Aquilaria is a genus of fifteen[1] species of trees, called lign aloes or lign-aloes trees, in the family Thymelaeaceae, native to southeast Asia. They occur particularly in the rainforests of Indonesia, Thailand, Cambodia, Laos, Vietnam, Malaysia, Northeast India, Bangladesh, the Philippines, Borneo and New Guinea. The trees grow to 6–20 m tall. The leaves are alternate, 5–11 cm long and 2–4 cm broad, with a short acuminate apex and an entire margin. The flowers are yellowish-green, produced in an umbel; the fruit is a woody capsule 2.5–3 cm long.
The genus is best known, together with Gyrinops, as the principal producer of the resin-suffused agarwood used in aromatic incense production, especially Aquilaria malaccensis.[1][2] The depletion of wild trees from indiscriminate cutting for agarwood has resulted in the trees being listed and protected as an endangered species.[1][2][3] Projects are currently underway in some countries in southeast Asia to infect cultivated Aquilaria trees artificially to produce agarwood in a sustainable manner.[3] In Indonesia, for example, there have been proposals to encourage the planting of gahara, as it is known locally, in eastern Indonesia, particularly in the province of Papua.[4]
Aquilaria is a genus of fifteen species of trees, called lign aloes or lign-aloes trees, in the family Thymelaeaceae, native to southeast Asia. They occur particularly in the rainforests of Indonesia, Thailand, Cambodia, Laos, Vietnam, Malaysia, Northeast India, Bangladesh, the Philippines, Borneo and New Guinea. The trees grow to 6–20 m tall. The leaves are alternate, 5–11 cm long and 2–4 cm broad, with a short acuminate apex and an entire margin. The flowers are yellowish-green, produced in an umbel; the fruit is a woody capsule 2.5–3 cm long.
The genus is best known, together with Gyrinops, as the principal producer of the resin-suffused agarwood used in aromatic incense production, especially Aquilaria malaccensis. The depletion of wild trees from indiscriminate cutting for agarwood has resulted in the trees being listed and protected as an endangered species. Projects are currently underway in some countries in southeast Asia to infect cultivated Aquilaria trees artificially to produce agarwood in a sustainable manner. In Indonesia, for example, there have been proposals to encourage the planting of gahara, as it is known locally, in eastern Indonesia, particularly in the province of Papua.
Aquilaria es un género con 43 especies de árboles perteneciente a la familia Thymelaeaceae. Son árboles nativos del sudeste de Asia, distribuyéndose por Indonesia, Tailandia, Camboya, Laos, Vietnam, Malasia, India, Filipinas, Borneo y Nueva Guinea.
Son árboles que alcanzan 6-20 metros de altura con hojas de 5-11 cm de largo y 2-4 cm de ancho con márgenes enteros. Las flores de color amarillo-verdosas se acumulan en umbelas. Los frutos son cápsulas de 2-3 cm de longitud. La corteza de la Aquilaria es muy cara. Es utilizada en la elaboración de perfume.
Aquilaria es un género con 43 especies de árboles perteneciente a la familia Thymelaeaceae. Son árboles nativos del sudeste de Asia, distribuyéndose por Indonesia, Tailandia, Camboya, Laos, Vietnam, Malasia, India, Filipinas, Borneo y Nueva Guinea.
Aquilaria est un genre d'arbres tropicaux, parfois buissonnants (hauts de 6 à 20 m) vivant dans le sous-étage forestier de forêts tropicales d'Asie du Sud-Est, toujours de manière dispersée et généralement à l'abri de la canopée. Ce genre est parfois placé dans la famille des Aquilariaceae. Néanmoins, la plupart des classifications, dont la classification phylogénétique, placent ce genre parmi les Thymelaeaceae.
Les feuilles sont vert foncé, couvertes d'une cuticule cireuse brillante. Les fleurs sont discrètes (jaune pâle pour Aquilaria crassna).
Le bois vivant d'Aquilaria crassna, comme celui d’autres espèces de ce genre, produit une résine particulière, odorante en réaction à certaines agressions physiques (blessures, feu) ou biologiques (attaques d’insectes xylophages, de bactéries et champignons).
Cette résine est dite « calambac », « gaharu, » « bois d'agar », « bois d'argile », « bois d'aloès » (ou « bois de gélose » pour les scientifiques)[1].
