aromatiques polycycliques) ainsi qu’à une augmentation de l’apport en nutriments dans l’eau. Cette pollution des cours d’eau est aussi mise en cause pour le déclin du dard de sable, cette espèce étant classée intolérante à la pollution[24]. On estime aussi que les espèces envahissantes comme le gobie à taches noires (Neogobius melanostomus), le manque de variations génétiques, la mortalité liée à la récolte de poissons-appâts ainsi que le commerce d’animaux de compagnie ont contribué de façon significative au déclin de l’espèce[25],[2],[26],[20].
Dard de sable
Le dard de sable (Ammocrypta pellucida) est un petit poisson benthique d’eau douce appartenant à la famille des Percidés. Il se trouve uniquement en Amérique du Nord, où il est globalement en déclin.
Ammocrypta pellucida is een straalvinnige vissensoort uit de familie van de echte baarzen (Percidae).[1] De wetenschappelijke naam van de soort is voor het eerst geldig gepubliceerd in 1863 door Putnam.
Bronnen, noten en/of referentiesEtheostoma pellucidum é uma espécie de peixe da família Percidae.
Pode ser encontrada nos seguintes países: Canadá e nos Estados Unidos da América.
Etheostoma pellucidum é uma espécie de peixe da família Percidae.
Pode ser encontrada nos seguintes países: Canadá e nos Estados Unidos da América.
Ammocrypta pellucida là một loài cá thuộc họ Percidae. Loài này tương đối nhỏ, gần đây được xếp vào nhóm bị đe dọa, chúng phân bố ở Canada và Hoa Kỳ.[1]
Ammocrypta pellucida là một loài cá thuộc họ Percidae. Loài này tương đối nhỏ, gần đây được xếp vào nhóm bị đe dọa, chúng phân bố ở Canada và Hoa Kỳ.