In Panama this species has been collected from in the Caribbean from:
-Galeta Island (USNM E 25674, USNM E 25715)
-Sail Rock, Colon (USNM E 18779)
-Devils Beach, Fort Sherman, Limon Bay (USNM E 25694)
-Portobelo (USNM E 11407)
-Portobelo, first cove southwest of Buenaventura (USNM E 18813)
-North of Maria Soto River (USNM 1011262, USNM 1011258; Centroid Latitude: 9.5267, Centroid Longitude: -79.6667, depth < 1 m)
-1.5 miles southwest of the mouth of Guanche River (USNM E 18798)
-3.5 miles North of the Piedras River (USNM E 18752)
-Bastimentos, Bocas del Toro (USNM E 36313)
-Miria Island, San Blas (USNM E 25767)
-Pico Feo Island, San Blas (USNM E 18784, USNM E 25766)
Mortensen, T. (1943). A monograph of the Echinoidea 3(3). Camarodonta 2. Copenhagen. 446 pp., 215 figures, 66 pls; pages: 368-373.
LSID urn:lsid:marinespecies.org:taxname:422493 Echinometra plana A. Agassiz, 1863 (subjective junior synonym)
Ellipsechinus viridis (A. Agassiz, 1863) (unaccepted combination)
Echinometra viridis, the reef urchin, is a species of sea urchin in the family Echinometridae. It is found on reefs in very shallow parts of the western Atlantic Ocean and the Caribbean Sea.
The reef urchin has an elliptical reddish brown test (shell) covered with medium length spines. These are greenish in colour with paler bases and darker, often violet, tips. This urchin grows to a diameter of 5 centimetres (2.0 in) with the longest spines being 3 centimetres (1.2 in).[2] It looks very similar to the rock-boring urchin Echinometra lucunter, but the dark tips and the greater length of the spines are distinctive.[3]
The reef urchin is found on reefs in the Caribbean Sea from southern Florida to Venezuela at depths down to about 15 metres (49 ft). It is not as common as the rock-boring urchin and seems to be absent from the West Indies to the east of the Virgin Islands.[3]
The reef urchin conceals itself in crevices or under boulders. It emerges at night to feed by grazing on algae with its five teeth, part of the Aristotle's lantern organ that surrounds its mouth.[4] It is not believed to bore holes, but its grazing still causes bioerosion in reefs.[5] In Panama, breeding takes place during the period April to December. It does not seem to be correlated with the phases of the moon as in some other sea urchin species.[6] Fertilisation is external and the echinopluteus larvae are planktonic. When these settle, they undergo a rapid metamorphosis into juvenile sea urchins.[4]
Researchers have studied the likely effect on the reef urchin of a rise in the carbon dioxide levels which are likely to increase ocean acidification by the end of the 21st century. It was found that the urchins would be negatively impacted because of decreased calcification, lowering their ability to build their tests, especially during winter and in the more northerly parts of their range.[7]
The reef urchin is an important grazer on fleshy algae in the Caribbean area. Its abundance is reduced by predation by fish, especially the jolthead porgy (Calamus bajonado), the queen triggerfish (Balistes vetula), the ocean triggerfish (Canthidermis sufflamen) and the hogfish (Lachnolaimus maximus). Because of this predation, the reef urchin avoids open reef flats and in these locations there is an overgrowth of fleshy algae. It is unable to take over the algal controlling role of the black sea urchin (Diadema antillarum) which is subject to great fluctuations in population.[8]
Echinometra viridis, the reef urchin, is a species of sea urchin in the family Echinometridae. It is found on reefs in very shallow parts of the western Atlantic Ocean and the Caribbean Sea.
Oursin vert, Oursin perforant de l'Atlantique, Oursin de récif
L’oursin vert (Echinometra viridis) est une espèce d'oursins tropicaux de la famille des Echinometridae, assez répandu à l'ouest de l'océan Atlantique et dans le bassin Caraïbe. On l'appelle aussi oursin de récif et oursin perforant de l'Atlantique, ce qui prête à confusion avec son cousin qui partage ce qualificatif, Echinometra lucunter.
L'oursin vert est un petit oursin légèrement ovale de petite taille (rarement plus de 5 cm pour la coquille, appelée test), très courant sur les récifs de corail de la zone intertropicale de l'ouest de l'océan Atlantique. Ses piquants aux pointes noires sont généralement d'un vert orangé tirant vers le rouge à l'approche du test généralement rouge sombre. Cependant, en certains endroits les piquants peuvent être rose rougeâtre. Dans tous les cas, ils sont coniques et robustes, et mesurent jusqu'à 3 cm[1].
Adulte en présence d'un Tripneustes ventricosus.
Il doit son nom à sa couleur, l'appellation « perforant » étant injustifiée, cet oursin ne creusant pas de trous comme ses cousins Echinometra lucunter et Echinometra mathaei[2], ce qui est aussi un bon moyen de les différencier.
Il est plus petit, a des épines plus longues et plus vertes que son cousin Echinometra lucunter, ce qui permet de l'en différencier.