La poudre ou le copeau du bois malade qui produit cette résine ou l'huile essentielle qu'on en tire sont très recherchés par la médecine traditionnelle asiatique et de plus en plus pour l’industrie des cosmétiques et de papiers et d'encens parfumés.
Les Aquilaria ont été très surexploités depuis les années 1970 et sont dans les années 2000 considérés comme menacés de disparition sur l'essentiel de leur aire de répartition.
Différentes espèces d’Aquilaria occupent des habitats variés, toujours forestiers, mais sur divers terrains (acides, rocheux à sablonneux ou même calcaires). Des Aquilaria poussent sur des pentes, sur des plateaux et dans les vallées marécageuses ou sur les crêtes très drainées, mais généralement en dessous de 850 m d'altitude (jusqu'à 1 000 m si la température ne descend pas sous 20-22 °C).
Leur habitat est en recul rapide face à l’agriculture, à l’exploitation forestière, à la sylviculture, et aux feux, notamment à Sumatra et Bornéo.
Les graines ne sont dispersées qu’à quelques mètres de l’arbre adulte. Certaines pourraient dans la nature être dispersées par des animaux non encore identifiés. Plus de 50 % des graines germent en pépinière.
Remarque préalable : il est possible que tous les Aquilaria ne soient pas encore connus.
Le genre Aquilaria regroupait en 2003 au moins quinze espèces morphologiquement très proches les unes des autres[2], qui ne peuvent être différentiée entre elles et d’autres espèces du genre proche Gyrinops que par l’observation de détails des caractères floraux, ce qui demande les compétences d'un expert[3].
De plus, la nomenclature des espèces commercialisées en est peu claire.
Par exemple, selon un rapport fait pour la CITES ; Aquilaria agollocha exploité au Bangladesh et au Myanmar est parfois vendu comme Aquilaria malaccensi, qui est lui exploité au Brunéi Darussalam et confondu avec Aquilaria beccariana, lequel est confirmée comme étant Aquilaria audate.
Par ailleurs, comme presque toutes les espèces de Gyrinops sont exploitées en étant souvent confondues avec les aquilarias, ce commerce menace ces deux genres à la fois[4].
Des recherches sur l’ADN conduites par l’Herbier national des Pays-Bas devraient bientôt faciliter l’identification des arbres et de leurs produits végétaux, ce qui est notamment nécessaire pour les banques de semences qui se constituent, mais la reconnaissance ADN restera un certain temps coûteuse et/ou peu accessible pour les pays et régions où ces arbres poussent.
Les Aquilaria sont confrontés à une double menace de déforestation et de surexploitation.
Le commerce des sous-produits de cet arbre est pluriséculaire en Inde et en Asie du Sud-Est, mais il s’est accru récemment, et s'est déplacé vers la Nouvelle-Guinée, la Malaisie, la Nouvelle-Guinée occidentale et diverses îles d’Indonésie (Lombok, Sumbawa, Florès, Sumba, Sulawesi, Moluques[5]...), entrainant une surexploitation de cet arbre dans presque toute son aire de répartition. Il est considéré comme éteint dans de nombreuses régions et comme menacé ou quasi-éteint dans plusieurs pays ; notamment en (Malaisie ou au Sarawak et au Sabah les arbres disparaissent rapidement. Au Sabah, même des arbres non infectés ne produisant pas de gaharu sont coupés et vendus. Ces espèces ont disparu ou presque dans plusieurs régions d'Indonésie, de Thaïlande et du Myanmar) encourageant les récolteurs à récolter jusque dans les aires protégées. Cet arbre fait l’objet d'un commerce illégal[6] qui rendent le commerce du bois de gélose vulnérable du point de vue du développement durable[7].
Des Aquilaria sont illégalement exploités dans plusieurs parcs nationaux du Kalimantan (Bukit Baka, Gunung Palung, Betung Kerihun, dans les réserves naturelles de Mandor et Gunung Niut[8] Et à Gunung Palung, Gunung Niut et Mandor, ces espèces ont presque disparu uniquement à cause de l’exploitation forestière illégale, ainsi que de l’orpaillage illégal.
Bien qu’il n’y ait pas de chiffres officiels, et moins encore sur le commerce illégal, la CITES relève comme indice préoccupant qu'alors que la prospection n'a cessé d'augmenter, les ventes connues de bois d'agar ont chuté de plus de 300 t en 1997, que le chiffre des exportations indonésiennes d’Aquilaria filaria est tombé à 125 t. et que depuis 2003, le quota indonésien de cette espèce est stabilisé à 125 t, ce qui peut s’expliquer par la raréfaction des arbres.
