Ranunculus nipponicus est une plante herbacée vivace de la famille des Renonculacées. Cette espèce de renoncule d'eau est endémique du Japon.
Ranunculus nipponicus est une renoncule aquatique qui peuple les écosystème lentique des îles de Hokkaidō et Honshū, au Japon[3],[2].
En 1910, le botaniste japonais Tomitarō Makino identifie, au Japon, une variété de la Renoncule aquatique (Ranunculus aquatilis). En 1928, Takenoshin Nakai promeut Ranunculus aquatilis var. nipponicus au rang d'espèce sous le nom de taxon de Ranunculus nipponicus[4]. Dix-neuf ans plus tard, Kanesuke Hara regroupe Ranunculus aquatilis, Ranunculus trichophyllus et leurs taxons inférieurs sous le nom d'espèce Ranunculus nipponicus[4]. En 1966, le botaniste britannique Christopher D. K. Cook (1933 -) reclasse Ranunculus nipponicus comme synonyme de Ranunculus aquatilis. En 1982, Tatemi Shimizu (ja) (1932 - 2014) réaffirme Ranunculus nipponicus comme espèce à part entière[4]. En 2017, cependant, cette renoncule du sous-genre Batracium[5],[6] est encore parfois référencée comme synonyme de Ranunculus aquatilis[7] ou de Ranunculus trichophyllus subsp. eradicatus[3].
Selon NCBI (13 août 2017)[8] :
Selon Tropicos (13 août 2017)[9] :
Ranunculus nipponicus est une plante herbacée vivace de la famille des Renonculacées. Cette espèce de renoncule d'eau est endémique du Japon.
Ranunculus trichophyllus subsp. eradicatus é uma subespécie de planta com flor pertencente à família Ranunculaceae.
A autoridade científica da subespécie é (Laest.) C.D.K.Cook, tendo sido publicada em Mitt. Bot. Staatssamml. München 6: 622 (1967).[1][2]
Trata-se de uma subespécie presente no território português, nomeadamente em Portugal Continental.
Em termos de naturalidade é nativa da região atrás indicada.
Não se encontra protegida por legislação portuguesa ou da Comunidade Europeia.
Ranunculus trichophyllus subsp. eradicatus é uma subespécie de planta com flor pertencente à família Ranunculaceae.
A autoridade científica da subespécie é (Laest.) C.D.K.Cook, tendo sido publicada em Mitt. Bot. Staatssamml. München 6: 622 (1967).