Il sort de son abri la nuit pour se nourrir, principalement d'algues qu'il broute sur le substrat[1], mais peut compléter son régime par une activité omnivore opportuniste (invertébrés, débris, cadavres...). Son activité nutritive peut se révéler assez destructive, et dans les zones où il est très abondant (notamment quand ses prédateurs sont surpêchés par l'homme), il peut ainsi fragiliser le substrat, et être dangereux pour le corail (c'est aussi le cas en aquarium). Comme la plupart des oursins tropicaux, il se reproduit en été par fertilisation externe (les gamètes sont relâchés directement en pleine eau), et les larves sont d'abord planctoniques, et dérivent avec les courants avant de se fixer au bout de quelques jours pour se métamorphoser en juvéniles.
Ses principaux prédateurs sont de gros poissons comme les balistes (Calamus bajonado, Balistes vetula, Canthidermis sufflamen, Lachnolaimus maximus) et des étoiles de mer.
On trouve cet oursin entre les tropiques de la partie Ouest de l'océan Atlantique, de la Floride au Venezuela[3]. Il semble très rare dans les îles des Caraïbes et à l'est des îles Vierges. On le trouve principalement sur les récifs de corail, entre 1 et 15 m de profondeur où il se dissimule la journée dans des cavités[1]. Il est moins courant que son cousin Echinometra lucunter, qui partage son aire de distribution.
Comme tous les oursins vivant à proximité de la surface, l'oursin vert est souvent responsable de vives douleurs quand un baigneur marche dessus par inadvertance : ses piquants ont tendance à se casser dans la plaie, ce qui les rend presque impossibles à enlever entièrement. Heureusement, il n'est pas venimeux, et ne présente pas de grand danger si la plaie est correctement désinfectée : le corps dissoudra les morceaux de silice en quelques semaines.
Cette espèce n'est pas consommée de manière significative, et n'est d'aucune valeur commerciale.
Timothy R. McClanahan et Nyawira A. Muthiga, Ecology of Echinometra, 2006
Oursin vert, Oursin perforant de l'Atlantique, Oursin de récif
L’oursin vert (Echinometra viridis) est une espèce d'oursins tropicaux de la famille des Echinometridae, assez répandu à l'ouest de l'océan Atlantique et dans le bassin Caraïbe. On l'appelle aussi oursin de récif et oursin perforant de l'Atlantique, ce qui prête à confusion avec son cousin qui partage ce qualificatif, Echinometra lucunter.
Echinometra viridis A. Agassiz, 1863 è un riccio di mare appartenente alla famiglia Echinometridae[1].
Ha una forma pressoché ellittica e una colorazione marrone, a volte rossastra, mentre le spine tendono al verde. Ha un diametro massimo di 5 cm, mentre le spine arrivano a tre[2]. Somiglia molto a E. lucunter, dalla quale si distingue per le spine più lunghe[3].
Si trova nel Mar dei Caraibi, dalla Florida al Venezuela a profondità fino a circa 15 metri. È meno comune di E. lucunter, e sembra essere assente dalle Indie Occidentali ad est delle Isole Vergini[3].
Si nasconde in anfratti rocciosi o sotto i massi. Emerge di notte per nutrirsi di alghe. Il suo pascolo provoca ancora bioerosione nella barriera[4].
A Panama, la riproduzione avviene durante il periodo tra aprile e dicembre. Non sembra essere correlata con le fasi della luna, a differenza di altre specie di riccio di mare[5]. La fecondazione è esterna e le larve sono planctoniche. Quando queste si depositano sul fondo, subiscono una rapida metamorfosi in ricci di mare giovanili[6].
Questo riccio viene predato da molti pesci, in particolare Calamus bajonado, Balistes vetula, Canthidermis sufflamen e Lachnolaimus maximus.
Questa specie pare essere minacciata dall'aumento del livello di anidride carbonica, che porta all'acidificazione degli oceani. Quest'ultimo fenomeno renderebbe difficoltoso per i ricci costruire il proprio guscio, soprattutto durante l'inverno e nelle parti più settentrionali del loro areale[7].
Echinometra viridis A. Agassiz, 1863 è un riccio di mare appartenente alla famiglia Echinometridae.
Echinometra viridis is een zee-egel uit de familie Echinometridae.
De wetenschappelijke naam van de soort werd in 1863 gepubliceerd door Alexander Agassiz.[1]
De soort wordt aangetroffen op koraalriffen in de Caraïbische Zee, tussen Zuid-Florida en Venezuela, tot op dieptes van ongeveer 15 meter.
Bronnen, noten en/of referentiesEchinometra viridis is een zee-egel uit de familie Echinometridae.
De wetenschappelijke naam van de soort werd in 1863 gepubliceerd door Alexander Agassiz.
Echinometra viridis[1] är en sjöborreart som beskrevs av Agassiz 1863. Echinometra viridis ingår i släktet Echinometra, och familjen Echinometridae.[2][3] Inga underarter finns listade.[2]
Echinometra viridis är en sjöborreart som beskrevs av Agassiz 1863. Echinometra viridis ingår i släktet Echinometra, och familjen Echinometridae. Inga underarter finns listade.