C’est pourquoi l’espèce, en raison de sa valeur commerciale, et peut-être médicamenteuse, a été retenue comme prioritaire lors d’un atelier de travail de la FAO sur les ressources génétiques forestières d'Asie du Sud-Est pour les forêts du Laos, Cambodge, Thaïlande et Vietnam où cette espèce est encore présente et depuis peu cultivée[9].
La CITES s'inquiète aussi du fait qu’alors qu’autrefois on n'abattait que des arbres produisant du bois d’agar, c’est-à-dire infectés par des champignons et bactéries, aujourd'hui on coupe aussi des arbres sains pour vendre le bois en poudre ou copeaux[10].
L'UICN et la CITES, à la demande de l’Indonésie réfléchissent à une protection de cette essence[11] par son inscription sur la liste II de la CITES, alors que huit espèces d'Aquilarias sont déjà sur la liste rouge des espèces menacées de l'UICN (plus une espèce dans la catégorie « données insuffisantes »). Le comité pour les plantes de la CITES a recommandé une évaluation de toutes les espèces produisant du bois de gélose.
Le programme Asia Pacific Forest Genetic Resources Programme (Apforgen) a également considéré cette espèce comme prioritaire, pour le Cambodge notamment[12].
Il existerait au moins une vingtaine d'espèces d'Aquilarias produisant du calambac, mais le plus précieux est réputé fourni par Aquilaria crassna lorsqu’il est infecté par certains champignons et/ou bactéries.
Des plantations de diverses espèces et sous-espèces d'Aquilarias (et de Gyrinops versteegii) sont testées notamment en Indonésie, au Viet Nam, et au Cambodge, avec des densités atteignant 1 000 pieds par ha, exploités dès quatre à sept ans. La graine pousse facilement, mais selon la CITES[13], l’inoculation artificielle de champignons par différents types de blessures provoquées, visant à susciter le bois d’agar, n’a donné que de médiocres résultats[14]. Cat Tiên, Trân Van Quyê, forestier devenu planteur d’Aquilaria au Vietnam, signale que la larve d'un insecte phytophage (Bù xè en vietnamien) en se développant dans le du tronc d’Aquilaria crassna est source d’un calambac d'une plus grande qualité.
Les Aquilaria produisant le calambacs sont commercialement classés en huit catégories, mais ces catégories n'ont aucun rapport avec l'espèce ayant fourni le bois de gélose ; elles décrivent uniquement la qualité de ce « bois », sauf en Inde et à Dubaï où une nomenclature différente existe[15].
Le bois est vendu sous forme de copeaux, poudre (poussière), huile ou produit d’encens/parfum.
Le calambac le plus cher est le plus dense (il coule à pic dans l’eau).
Les données sont incomplètes, notamment en raison de l'illégalité d'une partie du commerce. Mais un calambac de qualité se vendait de 6 000 à 6 500 US$ le kilogramme et son essence parfumée de 7 000 à 7 500 US$ le litre vers 2003.
Le Vietnam, le Laos et le Cambodge en sont de gros exportateurs, derrière l’Indonésie devenue le 1er exportateur de bois d’agar (300 t/an en moyenne de 1997 à 2000 selon les registres pour le bois d’agar (y compris d’A. filaria), mais depuis 2001, malgré la hausse des demandes, l’exportation légale a diminué jusqu’à la moitié (environ 150 t en 2003). L’Indonésie signale des contrebandes aux zones frontalières (est, Kalimantan central et oriental, Sumatra, Nouvelle-Guinée occidentale), avec plusieurs filières interceptées dans les ports de Djakarta et Surabaya. Le Brunéi Darusallam a signalé des trafics illicites de plusieurs espèces d’Aquilaria poussant au Brunéi Darusallam. Singapour est selon la CITES le plus grand réexportateur du bois d’agar d’Indonésie.
Les acheteurs sont surtout le Japon, Taïwan, Corée du Sud, la France et le Moyen-Orient (Arabie saoudite et Émirats arabes unis). Certaines sources[16] estiment les besoins mondiaux à 1 000 t/an (en 2007). Le Vietnam en fournit officiellement 80 t/an au maximum, mais l’arbre sauvage y est en rapide et important déclin depuis les années 1990[17].
L’Indonésie, a mis en place des quotas d’exportation, pour Aquilaria malaccensis (Aquilaria hirta, Aquilaria beccariana et Aquilaria microcarpa) venant de l’Ouest du pays, et pour Aquilaria cumingiana et Aquilaria audate (et Gyrinops versteegii) dans l’Est du pays, mais les contrôles sont difficiles et le pays est réputé touché par la corruption, notamment en matière de produits forestiers.
On attribue au bois de gélose diverses vertus, contre les maux de ventre, certaines maladies cardio-vasculaires, les neuropathies ou encore contre les nausées et l'asthme. Son huile est réputée éloigner les insectes. Les musulmans parfument volontiers leurs bains avec cette essence lors du Ramadan.
cf: "The Plant List"[18] 3 avril 2013 :
Sources principales : CITES, UICN
Aquilaria est un genre d'arbres tropicaux, parfois buissonnants (hauts de 6 à 20 m) vivant dans le sous-étage forestier de forêts tropicales d'Asie du Sud-Est, toujours de manière dispersée et généralement à l'abri de la canopée. Ce genre est parfois placé dans la famille des Aquilariaceae. Néanmoins, la plupart des classifications, dont la classification phylogénétique, placent ce genre parmi les Thymelaeaceae.
Les feuilles sont vert foncé, couvertes d'une cuticule cireuse brillante. Les fleurs sont discrètes (jaune pâle pour Aquilaria crassna).
Le bois vivant d'Aquilaria crassna, comme celui d’autres espèces de ce genre, produit une résine particulière, odorante en réaction à certaines agressions physiques (blessures, feu) ou biologiques (attaques d’insectes xylophages, de bactéries et champignons).
Cette résine est dite « calambac », « gaharu, » « bois d'agar », « bois d'argile », « bois d'aloès » (ou « bois de gélose » pour les scientifiques).
La poudre ou le copeau du bois malade qui produit cette résine ou l'huile essentielle qu'on en tire sont très recherchés par la médecine traditionnelle asiatique et de plus en plus pour l’industrie des cosmétiques et de papiers et d'encens parfumés.
Les Aquilaria ont été très surexploités depuis les années 1970 et sont dans les années 2000 considérés comme menacés de disparition sur l'essentiel de leur aire de répartition.
Aquilaria, rod od dvadesetak vrsta biljaka iz porodice vrebinovki. Postoji dvadesetak vrsta[1] rasprostranjenih po jugoistočnoj Aziji.[2]
Aquilaria, rod od dvadesetak vrsta biljaka iz porodice vrebinovki. Postoji dvadesetak vrsta rasprostranjenih po jugoistočnoj Aziji.
Agarmedis (lot. Aquilaria, angl. Agarwood) – timelėjinių (Thymelaeaceae) šeimos medžių gentis. Šios genties augalai paplitę Pietryčių Azijoje: Indonezijoje, Laose, Kambodžoje, Tailande, Filipinuose, Šiaurės Indijoje, Vietname, Naujojoje Gvinėjoje ir kt. Užauga 6-20 m aukščio, lapai pražanginiai, 5-11 cm ilgio, 2-4 cm storio. Žiedai geltoni arba žali, susitelkę skėčiuose, vaisiai – medinga 3 cm ilgio kapsulė.
Agarmedis (lot. Aquilaria, angl. Agarwood) – timelėjinių (Thymelaeaceae) šeimos medžių gentis. Šios genties augalai paplitę Pietryčių Azijoje: Indonezijoje, Laose, Kambodžoje, Tailande, Filipinuose, Šiaurės Indijoje, Vietname, Naujojoje Gvinėjoje ir kt. Užauga 6-20 m aukščio, lapai pražanginiai, 5-11 cm ilgio, 2-4 cm storio. Žiedai geltoni arba žali, susitelkę skėčiuose, vaisiai – medinga 3 cm ilgio kapsulė.
Aquilaria – rodzaj należący do rodziny wawrzynkowatych, obejmujący co najmniej 22 gatunki drzew tropikalnych występujących w Azji południowej i południowo-wschodniej. Mają duże znaczenie gospodarcze i z powodu znacznej eksploatacji są zagrożone i wszystkie gatunki chronione są Konwencją CITES[2].
Gatunki rodzaju Aquilaria przystosowały się do życia w różnych środowiskach, w tym na podłożu skalistym, wapiennym lub piaszczystym. Rosną również na łatwo przepuszczalnych stokach i grzbietach oraz na stanowiskach w pobliżu bagien. Zazwyczaj spotykane są na wysokości pomiędzy 0-850 m, rzadziej do 1000 m. Występują w klimacie o średnich dziennych temperaturach 20-22 °C[3].
Wiele gatunków, zwłaszcza Aquilaria malaccensis i Aquilaria sinensis, szeroko wykorzystywanych jest do pozyskiwania aromatycznego drewna zwanego agarem, co doprowadziło do zagrożenia tych gatunków[4]. Wykorzystywane są także w tradycyjnej medycynie indyjskiej i chińskiej oraz do produkcji kosmetyków.
Korzeń drzewa Aquilaria malaccensis jest surowcem do produkcji pachnidła o nazwie aguru (nieciężki), które jest stosowane w rytuałach hinduistycznych[5].
Gyrinopsis Decne., Ophiospermum Lour.
Rodzaj należący do plemienia Aquilarieae, podrodziny Thymelaeoideae Burnett, rodziny wawrzynkowatych (Rutaceae), rzędu ślazowców (Sapindales), kladu różowych (rosids)[1][7].
Według The Plant List w obrębie tego rodzaju sklasyfikowane są co najmniej 22 gatunki[8]:
Aquilaria – rodzaj należący do rodziny wawrzynkowatych, obejmujący co najmniej 22 gatunki drzew tropikalnych występujących w Azji południowej i południowo-wschodniej. Mają duże znaczenie gospodarcze i z powodu znacznej eksploatacji są zagrożone i wszystkie gatunki chronione są Konwencją CITES.
Aquilária[1] (em latim: Aquilaria) é um dos gêneros da família das timeleáceas, nativo do sudoeste da Ásia. Ocorre particularmente nas florestas da Indonésia, Tailândia, Camboja, Laos, Vietnã, Malásia, Índia, Filipinas, Bornéu e Nova Guiné. As árvores desse gênero têm entre 6 e 20 m de altura. Possuem flores que são amarelo-esverdeadas e frutos com cápsula de 2,5 a 3 cm.
O gênero é mais conhecido como o principal produtor de resina de pau-de-águila, principalmente o Aquilaria malaccensis. O desmatamento das árvores silvestres resultou em árvores que estão sendo listados e protegidos como uma espécie ameaçada.
Alguns projetos estão em andamento em alguns países do sudeste asiático para produzir árvores aquilárias de forma sustentável.
Aquilária (em latim: Aquilaria) é um dos gêneros da família das timeleáceas, nativo do sudoeste da Ásia. Ocorre particularmente nas florestas da Indonésia, Tailândia, Camboja, Laos, Vietnã, Malásia, Índia, Filipinas, Bornéu e Nova Guiné. As árvores desse gênero têm entre 6 e 20 m de altura. Possuem flores que são amarelo-esverdeadas e frutos com cápsula de 2,5 a 3 cm.
O gênero é mais conhecido como o principal produtor de resina de pau-de-águila, principalmente o Aquilaria malaccensis. O desmatamento das árvores silvestres resultou em árvores que estão sendo listados e protegidos como uma espécie ameaçada.
Alguns projetos estão em andamento em alguns países do sudeste asiático para produzir árvores aquilárias de forma sustentável.
Örnträdssläktet (Aquilaria)[1] är ett släkte av tibastväxter. Örnträden ingår i familjen tibastväxter.[1]
Kladogram enligt Catalogue of Life[1]:
Aquilaria
Dó trầm hay dó bầu, trầm dó, trầm hương tên gọi chung cho một chi thực vật thuộc họ Trầm gồm 15 loài.[1] sống ở châu Á trong các khu vực rừng mưa của Indonesia, Thái Lan, Campuchia, Lào, Việt Nam, Malaysia, bắc Ấn Độ, Philippines, Borneo và New Guinea. Cây cao 6–20 m, lá dài 5–11 cm và rộng 2–4 cm. Hoa màu xanh vàng, quả gỗ dài 2,5–3 cm.
Cây trầm hương có thân cây to, lá dài, gỗ màu vàng nhạt, có thớ đen. Đây là cây tạo ra trầm hương và kỳ nam sử dụng làm nước hoa và nhang, dược phẩm có giá trị cao. Gỗ trầm được sử dụng làm các đồ dùng gia dụng. Cây dó trầm hiện cũng đang được trồng để khai thác tại một số quốc gia như Lào và Việt Nam. Ở Việt Nam có 3 loài trầm gồm A. crassna, A. banaensae và A. baillonii, phân bố rải rác trong rừng rậm nhiệt đới thường xanh, mưa mùa, ẩm nguyên sinh thuộc các tỉnh Tuyên Quang, Thanh Hoá, Nghệ An, Hà Tĩnh, đặc biệt từ Quảng Bình, Quảng Trị, Thừa Thiên Huế, Quảng Nam, Đà Nẵng, Quảng Ngãi, Bình Định, Ninh Thuận, Bình Thuận, đến Tây Nguyên, An Giang, Kiên Giang và đảo Phú Quốc.[2]
Aquilaria rugosaL.C.Kiet & PJ.A.Kessler. Aquilaria sinensis (Dó lá) Aquilaria agalloba Roxb (Dó me)
Dó trầm hay dó bầu, trầm dó, trầm hương tên gọi chung cho một chi thực vật thuộc họ Trầm gồm 15 loài. sống ở châu Á trong các khu vực rừng mưa của Indonesia, Thái Lan, Campuchia, Lào, Việt Nam, Malaysia, bắc Ấn Độ, Philippines, Borneo và New Guinea. Cây cao 6–20 m, lá dài 5–11 cm và rộng 2–4 cm. Hoa màu xanh vàng, quả gỗ dài 2,5–3 cm.
Cây trầm hương có thân cây to, lá dài, gỗ màu vàng nhạt, có thớ đen. Đây là cây tạo ra trầm hương và kỳ nam sử dụng làm nước hoa và nhang, dược phẩm có giá trị cao. Gỗ trầm được sử dụng làm các đồ dùng gia dụng. Cây dó trầm hiện cũng đang được trồng để khai thác tại một số quốc gia như Lào và Việt Nam. Ở Việt Nam có 3 loài trầm gồm A. crassna, A. banaensae và A. baillonii, phân bố rải rác trong rừng rậm nhiệt đới thường xanh, mưa mùa, ẩm nguyên sinh thuộc các tỉnh Tuyên Quang, Thanh Hoá, Nghệ An, Hà Tĩnh, đặc biệt từ Quảng Bình, Quảng Trị, Thừa Thiên Huế, Quảng Nam, Đà Nẵng, Quảng Ngãi, Bình Định, Ninh Thuận, Bình Thuận, đến Tây Nguyên, An Giang, Kiên Giang và đảo Phú Quốc.
Aquilaria Lam. (1783), nom. cons.
Синонимы Типовой видАквила́рия (лат. Aquilária) — род деревянистых растений семейства Волчниковые (Thymelaeaceae).
Деревья до 20 м высотой. Листья простые, цельнокрайние, заострённые. Цветки на цветоножках, одиночные или собраны в щитковидные соцветия; околоцветник кожистый, пятираздельный, колокольчатый; тычинок 10. Плод — односемянная или двусемянная, деревянистая коробочка[3].
Некоторые виды используются для получения ароматической древесины, называемой алойное дерево, орлиное дерево, каламбак, или райское дерево. Эта древесина в связи со своей ароматичностью с давних времён у восточных народов считалось целебной. В древности употреблялась при бальзамировании. В Китае её употребляли как лекарство для укрепления почек и для курения.
По информации базы данных The Plant List, род включает 22 вида[4]:
Аквила́рия (лат. Aquilária) — род деревянистых растений семейства Волчниковые (Thymelaeaceae).
沉香屬(學名:Aquilaria),又名土沉香屬,是東南亞的一屬瑞香科植物。[1]它們特別在印尼、泰國、柬埔寨、老撾、越南、馬來西亞、印度北部、菲律賓、婆羅洲及新畿內亞的雨林內生長。樹高6-20米。葉子互生,長5-11厘米及闊2-4厘米,葉端尖及邊緣圓滑。花朵呈黃綠色,繖狀花序。果實的殼呈木質,長2.5-3厘米。
沉香木是出產自沉香屬,尤其是沉香樹。[2][1]砍林令它們的數量大幅下降,故它們已成為瀕危物種。[3][1][2]現時在東南亞已可以從培植的沉香屬生產沉香木的方法。[3]